Mairie de Montbrisson
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Au bord du lac de Montbrisson

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Au bord du lac de Montbrisson Empty Au bord du lac de Montbrisson

Message  Korydwen Jeu 6 Nov - 14:14

Deilayra a écrit:Deilayra marchait tranquillement les pieds nu dans l'eau , ses long cheveux blond défait dansant dans le vent, tout était calme et paisible sauf son coeur...

Elle ne voulait plus parler juste marcher dans l'eau les larme sur les joues rougies.... Le destin une drole de chose quand on voit ce qu'il nous fait faire...

La liberté, la vie, la mort tous ces mots qui n'avaient pas de sens pour elle...

Son coeur battais mais elle souffrais elle voulais juste vivre autre chose, autrement, juste une autre vie que celle qu'on avait choisit pour elle...
Elle se dit qu'elle aurait du s'y prendre autrement, mieux que ca, juste ne pas savoir ou ne pas faire ce qu'elle a fait, mais trop tard, elle était là errante marchant sur la rive, ne sachant plus que faire...

Elle aurait juste rêver d'une vie normale a ses coté, une vie qui ne serait pas faite de mensonge, pas inventer de toute parts juste pour donner l'illusion... elle se rapella ses mots, ses mots à elle ceux de la lumière, elle qui n'était que fille de la terre et du ciel, qui n'était que lumière dans le feu et tenèbre dans les eaux, juste ces mots la:

"Ma fille, vivre n'est pas une chose facile, tu feras des erreurs, parfois irréparables, sache que chaque chose dans cette vie a un prix, pour chaque demande ou chaque chose que tu prendra, il te faudra donner à ton tour quelque chose, mais si on ne se bat pour ce en quoi on crois alors il est inutile de garder ca place mieux vos la laisser à une autre...."

Ces mots, les derniers jamais prononcés par sa mère, et ces choix toutes ses erreurs et le prix qu'elle acceptait de payer, elle avait juste promis de se battre pour vivre coute que coute alors elle vivrait quand même, malgrès le chagrin et la douleure...

Elle marcha longtemps, les cheveux dans me vent, le coeur meurtris et les larmes sur ses joues qui ne cessait plus de couler

Poutou12 a écrit:Poutou après une nuit de doutes, d'angoisse arriva près du lac, elle aimais les lacs.

Sa vie étais faite de bonheurs, de chagrins, d'incertitudes, d'espoires,
de désespoires .

Elle s'assis comme à son habitude devant ce lac, combien de larmes avait elle verser? combien de fois avait elle attendu sa colombe devant un lac? combien de fois avait elle voulu mourir dans l'eau ?
combien de fois ses amis l'avait aider?

A toutes ses questions elle se mit à pleurer , pensa à cette enfant qui était en elle, regarda le ciel encore une fois et vit se quelle n'avait pas vus depuis longtemps .


Au bord du lac de Montbrisson Colombe-main

Elle attendit quelle se pose près d'elle.

Deilayra a écrit:En marchant, là assi au bord du lac, elle vit Poutou, la tête levée vers le ciel, elle sourit un peu les joues toujours humide, elle aussi vivait des instants difficiles...
Elle s'approcha d'elle:


Mon amie est ce qu'on peut partager notre peine à deux aujourd'hui??

Poutou12 a écrit:Poutou sursauta en entendant la voix de Deil, elle sécha vite ses larmes .

HO! bonjour Deil!! toi tu pleure je vois!! dis moi se qui vas pas!!

Deilayra a écrit:Deil lui sourit malgrès les larme et s'assied à coté de poutou:

ba comme ca on est deux, mais moi je peux m'en prendre qu'a moi, c'est de ma faute...

J'ai quitter Maode et tu vois je suis stupide me suis tromper sur toute la ligne, je crois que j'ai tout gacher pour gryfen, il m'a demander du temps pour réfléchir, je crois qu'avec tout ce que je lui ai fait subir il m'aime plus vraiment autant qu'avant... Alors si il veut plus de moi je peux m'en prendre qu'a moi tu sais... enfin s'il ne veut lus de moi j'ai jurer de la laisser en paix, je pense que je partirais avec lon ami Zeph sur les routes, j'ai plus envie de le géner dans sa vie voilà tout...

Et toi ma belle, toujours avec tes peines et tes doutes?? tu verra ca fini par s'estomper un jour....

Poutou12 a écrit:Nous deux? mais non!! je pleure pas!! moi ça vas!!

Aller sèche tes larmes, et vraiment si tu vois que sa vas pas part!! fais un petit voyage et reviens ici en pleine forme!!

Elle la regarda en essayant de ne pas pleurer.

Deilayra a écrit:Deilayra regarda les joue de poutou encore humides, et ses yeux rougis:

Dis donc je vois bien que tu as pleurer, et pis on est amie je vais pas te demander pourquoi si tu veux pas en parler, tu sais je crois qu'on devrait pleurer un bon coup pour la journée et après essayer de plus penser a nos soucis pour le reste de celle-ci

Poutou12 a écrit:Poutou écouta Deil.

Dis donc je vois bien que tu as pleurer, et pis on est amie je vais pas te demander pourquoi si tu veux pas en parler, tu sais je crois qu'on devrait pleurer un bon coup pour la journée et après essayer de plus penser a nos soucis pour le reste de celle-ci

Moi!! mais non tu te fais des idées!!! aller vas y pleure sur mon épaule!!
elle est large tu c'est!!! elle peu supporter tous le pois de ton chagrin !!


Elle la laissa pleurer et regarda le ciel, ou une colombe tournait autour d'elle attendant quelle sois seule.

Au bord du lac de Montbrisson Colombe-main

Deilayra a écrit:Deilayra se dit que trop pleurer avant de savoir ne servirait a rien, apres tout tout était de sa faute...

Puis elle se dit que Poutou voudrait peut être être un peu seule...


tu sais si t'as besoin de parler un jour, je serais là...
Merci de m'avoir écouter je vais continuer a me balader ca me fait du bien de marcher...


Elle fit un gros bisous a Poutou puis s'en alla en la laissant seule pour pas la géner

Poutou12 a écrit:Toujours à l'écoute de deil , elle entendit ceci.

tu sais si t'as besoin de parler un jour, je serais là...
Merci de m'avoir écouter je vais continuer a me balader ça me fait du bien de marcher...

Elle la laissa partir, Poutou n'avait pas envie de rester seule car elle avait peur de se que lui dirais la colombe et son envie de plongé étais là, tout près.

Elle regarda l'eau,les larmes se remit à couler, y va t- elle ou pas? Elle se leva et s'approcha.

Miranthor a écrit:Miranthor alla pêcher comme tous les jours. En passant le long du lac pour aller chercher sa barque, il vit Poutou sur le bord du lac, un peu près de l'eau à son gout. Il pressa le pas pour la rejoindre.

Poutou! Recule d'un pas stp!

Il l'attrapa par le bras et pris son ami dans ces bras


Ne fais pas ça, la vie vaut le coup d'être vécu je t'assure!

Apolonie a écrit:La route s'est prise, y'a quelques jours maint'nant, départ de Moulins où elle avait fidèlement servi le village pendant deux mois. Mais l'envie d'voir de la route est la plus forte, et il est des promesses qu'on doit tenir. Et celle de venir voir le lac de Montbrison avec Kory en faisait partie.

Elles ne s'étaient presque pas vues depuis Varades. Quelques regards échangés lors de cérémonies, un "au revoir" qui n'en serait peut-être pas un à la chancellerie, mais s'voir autour d'une chope n'a rien de comparable n'est c'pas ? C'est pourquoi, au lieu de partir vers le Berry comme c'tait prévu au départ, Apo avait lancé le voyage vers Montbrison. Montpensier et sa guimauve rose bonbon... Thiers et ses couples d'un mièvre patenté... Et enfin les murailles, et les tavernes montbrisonaises !

Et les retrouvailles en tabouret bancal, discussion décousue, et rappel de souvenirs joyeux du style "Ma cicatrice me gratte plus" "moi j'ressemble plus à un tonneau" et autres petites phrases qui marquent une complicité amusée malgré un passé commun qui aurait pu les séparer... Et d'un commun accord, elles se décident à une ballade au lac.

Les chevaux se sellent rapidement, dans la hâte de découvrir le coin. Neils a bien graissé l'harnach'ment, et du coup Jean-Eudes est prêt rapidement. Juchée sur son noir étalon, ach'té un jour de goguette gasconne avec son andalou, elle attend Kory, et dans un vif éclat de rire motivé par une envie de faire n'importe quoi, mais surtout d'éviter de se prendre au sérieux, elles éperonnent de concert leurs montures pour les lancer sur la route qui mène au lac.

A peine arrivées sur les berges, v'là-t-y pas qu'Jean-Eudes, manifestement plein d'ressources, et absolument pas fatigué des lieues déjà parcourues -c'qui promet pour l'reste du voyage- s'met à faire le fou, p'têtre que l'eau sur lui rappelle sa terre natale, allez savoir... Et il fait son beau, se cabrant, ruant, la belle sur son dos qui serre les cuisses -comme d'hab vous m'direz ^^- le laissant cabrioler, tant qu'elle tient d'ssus ... sous l'oeil amusé de Kory dont le canasson semble vouloir à son tour prendre son indépendance...

Korydwen a écrit:Se pointer en taverne pour une fois et y trouver Apolonie, grande joie, l'Apo qui lui saute dessus la fait tomber de son tabouret dans un grand éclat de rire, gentillesses échangées, sans armes cette fois. Varades, cela semblait loin maintenant et pourtant ça les faisait sourire "merci d'm'avoir éviter de d'venir un tonneau", elle sourit, comme quoi involontairement on peut rendre ses amis heureux. Même si sur le coup, c'est pas spécialement ça.

Une envie de rire, d'oublier, de passer simplement du bon temps avec une amie, croiser trop souvent mais vu trop peu, c'est contradictoire. C'était la Kory et l'Apo, se croiser toujours avec autant de plaisir, des au revoir pour quelques temps, avant de se croiser à nouveau au hasard d'un chemin.

Une bonne chope, même plusieurs chopes, bonne descente, quand même. Les voila sorties de la taverne et enfourchant leur monture. Utopic, ce brave étalon, qui en a vu des tas durant les joutes et la guerre. L'était peut-être traumatisé. Elle sourit rien qu'à cette pensée et fonça comme une dingue, suivant Apo, jusqu'au lac, et vu le temps pour sur, qu'il n'y aurait pas grand monde.

Et voilà que l'étalon d'Apo commence à faire n'importe quoi, elle en rit la baronne, haut perché sur le sien. Qui d'ailleurs ne tarde pas à imiter l'étalon, d'Apo, c'est drôle, ça remue, ça se cambre, ça se met sur ses pattes arrière. Bon moment de détente. Soudain ses yeux se fixent... Non pas sur une, mais sur deux personnes. Poutou et visiblement le nouveau Tribun...

Poutou, celle qui avait fait n'importe quoi dans son dispensaire... Celle qui voulait partir et finalement non, elle était restée, celle qui avait fugué. Elle sourit, se demandant si elle allait encore essayer de se suicider. Korydwen secoua la tête et fixa Apo. Apo avait elle vu sa grande amie... Elle rit, se demandant bien comment elle réagirait, après tout, elle l'avait bien viré de Moulins, alors...

C'est drôle comme les rencontres impromptues durant la guerre peuvent rapprocher les Hommes. Elle fixe et attend subissant encore et encore les cabrioles de la monture, souriant, profitant de l'instant présent...

Apolonie a écrit:Retrouvailles en fanfare. Les chevaux qui font n'importe quoi, les rires qui fusent, la monture de Kory qui se met à danser avec Jean-Eudes jusqu'à frôler dangereusement l'bord du lac. Manquerait plus qu'elles y tombent, ce s'rait dommage, avec le temps qu'il fait c'est un truc à choper une pneumonie ça... Et à mourir dans d'atroces souffrances !

Et puis l'Apo voit l'regard de Kory qui s'fixe sur un point, la curiosité maladive de la d'moiselle l'oblige à zieuter à son tour les deux silhouettes. Une qu'elle connait pas, mais l'autre qu'elle connait trop bien. V'là encore la Pondeuse, décidément ça la poursuit.

Poutou... Poutou et ses grossesses gémellaires de trois s'maines... Poutou et ses suicides à répétition... Poutou et son langage moisi... Poutou qui avait fui Moulins -une des meilleures idées qu'elle ait eues- quand Apolonie y était revenue... Soupir qui s'transforme en rire l'temps de franchir les lèvres d'la moulinoise, un clin d'oeil vers Kory. Et une exclamation lancée pour couvrir l'bruit des sabots et d'leau qui bouge un peu avec le vent.


Toutes mes excuses ma belle, j'pensais pas qu'elle atterrirait chez toi !

Z'avez jamais entendu parler d'la communion entre les hommes et les chevaux ? D'la sensibilité de ces animaux ? Bah c'est l'moment de vous renseigner... A croire que Jean-Eudes avait ressenti à la fois le désespoir sourd de la fameuse Poutou qui n'arrive pas à se tuer parce que des vilains méchants l'en empêchent tout le temps, et celui plus rieur des deux nobles qui aimeraient bien qu'elle réussisse, pour changer. D'ailleurs en en v'là une autre qui vient sauver sa super copine... Une petite foule au bord de ce lac !

Toujours est-il que l'étalon s'lache encore plus, qu'il caracole plus qu'il ne cabriole pour le coup, s'lançant dans une course échevelante -oui, ça décoiffe Apo quoi, pas qu'elle soit particulièrement bien coiffée, mais quand même- direction l'bord du lac et les deux zouaves qui s'y étreignent.

Les rênes sont bien saisies, et Apo essaie de ret'nir l'étalon... Après tout, elle voudrait pas s'retrouver en taule pour avoir tué une cruche pareille... Mais Jean-Eudes n'en fait qu'à sa tête et d'un coup d'cuisseau gascon d'une taille monumentale -presqu'aussi gros que Kory quand elle est enceinte^^- pousse la Pondeuse -involontairement- d'un mouvement sec.

Apo lance un r'gard à Kory, puis s'tourne vers la pauvre cruche.


Oups. Un coup d'main? J'te pousse un peu plus loin ?
Ou j'te file un couteau ? Une falaise ? D'l'arsenic ?
S'tu veux j'fais rempart de mon corps pendant que tu t'jettes à l'eau, pour empêcher qu'on vienne te sauver...
T'sais quand j'peux rendre service moi...


S'doutant bien que Poutou n'répondrait pas, elle a pas l'niveau la pauvre, elle hausse une épaule, interrogeant Kory d'la pupille. A ton tour !

[Edit pour cohérence]
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Message  Korydwen Dim 9 Nov - 15:07

Arthefax a écrit:Arthefax tourmentée sera promena le long du lac. Elle était tirraillée entre plusieurs choses et ne savait pas qu'elle décision prendre.

Elle entendit crier une voix :

Poutou! Recule d'un pas stp! Ne fais pas ça, la vie vaut le coup d'être vécu je t'assure!

Elle accourut aussi vite qu'elle put aupres de poutou et alla aider miranthor.

Poutou, arrete tu sais qu'on tient a toi. on a déja passer asser de cap pour surmonter celui la. Puis aujourd'hui, j'ai besoin de toi, avec mes mains je sais pas faire grand chose pour le moment.

Miranthor a écrit:Miranthor fut surpris de voir avec quelle brutalité cette inconnue vint les percuter avec son cheval. Il fut frapper de plein fouet avec Poutou et essaya d'amortir la chute de Poutou qui n'avait pas besoin de ca. Il eu envie de sauter sur Apolonie mais Poutou était plus importante. Miranthor fut soulagé de voir arriver Arthefax. Il pris Poutou dans ses bras et entama le chemin vers la taverne d'Arthefax pour essayer de remonter le moral de Poutou tout en ignorant la femme qui venait d'arriver.

Korydwen a écrit:Promenade peu calme, autant dire agitée, un vent de foli soufflait par là. Des retrouvailles toujours étonnantes entre l'Apo et la Kory.

Toutes mes excuses ma belle, j'pensais pas qu'elle atterrirait chez toi !

T'en fais pas ! On a vu pire ! J'm'en remettrai !

Amusée par la scène, ennemies d'un jour ennemies toujours, Korydwen souriait et v'là que la monture d'Apo envoie la Poutou quelque part, grimace, yeux qui se plissent, elle se recule légèrement histoire de ne pas être asperger.

C'était couru d'avance de toute façon, Apo ne pouvait pas se voir Poutou et comment pouvait-elle savoir qu'elle se trouvait au bord du lac. Quoi que Korydwen avait entendu plusieurs fois qu'elle allait au bord du lac complètement désespérée, elle avait aussi subit Poutou désespérée au dispensaire. D'ailleurs son dispensaire, elle l'avait enterré, de toute façon,y avait jamais personne et les seuls fois où il y avait eu du monde, le monde avait presque refusé les soins et avait comme chez lui.

Elle rit rien qu'en y repensant, pauvre Mathilde. Mais alors que tout cela se passait, un troupeau de gueux se jeta sur Poutou pour la sauver. Korydwen tourna la tête et si elle avait envie de s'en aller tout simplement, encore une fois ? Elle se tourna vers Apo haussant les épaules. La pupille l'interroge, elle la r'garde en souriant.


J'crois qu'elle a pas b'soin d'aide. R'garde y a tous ces amis !
Ils vont l'empêcher de faire ce qui serait une bêtise pour eux et un soulagement pour toi !
Dommage, pour une fois que tu voulais lui rendre service !
T'auras p'tre d'autres occasions !


Elle sourit, les regardant s'éloigner, pas de BA pour l'Apo aujourd'hui, plus tard peut-être. Elle les regarde s'éloigner, en souriant, toujours là quand il faut, don étrange, peut-être des sorciers.

T'crois qu'on devrait d'mander à l'inquisition d'enquêter ici ? Réagissent vite non ?

Miranthor a écrit:Une fois les deux chevaux hors de vue, Miranthor se sentit soulagé , la pression était redescendu. Il continua comme même à un bon rythme pour rejoindre la taverne inquiet pour Poutou.

Apolonie a écrit:Z'ont pas l'air très joueurs dans l'coin... Tandis qu'les chevaux continuent leur manège de grand n'importe quoi, à caracoler joyeusement sur la berge, les deux nobliottes causent comme si elles étaient en plein salon d'thé. Faut dire qu'elles ont l'habitude de t'nir à cheval... L'une parce qu'elle est comme qui dirait née sur un canasson, l'autre parce qu'elle est une jouteuse émérite, et aussi parce qu'elles ont toutes deux fait la guerre plus souvent qu'à leur tour...

La Poutou en inexistence fade qui s'laisse mener par ses potes, l'regard qui s'lève au ciel. Mais bon sang, elle veut disparaitre, laissez la donc faire... Chacun ses choix nope ? D'ailleurs, sa baronne chérie semble tout à fait d'accord avec elle.


J'crois qu'elle a pas b'soin d'aide. R'garde y a tous ces amis !
Ils vont l'empêcher de faire ce qui serait une bêtise pour eux et un soulagement pour toi !
Dommage, pour une fois que tu voulais lui rendre service !
T'auras p'tre d'autres occasions !


ouais j'vois ça... M'enfin est-ce vraiment d'l'amitié que d'l'empêcher d'réaliser sa plus profonde envie ?

Le minois s'fait angélique, noyant le rire sous un sourire niais d'la fille adorable qu'elle sait être quand l'paysage est pas pollué par des chougneuses.

Bah... j'vais pas la poursuivre non plus...
Contrairement à elle j'ai une vie et des trucs à faire, autres que d'm'ouvrir les veines ou m'jeter dans les lacs... Ou pondre chiards tiens.


Les chevaux semblent se calmer un peu, et Jean-Eudes tire sur les rênes, comme si y'avait de quoi grailler au sol. Suivant des yeux l'petit groupe qui s'éloigne au loin, elle r'garde Kory.

L'Inquisition? j'crois qu'eux aussi ont mieux à faire que d's'occuper des devins d'taverne ou d'village...
Sinon j'me disais... que j'resterais bien quelques jours dans l'coin.
T'sais où j'pourrais loger ?

Poutou12 a écrit:Poutou se laissa emmener malgré sa douleur au ventre , elle ne regarda pas les deux femmes partir, elle avait trop de mépris pour elles.

Korydwen a écrit:La troupe des joyeux amis sauveurs de Poutou s'en allait doucement, elle riait aux éclats la Baronne, mon dieu que ça défoulait depuis le temps que cette dame lui prenait la tête avec ses histoires de suicides. Envie mourir oui, bein tu le fais une fois et hop t'existe plus et t'embête pas ton monde avec ça. Elle avait peut-être un besoin chronique d'être le centre du monde, elle devait avoir besoin qu'on s'occupe d'elle en continue. Parait qu'elle était à nouveau enceinte, elle avait un rythme de vie, différent du sien, du leurs. Ca la faisait rire, Althiof et elle, avait reçu comme surnom les lapins, mais alors elle c'était quoi lièvre ? C'était une hase ? La femelle du lièvre.

Korydwen les regardait partir, elle avait bien vu Poutou, elle lui sourit niaisement, quitte à se faire détester autant l'être complètement, après tout, on ne peut aimer tout le monde et fort heureusement la vie serait si triste. Elle pouvait avoir du mépris, la baronne s'en fichait comme de sa première chemise, au moins personne ne la forçait à vivre elle, elle était libre de ses choix et de ses actions.

Elle aurait pu rire au nez de Poutou, celle qui avait réussi à mettre sans dessus dessous son dispensaire, celle qui n'écoutait pas les conseils. Elle sourit à Apolonie.


ouais j'vois ça... M'enfin est-ce vraiment d'l'amitié que d'l'empêcher d'réaliser sa plus profonde envie ?

Ouais t'as raison, après tout ! Forcer quelqu'un à vivre est-ce être son ami ? Ca j'en suis pas sure, z'ont pas l'air de bien comprendre ce qui se passe dans sa tête.

Bah... j'vais pas la poursuivre non plus...
Contrairement à elle j'ai une vie et des trucs à faire, autres que d'm'ouvrir les veines ou m'jeter dans les lacs... Ou pondre chiards tiens.


Elle éclata de rire, et son rire résonna légèrement, que ça faisait du bien de rire, elle en avait prit pour au moins une semaine là.

Puis j'suis sure qu'en t'ouvrant les veines, tu t'raterais pas. Quand aux chiards je crois que la question est réglée. Aller va, on s'en fiche, les gens comme ça n'ont absolument aucun intérêt.

Haussement d'épaule, qu'est-ce que c'est drôle depuis le temps qu'elle en mourrait d'envie, qu'elle restait calme, mais quand on la gonfle la Baronne, on la gonfle et ça finit par péter, même plusieurs semaines, mois jours.

T'as peut-être raison, ils viraient fous à l'Inquisition. Laissons les... Dans leur coin après tout...

Son cheval piaffait et tournait sur place, la Baronne écoutait Apolonie, elle cherchait un coin ou crécher.

J'connais une auberge, l'auberge du Drakar tenu par Ladyday, elle est gentille. J't'y conduis si tu veux !

Astero a écrit:En entendent arrivant au bord de ce lac, Astero pu entendre les propos d'Apolonie et ce dit doucement:

"Quelle honte d'avoir de tel propos dans la bouche et de prétendre femme.."

"Quel que soit l'act et la pensé, nul n'est au dessus des autres.."

Astero se pris de pitié envers un être aussi abject..

"Si elle arrive a vivre avec une tel conscience..."

Astero s'éloigna de ce lac si beau et se dit que trop de bête féroce y rode...

Anglia a écrit:Anglia se prommenait sur la berge du lac, il sentait dans l'air comme une odeur de tristesse et de larmes, de peines et de doutes.
Pourtant, elle trouvait cet endroit si beau, si appaisant. Elle contempla les reflets orangés du soleil sur l'eau lisse et clair puis sonngeant qu'il n'etait pas trop tard elle se devétie en plongea dans l'eau qui n'etait pas si froide pour une heure de fin de journée.

Poutou12 a écrit:Poutou arriva près du lac, cette endroit l'avait meurtrit à tout jamais,
elle savait que l'enfant quelle portait n'était plus,pourquoi mais pourquoi?
Fatiguer, elle s'allongea et regarda le ciel.
elle vit une colombe s'aprocher d'elle, elle la reconnu.


Au bord du lac de Montbrisson Colombe PARDONNE POUTOU

Elle vit son message, était elle capable de pardonner, elle qui avais si souvent pardonner, pardonner encore une fois, ou pour la dernière fois?

Elle se leva et dit au revoir à ce beau lac, elle repris le chemin du village plier par la douleur.
Feesarah a écrit:Fée arriva au bord du lac. Le froid lui mordait les joues malgré une grosse écharpe de laine qu'elle tentait en vain de remonter le plus haut possible sur son visage. Elle marchait doucement, suivant la rive, écoutant le bruit de cet hiver qui s'annonçait. Les oiseaux ne chantaient presque plus, les seuls roucoulements qu'on entendaient semblaient loin et près a s'endormirent durant le long de la saison qui arrivait a grand pas.

Tapant dans un cailloux, elle le regarda rouler plus loin, puis délicatement, comme si seul le souffle d'un ange était responsable de sa chute, le vit sombrer dans l'eau du lac. Continuant sa route, elle se mit a chanter une belle mélodie qu'elle avait retenue de son enfance pour réchauffer ses cordes vocales. Elle tournoya sur elle même quand la note exigeait un aigu assez persant. Combien de fois, elle avait entendu cette chanson? des centaines de fois, des milliers...? Elle ne s'en lassait pas.

Une fois le tour de ce point d'eau finit, elle rejoignit un endroit qui permettait d'être en même temps près de l'eau et dans de l'herbe non boueuse. Elle disposa une couverture qu'elle avait sortit de sa sacoche et s'allongea dessus. Levant les yeux vers le ciel, elle observa les nuages qui passaient avec une lenteur agréable. Elle passa plus d'une heure a contempler les formes qui apparaissaient au rythme du vent, puis sans s'en rendre compte, elle ferma les yeux et, a travers le rouge de ses paupières, vit d'autres silhouettes, toutes innidentifiable mais si rassurantes. Doucement, son cerveau s'abandonna au bien être de la situation et elle s'endormit là, malgré le froid.
Lysithee a écrit:Enfin libre... Pas évident d'avoir santé fragile... Peuh, santé fragile, que ne fallait-il pas entendre...?! M'enfin... C'est ce qu'ils disaient. Installée dos à un arbre et emmitoufflée dans sa cape, la toute jeune femme relisait les courriers qu'elle avait reçu... Qui donc était cette femme prétendant avoir son propre père pour amant? Lysi savait son père aux côté de sa femme, non dans les bras d'une autre. Chose à éclaircir.... La route l'attendait. Un sourire en pensant au chemin et à ses embuches. Pourquoi pas une petite chasse! C'était de famille aprés tout. De si beaux lapins...

Elle rejeta ses lourds cheveux chatains dans son dos et rangea les vélins dans sa besace. Le temps était froid et la bise qui soufflait n'arrangeait rien. Passant une main fine sur sa cuisse, elle sentit la dague à travers le tissu de la robe. Toujours là, elle l'avait reprise aux nonnes qui la lui avait retiré. Et l'épée de son père était attachée à la selle de son cheval. Parfait. Peu de bagages, le strict minimum. Elle partirait dés que possible. Elle voulait rencontrer la folle qui divaguait au sujet de sa famille. Pourquoi pas lui faire comprendre son erreur. Un sourire se dessina sur le visage, et un éclair traversa son regard. Elle allait s'amuser... Il lui tardait d'arriver. Et la rencontre serait sans aucuns doutes intéressante au possible. On ne touche pas à la famille, surtout aussi proche.

Elle finit par se lever et d'un mouvement souple remonta en selle. Le temps lui était compté!
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Message  Gypsie Mar 25 Nov - 22:55

--Apo. a écrit:Au bord du lac de Montbrisson Avatar16

Tout va bien... Tout va si bien que ça en fait presque peur... Le calme, la tranquillité, la douleur qui s'en est allée... Apolonie qui réapprend à vivre, qui sourit sans montrer les dents. Heureuse, vous avez dit heureuse ? Oui... Elle l'est, elle le sent. Ces picotements de plaisir qui grouillent là, juste sous sa peau, qui font vagabonder les frissons d'envie et d'allégresse sur sa peau. Les cicatrices se font oublier, la tristesse se chasse d'une amitié offerte, prise, savourée. La jeunesse et l'impétuosité, la confiance posée en jalons sur lesquels elle peut compter. Elle les sait en mouvement, elle les sait bien comme ça. Elle n'a pas suivi, mais pense à eux. Ne reniant rien, refusant d'effacer de sa mémoire ces mois, ces émotions, ces blessures qui font ce qu'elle est. Et devant elle une montagne de possibilités qui s'envisagent, un avenir qui se profile, l'ombre repoussée par les ondes amoureuses qui la parcourent. Se retrouver... Du moins le croire... Et un soir, un pigeon, une missive...


Apolonie, ma soeur, mon autre, mon moi...

J'espère que cette lettre te trouvera en bonne santé... J'espère que tout se passe bien pour toi... J'aurais tellement aimé t'avoir à mes côtés po...*tâche d'encre*... et que tu m'empêches de faire l'erreur que j'ai faite... Je suis désolé d'avoir rompu la promesse que je t'avais faite... Il n'y a eut que dégâts et rien de bien qui en est ressorti... Tu te demanderas sans doute de quoi je parle, c'est pourtant simple... J'ai def...*tâche de sang*... combat... Je ne te détaillerais pas comment ça c'est passé et comment ça s'est fini... Mais je voulais simplement m'excuser d'avoir failli à ma promesse... J'espère que l'on se reverr...*autre tâche de sang*...ossible...

Eikorc...

Le sourire qui s'est creusé une large place à la lecture du nom s'efface alors que la suite défile sous ses yeux. Dans l'azur l'orage...Les poings se crispent la mâchoire s'serre. Et en elle l'remue méninges r'prend sa place.
La dispute éclate, violente, avec un blondinet qu'a rien d'mandé. Mais l'est là, et r'fuse d'la laisser fuir.
C'pourtant c'qu'il y aurait d'mieux à faire, la laisser aller r'coller l'masque. Mais non, faut qu'il l'a r'tienne. L'parchemin est parti dans l'âtre d'puis la fin d'la lecture ou presque. Elle veut plus l'lire, elle veut l'effacer.
Elle l'a jamais r'çu.
C'est ça, elle l'a jamais r'çu.
Jamais.

La r'lation qui prend un tournant, l'Apo réveillée qui s'calme, l'temps d'sortir. L'temps d'partager une discussion avec l'écuyer. L'temps d'faire comme si elle rentrait.. L'temps d'aller s'promener. L'temps d'aller sur l'bord d'un lac où elle était arrivée rieuse y'a quelques jours. L'temps d'se poser dans l'froid piquant malgré l'humidité.
L'temps d'noyer un azur métallique comme çui d'son jumeau dans l'eau noire d'un lac à l'image d'son coeur.
Une promesse trahie. L'a même pas eu b'soin d'se poser la question, l'a même pas eu b'soind 'y r'penser. Pas b'soin d'fouiller sous les tâches d'encre et d'sang pour savoir d'quoi il s'agit.
Elle sait.
Combat.
Pour la Lune.
Avec l'Ange.
C'est sûr.

L'Crok qu'est loin. Qui lui écrit. Elle aurait cru à une bonne nouvelle. Elle est si ... et ça. Apolonie qui s'fait toute petite tandis qu'l'Apo r'vient. Elle gronde et grogne en elle. Elle r'ssort comme l'phrasé haché d'la libertadienne. Elle est là, tapie.
Une conn'rie d'croire qu'elle s'tait endormie, naïv'té d'la d'moiselle d'penser qu'la Sombre pouvait disparaitre complèt'ment. La Douleur n's'efface pas. "Je vais prendre ta douleur..." Si seul'ment c'tait pas si dur...

Son frère... Son autre. L'souv'nir d'une rencontre... L'sourire ironique s'trouve une place d'choix sur ses lèvres gercées par l'froid quand elle s'souvient d'leur première discussion... d'leur premier point commun... La Folie.
Chacun ses deuils, mais la même douleur en étendard, la même envie d'faire mal, d'blesser l'autre.
Et d'trouver dans l'regard d'l'autre l'exact reflet du sien... La lueur qui guette l'occasion d'agir... L'frangin... une Miette sur les g'noux d'un Colosse, un lien inébranlable, creusé si profondément en eux qu'elle y avait cru.
Elle avait gobé ses promesses comme une môme avide d'confiance mutuelle. Elle avait pensé qu's'il avait une influence sur elle c'tait l'même cas pour lui.. C'te blague...
D'un poing rageur elle essuie une larme imaginaire, l'Apo pleure pas, c't'un truc de faible ça. Non, elle préfère attaquer sa peau à coup d'ongles. S'faire mal pour pas s'laisser percer l'coeur par la déception.
En dehors même d'l'acte qu'elle condamne, c'est cette rupture... Une promesse non t'nue. Comme tant d'autres...
Une denrée rare l'serment qui s'respecte.
Même Lui. Même Eik.

Jouant d'la dague entre ses doigts engourdis, l'Apo bataille pour r'prendre sa place, r'foulant Lonie au pieds, la r'jettant dans les limbes. Mais l'combat est pas équitable.
L'Apo avait sa place à l'époque... Entourée d'morts, entourée d'fous, la d'moiselle pouvait pas lutter... n'voulait pas s'battre contre la Folie...
Voulait mourir... Voulait tuer.

L'combat s'fait d'haute lutte sous la caboche d'la brunette. Apolonie veut pas s'laisser bouffer, pas encore. Elle sait maint'nant qu'le sentiment d'liberté qu'on peut r'ssentir à s'laisser vivre s'lon les instincts est aussi une prison...
Elle veut plus s'laisser submerger... elle veut continuer à sourire. L'Apo n'peut rien contre l'envie d'vivre. Elle peut rien faire contre l'rosissement niais des pommettes d'l'amoureuse. Elle peut pas éradiquer c'désir d'être heureuse.
Et d'une pensée à l'autre elle s'chasse... D'une respiration calmée à une autre tranquille elle s'pousse... Pour l'moment éviter d'penser à eux, au loin. Pour la première fois d'puis des lustres, fermer les yeux et r'fuser d'laisser l'Colosse s'imprimer sur les pupilles.
Conn'rie.

Et se concentrer... Une petite musique qui taille sa route entre deux images. Forcer le sourire pour pouvoir l'affranchir. Appeler devant elle les siens. Appeler devant elle ceux qui ne trahissent rien. Appeler ceux qui ne font pas de promesse. Et desserrer les poings. Eclaircir la pensée. L'azur comme le ciel se fait plus doux et moins noir. La nuit aura filé comme la colère. Le léger ressac de l'eau apaise la jeune femme. Ne reste qu'une pointe de déception, une envie de comprendre... Plus tard, tout à l'heure, il faudra écrire. Il faudra confier au velin le chagrin plutôt que de le laisser renforcer l'Apo... Et l'envoyer vers un frère qui mérite qu'elle soit là. Quoiqu'il fasse, quoiqu'elle veuille. Parce que c'est ça aimer non ? Ne pas toujours se comprendre, parfois se décevoir, mais s'aimer quand même. Et le lien n'est pas rompu. Et elle aime. Fraternellement, amoureusement, amicalement, tendrement. Et ça la sauve. Ridiculement mièvre, profondément niais ? Et alors... Elle est elle-même, elle veut vivre, elle veut profiter, rire et jouer. Endormie, l'Autre ? Oui, mais maintenant Apolonie le sait. Il faudra être vigilante...

Gypsie a écrit:Là bas, c'était le coin des amoureux. A éviter car on était presque sur de déranger l'un ou l'autre couple entrain de se conter fleurette. Autant s'arrêter ici ou faire demi tour, repasser devant le débarcadère, continuer de quelques pas et s'assoir sur le banc placé idéalement pour profiter, l'été venu, des magnifiques couchers de soleil sur le lac. En allant plus loin, on risquait de déranger les pêcheurs durant la journée.

Travail au tribunat terminé, cours prochains planifiés, professeur sévèrement réprimandé car sa négligence avant nuit au bon fonctionnement de l'université, enfin un peu de temps libre pour flaner au bord de l'étendue d'eau bien calme en cette saison. Au bord, on pouvait déjà voir les premières morsures du froid, glace fine s'était déjà formée, encore quelques semaines et les patineurs reprendraient leurs exercices sur une belle surface gelée. Peut être un concours serait organisé, comme lors de la venue de Tang, un jour de l'hiver dernier.

Banc essuyé, petit nécessaire à écrire en main, Gypsie s'installa tranquillou. Premiers mots vite trouvés, tout allait bien à Montbrison, au Ba également. La carawane était toujours là, la mairie se portait bien, juste un homme d'église qui manquait au village. Mauvaise nouvelle à annoncer, le père Foulke en retraite, et le décès du doyen du village, Limiri1. C'est en feuilletant distraitement le registre du village que le tribun remplaçant s'en était aperçue. Se souvenant de la médaille du plus ancien du village qu'elle lui avait remis, il y a bien longtemps, première action effectuée en tant que premier tribun du bourg.

D'où autre annonce à écrire sur le parchemin blanc, lignes tracées ressemblant aux vaguelettes du lac.
" Ainsi mon cher furax, toi et Paxter êtes les doyens de Montbrison. Certainement es-tu l'aîné, puisque le parrain de ton ami. Je ne doute pas un instant que grande fête sera organisée à la Carawane. N'oublies pas de ramener quelque boisson locale, histoire de changer un peu de la bière et la tisane habituelles. "

Sourire... était ce la peine d'écrire cela ? Lui ramènerait le liquide, et Jazon, sans aucun doute, le solide. Ce dernier avait un très fort penchant pour la bonne chère. Souvent, dans les discussions, il parlait de manger. Impossible de sauter un repas avec lui.

Quelques lignes rajoutées encore, une question, un espoir de sa présence pour les fêtes de Noël ; une envie, grande envie d'avoir tous les amis et êtres chers au village pour cette période si douce et heureuse de l'année, celle ou le soir de Noël tout est pardonné, tout est magique, féérique, ou petits et grands sourient de ravissement et de plaisir devant les cadeaux offerts... Un espoir, toujours de l'espoir, celui qui faisait se lever et avancer chaque jour.

Inutile de souffler sur l'encre déjà sèche par la petite bise près du lac, parchemin enroulé qui serait attaché à la patte de la chouette Petite de Jazon. L'autre message était déjà prêt, l'animal pourrait s'envoler vers le sud rapidement. Et les jours suivants passeraient à guetter son retour dans le ciel auvergnat.

Soupir, sourire, un peu de bonheur retrouvé près de l'eau du lac de Montbrison. Lui était toujours là, celui qui écoutait les confidences des montbrissonnais, le témoin des bons et moins bons moments de la vie de tous ici.

Juste une petite clarté diffusée sur le lac par l'astre de nuit, il était temps de repartir après cet agréable interlude dans une journée bien remplie. Gypsie se leva et repartit le coeur léger.

Bettym a écrit:Le lac de Montbrisson et son appréhension de l'eau. Une promesse en tête mais l'absence de celui qui l'a faite. Où était-il encore passé ? Elle avait pourtant bien fait les choses lorsqu'elle était à Lyon. Elle avait prévenu les autorités de patienter deux jours pour qu'elle puisse regrouper tout le monde. Mais non, comme d'habitude, il n'en faisait qu'à sa tête et avait disparu.

Elle bougonnait, râlait après lui. A croire qu'il l'avait fait exprès de louper le départ. Il ne voulait pas rentrer en BA et elle avait encore fait des pieds et des mains pour revenir. Fallait dire que la raison de son retour n'était pas anodine, une amie, son amie allait se faire baptiser et pour rien au monde, elle n'aurait manquer cela.

Perdu dans ses pensées, elle avançait vers ce lac, couverte, emmitoufflée dans une sorte de cape bien chaude que son Berger avait confectionné avec tant d'ardeur. Il faisait froid mais qu'importait, il fallait qu'elle voit ce lac, qu'elle l'apprivoise avant d'enfin apprendre à pêcher et d'étrenner cette barque qu'elle avait retrouvé sur sa caboche un beau matin.


Tu parles d'un cadeau ! marmonna-t-elle, sans se rendre compte que ses pensées avaient pris la tangente et avaient passer la frontière de ses lèvres. Même pas une notice pour s'en servir.

Elle était proche de la destination quand elle aperçut une silhouette familière. Etait-ce bien elle ? Il n'y avait pas de doute, ce ne pouvait être qu'elle. Un sourire aux lèvres, elle alla à sa rencontre quand elle s'aperçut que la jeune femme paraissait soucieuse. Lui demander si elle allait était complètement stupide, surtout qu'elle répondait toujours pas la même question. A force, elle en avait pris l'habitude et s'en amusait. Elle faisait comme elle ou presque.

Se campant devant la noble, prenant sa voix enjouée sans se forcer tellement la joie de la revoir était là...


Coucou toi ! Tu sembles bien rêveuse ou inquiète. L'azur de son interlocutrice croisa ses prunelles grises et le charme opéra. Qu'est-ce que tu fais ici, toute seule comme une âme en peine ? ne put-elle s'empêcher de demandant tout en observant la Sentinelle se déplier gracieusement.

Retrouvant celle qui pouvait incarner la joie de vivre, et les deux Moulinoises se tombèrent dans les bras l'une de l'autre. A croire qu'elles ne s'étaient vu depuis une éternité ! Il fallait dire que deux mois à passer ensemble, une semaine semblait un siècle dès qu'elles étaient séparées. Certes les courriers étaient là pour se rappeler à leurs bons souvenirs mais cela n'avait rien à voir avec une discussion de vive voix.

Une fois, la surprise et la joie passée, elles s'installèrent sur la souche non loin de là et commençèrent à discuter de tout et de rien, des voyages, des amours, des loisirs qu'elles avaient chacune de leur côté...

Quand Bettym s'aperçut que le soir allait tomber, elle se rappela soudain la raison première de sa venue en BA. Et d'un bond, elle se leva faisant face à Apolonie.


Dis ma grande, je dois aller me préparer pour prendre la route vers Thiers. Tu m'accompagnes ?
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Message  Korydwen Lun 8 Déc - 18:23

Belleetoile a écrit:Au bord du lac de Montbrisson Anges_28p

Depuis le 21/10/1456 Etoile marchait le long de la rivière, elle ne sais par qu'elle miracle sa marraine lui avait écrit, elle savait ou elle était et arriva enfin après 11 jours de marche à Montbrisson, on lui avait dit qu'ici elle trouverait calme et repos.

Pendant son voyage, elle avait rencontré bien des gens des ville des villages: Le Maine:
Le mans, là j’ai bien rit, j’ai rencontrée Ruthy ,nous sommes montées sur le toit de la taverne. La touraine: Vendôme ,Tours, Loches. Le Berry: ST Aignan, Bourges.
Enfin je rentre dans le Bourbonnais Auvergne: Bourbons, Là je rencontre Deilayra, Gryfen, les amis d’Arthe.
Enfin Montluçon: Là j’ai la joie de pouvoir embrasser ma marraine arthe, elle me présente Capri et j’ai pue constater que cette personne avait du caractère (boudi).
Thier. Enfin la fin du voyage Montbrisson: 11 jours de route, le repos pour elle.

Etoile attendait un bébé, cette enfant était la seule chose de son passée qui lui restait, elle vit un arbre s'assit le dos appuyer contre lui et se mit à rêver.

Etoile se leva, commença à faire le tour du lac, la solitude était là, elle rêvée de son passé pas une seule personne qui pêcher, toutes les barques était là à attendre.
Que faire? Que dire? Regarder le reflet du soleil dans l'eau, se demander qu'elle sera l'avenir de son enfant, sans père.
Belle était là depuis une semaine, la nuit commençait à tombée,
elle s'arrêta près d'un barque, deux rames étaient posée dedans, elle monta et se mit à ramer.


Au bord du lac de Montbrisson Cygnes

Arrivée au beau milieu du lac, sa surprise fut de voir des magnifique cygnes au plumage majestueux.
Etoile sortit de sa besace des morceaux de pain et leurs lança.
Etoile observa avec émotion ses cygnes.

Arthefax a écrit:Arthe passait par la pour une promenade, et regarder le beau lac.

Elle s'assit et profita du calme.
Ambris a écrit:Il regarda Deil dans les yeux, on ne pouvait lire sur son visage aucune émotion, un entraînement voila ce qu'elle voulait, sans dire un mot Ambris retira le Bâton de son dos, il savait qu'elle ne lui ferait pas de cadeaux, ça tombe bien lui non plus, son visage se ferma, ses sourcils se fronça son visage s'assombrit d'un coup, enfin le combat qu'il attendait depuis longtemps

Deil, ça sera quand tu voudra, ch'ui prêt

Ambris se focalisa sur Deil et son bâton, elle pouvait se lancer a tout moment, il savait qu'elle était forte, il fallait qu'il se méfie, la jeune femme était certes très jolie, mais ce sont généralement les plus dangereuses, il resta debout comme si de rien n'etait, le bâton vers le bas attendant le départ du plus belle entraînement de sa vie, combat entre deux guerriers entraîner pour tuer
Deilayra a écrit:Deilayra sourit, il était décider vu son visage, et elle lui souriait!!! Bien, vu qu'il préfèrait la laisser commencer autant qu'elle s'amuse un peu!!!

Elle s'avanca sur son flanc gauche, le baton en position haute comme pour frapper vers le bas une fois a sa hauteur elle feinta a droite en rabaissant son baton et frappa de bas en haut au niveau de sa mains qui tenait le baton qu'il lacha avec toute évidence... Elle le recupéra se retrouvant dans son dos elle aurait pu le frapper de n'importe qu'elle facon mais ca aurait été stupide!!! elle se retourna lui tendit le baton et attendit qu'il se remette face a elle pour le récupérer en souriant et le fixa dans les yeux avant de lacher en se moquant légèrement...
Tu pourrais au moins le tenir correctement sinon tu va finir par terre, c'est ca qu'ils vous aprennent a la COBA..

Elle était cruelle autant que dans un vrai combat elle adorait jouer avec son adversaire ca donnait de l'interet..
Ambris a écrit:Ambris fut surpris par la vitesse d'exécution, pas vraiment prêt, pas vraiment concentrer, il ne pouvait s'en prendre qu'a lui même, désormais il avait vraiment vu de quoi elle était capable. Un sourire en coin apparut

Il prit son bâton qu'il tena fermement désormais, fit glisser un pas en arrière, puis se mit a foncer sur elle comme un furieux, ses cheveux allaient d'avant en arriere, il aimait se battre cela se voyer, une lueur se mit a briller dans ses yeux
Arriver a proximité de Deil, il fit une feinte et sauta sur le rocher où était poser l'aigle tout a l'heure, arrivant ainsi derrière Deil, puis dirigea son bâton vers les jambes de Deil
Deilayra a écrit:Deilayra se dit qu'il avai just voulu la tester d'ou le fait de l'avoir fait commencer la première mais elle lui avait juste donner un appercu histoire de l'embeter un peu si elle avait été sérieuse elle l'aurait déja mis a terre...

Il lanca l'attaque et feinta au dernier moment, elle ne l'avait pas vu venir elle pensait qu'il était du genre a lancer des attaques frontale sans user de ruse, ne sachant ce qu'il allait faire dans son dos, elle privilégia les thèse des jambes vu que ceux qui usent de ruses essaye en premier de viser les partie destabillisante et mis son baton en parade et le coup fut bien donner a cet endroit mais la arade venant un peu tard elle n'avait pas pu suffisement se bloquer...
Le baton d'Ambris frappa le sien qui lui frappas légèrement le mollet en déviant... la douleur n'était pas vive mais elle sentit quand même le coup et serra les dents

Elle pouvait juger de la postion récise d'Ambris dans son dos grace a ca, et sans se retourner elle s'agenouilla et donna un coup d'avant en arrière vers le haut pour atteidre son adversaire au niveau de l'estomac...
Ambris a écrit:Il vit tout noir, il avait reçu le coup a l'estomac de plein fouet, son visage se tordit de douleur, son bâton lui lâcha des mains et s'agenouilla au sol sous la douleur, Ambris eut du mal a reprendre son souffle, elle ne l'avait vraiment pas louper, si il continuait comme ça, il ne survivrait sûrement pas a ce combat, il oublia ses soucis, tout ce qu'il avait pu connaître, oublia qui était devant lui et les liens qu'ils avaient ensemble, ce n'etait plus Deil dans son esprit, il détestait recevoir les coups

Son bâton était toujours au sol, il se releva et la regarda avec des yeux qui semblaient différents de d'habitude, des yeux qu'il n'avait jamais eut auparavant d'ailleurs, quelques vaisseaux avaient exploser sous le choc du coup


Passons aux choses sérieuse desormais

Calmement il se pencha pour prendre son bâton, posa une main a plat sur le sol, puis d'un coup il prit appuie sur celle ci et avec sa jambe qu'il poussa vivement et vint frapper le derrière des genoux de Deil tout en reprenant le bâton
Deilayra a écrit:Deilayra ne s'attendait pas a ca, elle pensait pas l'avoir toucher à ce point, elle était assez fière d'elle quand elle dut surprise de recevoir son pied dans les genoux, la douleur fut si vive qu'elle tomba a genou au sol...
Il lui fallut quelques seconde avant de se relever et tenir droit sur ses jambes...
Elle se releva baton en main et le toisa de la tête au pied n'appreciant pas trop le coup bas...

il voulait etre serieux bien il sera servit alors...elle s'avanca vers lui sur son flanc gauche cette fois ci!! baton en position haute, une fois auprès de lui elle fit mine de feinter sachant qu'il s'y attendrait et lanca finalement une attaque frontale
sur son épaule droite...en frappant plus fort que d'habitude
Ambris a écrit:Elle semblait énervé, du moins pas contente, a peine relever elle saisit son bâton et recommença une feinte, Ambris s'y attendait il se décala d'un pas sur la gauche, le baton de Deil tapa le sol, si Ambris avait prit le coup il n'aurait plus d'épaule, qui aurait été exploser sous le coup puissant de ce bâton, voulait elle le blesser, ça il n pouvait le savoir
Ambris dégoulinait deja de sueur, peu importe il ne pouvait se permettre de faire cette pause.
Légèrement sur le côté, il prit le bâton a deux mains et le leva au niveau du visage de Deil


Si c'était une épée et toi une ennemie, je t'aurais trancher la tête, mais aujourd'hui nous allons arreter, de toute manières si cela avait été le cas je serais mort depuis tout a l'heure avec ton coup dans l'estomac

Ambris a Deil, il fallait se rendre a l'évidence, elle était très forte et lui manquait d'entraînement, vraiment dommage qu'elle ne combattait pas avec lui lors des batailles, Ambris s'allonga sur la pierre, essouffler du peu d'effort qu'il avait fournit, quelques choses n'aller pas, il se fatiguait trop rapidement ces derniers temps
Deilayra a écrit:Deil lui sourit, ca remarque était juste, et elle voyait bien que face quelqun qu'elle aimait elle fesait des erreurs stupides....
Elle le regarda s'allonger et s'allongea a coté de lui et le regarda inquiète:


tu va bien??
Astero a écrit:Arrivant, encore en colère...

Il regardais le lac tout blanc, par le gèle et la neige, il se mis sous un sapin
sortie sa peau de son sac et s'enroula avec...

Son esprit submergé de pensé, il regarda le ciel d'un noir apaisent, et les
étoiles brillantes de mille feu...

Le calme de la nuit l'apaisais grandement...

Il se mis a chuchoté:

"Des jours avec et d'autres sans..."

Il se laissa couler dans ses pensées doucement...
Ambris a écrit:Sa poitrine semblait se rétrécir de jour en jour, il avait de plus en plus de mal a respiré, cela lui faisait mal, cela faisait quelques mois que cela durer, mais n'avait jamais prit le temps de ce renseigner sur la cause de ce mal, aussi loin qu'il s'en souvienne il n'avait jamais eut ce genre de soucis auparavant, sinon il ne serait jamais rentrer a la COBA dans cette etat
Ambris vit Deil s'allonger a coter de lui, il se força de faire bonne figure et lui sourit, il ne fallait éviter qu'elle le sache, même si pour le coup c'était quelques peu raté, il allait mal et loin d'être idiote elle l'avait vu, il décida de tout lui avouer


Non, ça va pas trop, j'ai un peu du mal a respirer mais ça va aller pour aujourd'hui, je passerais au dispensaire demain, Kory trouvera bien ce que j'ai

Ambris se releva et se mit au dessus d'elle puis l'embrassa tendrement, la câlinât et finit par s'endormir a ses cotés
Deilayra a écrit:Deil fut d'abbord inquiète mais l'idée qu'il aille au dispensaire pour voir ce qui n'allait pas la rassurait...
elle lui rendit son baiser avant de se coller a lui pour ne pas avoir trop froid puis s'endormit dans ses bras..
Sianne a écrit:Sianne, qui était arrivée récemment à Montbrisson, décida d'aller se promener sur les bords du lac. Quand elle arriva, elle vit le lac gelé, il fallait s'en douter, c'était l'hiver. Les basses températures avaient fait que l'eau se soit solidifier.

La couche de glace était-elle assez solide pour qu'elle puisse marcher dessus?
Elle commença a avancé prudemment sur la glace, elle l'entendit craqueler sous ses pas mais la couche de glace avait l'air d'être épaisse.

Sianne scruta l'horizon et vit un couple sur l'autre berge...ou était-ce simplement deux amis? Elle ne préféra pas aller voir pour ne pas les déranger...

Elle retourna sur le bord du lac et s'assit dans la neige.
Elle continua de regarder le paysage, qu'il était beau au coucher du soleil !!!
Tristan.de.rhodes a écrit:Il était enfin la certaine chose l'avait retardé mais il etait la, il l'a voyait assise dans la neige, elle allait avoir froid, il courut la prendre dans ses bras pour la rechauffer, ces joues etaient rouges cela lui allait si bien, il l'a trouvait tellement jolie emmitouflé avec son chapeau et son col, il la serra tout contre lui et se tourna vers le coucher de soleil, il lui dit

=rien n'a jamais ete plus beau que de regarder ceci avec toi

il prit son visage dans ses mains et l'embrasse tendrement...
Sianne a écrit:Pendant qu'elle regardait le coucher du soleil, Sianne entendit des pas dans la neige, elle se demandait qui cela pouvait bien être mais elle ne se retourna pas pour autant.
Ce coucher de soleil était le premier qu'elle voyait depuis qu'elle était à Montbrisson et elle s'en aurait voulu si elle le ratait ce soir là.

Les pas se pressèrent peu à peu et la personne qui courait vint la prendre dans ses bras. C'est là qu'elle le reconnu. Tristan. Elle était heureuse de voir qu'il était là, à ses côtés.

Il s'assit à côté d'elle et il lui dit:

<<rien n'a jamais ete plus beau que de regarder ceci avec toi>>

Elle sourit à ses mots puis elle le sentit prendre son visage dans ses mains et l'embrassa. Elle lui rendit son doux baiser et se serra contre lui.

Sianne grelotta, être assise sur la glace lui avait glacé l'arrière train. Le soleil était maintenant couché; il faisait nuit à présent. Elle regarda Tristan, se releva et lui dit:


Viens on va marcher un peu.
Belleetoile a écrit:En cette après midi du 26 décembre, Belle arriva devant le lac gelé, elle fit le tour tranquille, la neige tombait, un vent glaciale la fit frissonner mais n'avait pas envie d'aller en taverne, ses amis allaient prendre ce soir la route
pas elle, elle restait là avec Gauthier, le travaille l'attendais.
Elle vit l'arbre couvert de neige, elle s'assit et regarda le lac si calme.
.lou. a écrit:Il faisait froid..., presque personnes venaient ici...il y avait encore de la neige sur les arbres et dans l'herbe, Lou venait de faire un petit tour au marché, elle posa son panier contre un arbre puis se dirigea vers le lac, elle trempa son doigt dans l'eau puis le ressortit aussi vite, elle resta assis à côté et se mit à réfléchir à tous ce qui c'était passer, elle regardait le lac puis des souvenir de Polignac lui revint..., tous ses amis étaient la bas, ici elle était perdu au milieu de personne qu'elle ne connaissait pas vraiment. Elle avait beau dire que tous allait bien, ses yeux disaient le contraire, ses amis lui manquait, Polignac lui manquait...ici ce n'était pas pareil...
Elle avait le regard vide, puis une larme coula le long de sa joue, elle pensais à tous ce qu'elle avait fait à Polignac pour finir ici...seule.
Elle se leva, sortit l'épée de son fourreau, la planta dans le sol se mit à genoux devant, elle laissa ses mains sur le pommeau baissa la tête et s'excusa auprès d'Aristote...elle avait promis de donner sa vie pour la sauver...mais elle est morte..devant ses yeux sans rien pouvoir faire. L'épée planter dans le sol, elle était à genoux devant la tenant par le pommeau laissant les larmes couler sur son visage...Elle ne pouvait rien faire...ces hommes étaient toujours en vie et airaient...elle sans voulaient, elle avaient promis de la venger...elle parlait à voix haute à Aristote sans même sans rentre compte...


" Pardonne moi...je l'avais promis de prendre soin d'elle, elle est morte sous mes yeux!! Je n'ai rien pu faire!!!!!!! Je ne devrais pas pleurer...en tant que ex soldat je devrais la venger!!!!! MAIS JE SUIS ICI FAIBLE et seule..."

Elle se leva, retira son épée du sol et partit...
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Message  Gypsie Mar 30 Déc - 23:24

Deilayra a écrit:Le froid et la neige couvrait le lac!! au fond on pouvait voir les animations se déroulées et les gens s'amuser...
Elle débarrassa la neige du roichers et s'assit apres avoir rajuster sa cape...
Elle regardait le lac gelé et la neige tomber calmement sur les arbres nus...
Elle souriait, juste par ce qu'elle savait...parce qu'enfin elle vivait et peut importe où cette vie la mènerais, ce qu'elle venait de lui offrir quelque chose qui ne se paie pas, qui n'a aucun prix et qui a plus de valeur que la vie elle même...Rien de plus beau n'existait elle l'avait compris et elle savait que rien ne serrait pareil maitenant...

Vivre ne servirait a rien sans ca, sans avoir juste connu ca...

Elle resta là a contempler le paysage pensive, heureuse..la main sur son ventre et tout ce que ca représentait..
.lou. a écrit:Il faisait noire lou pleurait et ne pensais plus a rien appart lui...il avait mis la cerise sur la agteau, elle n'en pouvait plus et ne tenais à rien, elle voulait plus rien sauf mourrir elle marchait sans savoir ou elle allait...ses larmes coulais comme des perles sur ses joues.
Elle s'assis au bord du lac...elle était gélée, en pleure et saoule, elle regardait le lac sans bouger...
Inracien a écrit:inracien avait été témoin de la trahison de Astero vis à vis de lou et de la duplicité de Deil. Lorsqu'il vit lou partir de la taverne, il la suivit de peur qu'elle ne se fasse du mal. Il la vit s'asseoir au bord du lac et se mettre à pleurer.

Il la rejoignit et s'asseya à ses côtés, l'entourant de son bras.


-Lou, j'ai de la tristesse pour toi. Tu ne méritais pas ça. mais il ne mérite pas que tu meurres à cause de lui. Je suis ton ami. Et tu m'a dis que je comptais plus pour toi que ta propre vie. Alors prouve moi ton amitiée en restant avec Zizine, Fée et moi.

Il vit qu'elle avait froid. il ôta sa chemise et la mit sur ses épaules.

-Allez vient maintenant, on va à la maison.

Il l'aida à se lever et ils allerent chez lui.
.lou. a écrit:Non..je ne veux pas, je veux restée la...y restée pour toujours, cette pauvre fille de l'aimeras jamais plus que moi...il paraitre que ast est le père de son enfants...elle peux raconter ce qu'elle veux...j'avais entendu dire que c'était une fille bien...BIEN ?? Il n'y pas pireque elle faut croire..elle reste avec sachant sa...sa me dégoute!!!

Lou resta assis sur le sol et pleura...elle pensa et réflachissa,tous ce mélangeait..

Il a mis la cerise sur le gateau..ca n'allait déjà pas bien avant..tu sais pourquoi mais alors la...c'est de pire en pire...
Deilayra a écrit:Le froid était lourd ce matin, les pas restait graver dans la neige, on pouvait juste entendre le bruit du vent dans les arbres...Deilayra avancait d'un pas lourd et se mis sous un arbre y deposa sa malle...
Elle fit de la place autour d'elle, se mis face au lac et sortit sa Harpe... elle sortit aussi 5 roses rouges...

Elle regarda le ciel, sombre et triste comme ce jour toujours le même chaques années....

elle mumura tout bas:


Pardonnez moi si je vous est décu, si de la haut vous avez honte de moi, si je ne suis pas celle que vous voudriez, mais je vous oublies pas je le jure, je fait de mon mieux et un jour vous serrez fiers...Vous me manquer tant et finalement j'aurait préfére que tout soit inverser...je le meritait plus que vous et vu ce que j'ai fait de la chance qui m'a été donner...

Regarde son ventre et sourit,
je promet de faire de mon mieu a présent, c'est peut etre la seule chose que j'ai fait de bien...vous ma manquer temps

Elle se tut posa les roses au pied de l'arbre et se mis a jouer de la Harpe en pleurant...

http://fr.youtube.com/watch?v=Clgs31pDsLk&feature=related
Deilayra a écrit:La musique fini et tout s'eteint, la lumière, l'espoir...il ne restera que le néant...

Deil se leva de sa place et laissa la Harpe elle pris juste une fiole et marcha sur la rive, tout était si calme...Comme si ce jour avait passer a l'attendre lentement, le jour où plus rien ne resterait, juste un immense vide, le noir complet, et la paix...le jour de l'oubli...
Trop d'érreur, trop de doute, trop de souffrance, elle ne pouvait plus tenir et puis de toute manière il n'y avait plus rien a tenir...

Elle regarda autour d'elle le paysage comme pour graver ca dans sa mémoire qui allait devenir vide, sans nom, sans vie...Elle ne serait plus personne...une ombre rien de plus ce qu'elle a toujour été...

Elle s'assit en tailleur sur la glace du Lac...elle regarda son ventre et murmura:


Pour toi une nouvelle vie...

Elle pris la fiole et bu son contenu, puis plus rien....

Elle se reveilla quelques minutes apres et il n'y avait plus rien...plus de souvenirs...elle resta la assise égarrée fredonnant un air venant de nul part...tout était vide, elle regarda la fiole vide devant elle et se demanda qui pouvait jetter une chose pareil dans un si joli endroit!!
Il fesait froid mais elle avait pas envie de se lever elle se sentait bien ici
Astero a écrit:Arrivant sur le bord du lac, il vit Deila a genoux sur le coté, toute hagarde...
Ce précipitent pour vérifier que tout allait pour le mieux...

Il lui pris le visage entre ses mains et fixait ses yeux, le regard perdu dans le vide, il pris peur...
Il aperçue la petite fiole et la saisie, il l'inspectât du regard, plus rien dedans, puis sentie le goulot , eue un léger recule...

Sortant une peau de sa besace, il la recouvrit puis la releva en lui soufflant doucement:

"Je te ramène chez toi, ne t'en fait pas..."

La pris sur son dos et se dirigea lentement vers le village...
Astero a écrit:Affaiblie par cette chevauché inhabituelle, le froid et la fatiugue, il reviens sur le lieu et scrute des yeux l'endroit ou était Deila...

Il apperçue ce qu'il était venu chercher et dit:

"hm...là voilà!"

Il se penchât et pris la précieuse harpe...

" Cela l'aidera..."

Il repris le chemin du village...
Juliette1357 a écrit:Juliette, qui avait bu plus que de raison en cette soirée du nouvel an, décida d'aller prendre l'air au bord du lac. Certes, à cette heure de la nuit, l'idée était plutôt saugrenue, mais l'envie était trop forte.
Elle s'emmitoufla dans son manteau et traversa les rues à pas rapide et quelque peu titubant. Le vent froid fouettait son visage mais peu importe, l'alcool aidant, c'était un moindre mal.
Elle arriva enfin au lac, et s'assit, le dos calé contre un arbre.
Juliette fixa l'horizon, se mit à penser aux évènements de la journée, et se dit que décidement il y en a qui ne savent plus quoi inventer pour se rendre intéressant, ça en devient pathétique... et comique... Puis elle partit dans un fou rire qu'elle eut bien du mal à calmer.
Elle appuya sa tête contre l'arbre et ferma les yeux, se laissant aller à la rêverie et envahir par de plus agréables pensées...
Deilayra a écrit:Deil arriva pres du lac bien au chaud dans sa cape elle regardait le paysage de neige et de glace...le calme, la beauté de la nature...Elle toucha son ventre... elle savait, juste un merveilleux cadeau precieux et fragile qu'elle protegerais...qu'elle aimerait...ce cadeau engendré par l'amour.... elle mumura:

Pour toi mon ange, pour que ta vie soit douce et belle, parce que tu es ce qu'un homme peut offrir de plus précieux par amour pour une femme

Elle regarda le paysage et ne l'oubliera pas... dans quelque jour elle ira voir si elle peut trouver un endroit ou elle ne gènera personne ou les regards des gens ne serait pas que méprisant...ou elle sera acceuillit avec le sourir et ou elle pourrait avoir une seconde chance malgrès des erreurs dont elle ne se souvient..

Elle s'assit sur une pierre gelée sur la rive et contempla se paysage si beau en fredonnant une chanson
Ween a écrit:Ween était arrivé à Montbrisson depuis peu. Chinonais d'origine, il a grandit à côté d'une rivière, rêvant de pêche et de bon vin. Après plusieurs jours de cheval, et des dizaines et dizaines d'hectares de forêts et de vergers traversés, Ween arrivait enfin dans une nouvelle ville portuaire. La vue de l'eau au loin gonfla son cœur. Il appréciait son bruit charmeur et la tranquillité qu'elle apportait à son cœur.
Fourbu mais néanmoins heureux d'être arrivé au terme de ce voyage, Ween aida sa tendre Erzy à descendre de cheval et l'accompagna en taverne afin de trouver une chambre pour la nuit. La fatigue qu'elle avait accumulé ces derniers jours le rendait nerveux, et un pli soucieux barrait son front d'habitude si lisse. Il l'installa donc dans une chambre, l'incitant à prendre quelques heures de repos...
Ceci fait, Ween sortit pour la laisser tranquille, et alla marcher au bord du lac. Comme à chaque fois, la vue d'une étendu d'eau apaisait son cœur torturé. Marchant paisiblement le long du lac, Ween sentait déjà les tensions accumulées lors du voyage doucement évacuer... Seule ici, en pleine nature, il se sentait calme et détendu. Ces quelques instants de repos et de méditation silencieuse lui faisait du bien...
Puis, lentement, un sourire s'esquissa sur ses lèvres. Il pensait à Erze et aux soucis que lui causait son état de santé. Mais surtout, il pensait au mal qu'elle se donnait pour lui cacher. Après tout, le médecin n'avait parlé que d'une petite fatigue, ça devrait aller... Mais elle était ce qu'il avait de plus précieux...
Juliette1357 a écrit:S'étant levée heureuse et de bonne humeur après une bonne nuit de sommeil, Juliette décida d'aller faire une promenade jusqu'au bord du lac.
Elle attendait avec impatience l'arrivée du printemps, revoir la paisibilité de l'eau, les fleurs qui bourgeonnent, les premiers rayons de soleil qui caressent la peau, la vie qui renaît...
Elle s'assit près d'un arbre et profita du paysage, le temps semblait figé, comme le lac gelé...
Profitant de ce moment de calme, elle se perdit dans ses pensées. Elle pensait à lui, cet homme qui occupait son esprit.
Arthefax a écrit:Arthe se promena le long du lac.
Elle pensait a beaucoup de chose a la fois, ca tournait et retournait dans sa tete.

Etait elle a sa place ici?, Etait la voie qu'Aristote avait tracé pour elle?

Arthé en avait marre de toutes ses embuches et autres faits mis sur sa route. Cela faisait Egalement 3 fois qu'elle avait a subir des rumeurs.

Enfin ca aurait été comme avant, elle n'avait qu'a partir. Ici beaucoup était a prendre en compte.

Sa fonction de diacre et ce qui va avec, le séminaire, le poste de conseiller, la taverne qui fonctionnait bien, son métier de charpentier etc.
Et surtout les liens qu'elle avait fait ici.
Puis les projets d'études etc.

Arthe esperait que ca allait passer, que cette fois ci ca allait partir pour elle ne pas de nouveau s'en aller.
Non pas par manque d'avoir fait front mais parce qu'il ne lui restait plus que ca.

Ici elle esperait, pour une fois, rester la ou elle était et non pas partir parce qu'il n'y avait plus que ce choix la.

Arthe suivi le chemin le long du lac regardant ce magnifique paysage figé.

Bien emmitouflée dans sa cape, elle continua sur le chemin, profita du bon air en se disant qu'elle verrait bien mais qu'elle allait se plonger dans le travail jusqu'au dessus de la tete.

Arthé biffurqua a droite au croisement et s'en retourna chez elle
Tinet a écrit:Malgré le vent glaciale de cette journée d'hivers, Tinet du se rendre au lac pour sa pêche quotidienne.
Le trou creusé la veuille était évidement déjà rebouché par la glace et Il perdis une bonne vingtaine de minutes a le recreuser.

Finalement il pus mettre ses lignes en place et remonter celles de la veille, sortant une belle truite au reflets d'argent, qu'il pourra vendre sur le marché.

Il resta un moment la sans bouger profitant de l'air vivifiant du matin et après avoir rangé son materiel, il u subitement une envie de jeter des boules de neiges sur tout les promeneurs qui ce trouvai autour du lac...

Sans plus attendre il fit une petite réserve de neige et partit a la recherche de sa future victime...
Arthefax a écrit:Arthe passait par la elle avait besoin d'un peu de calme et en dehors des endroits que d'habitude elle fréquentait ou dont elle s'occupait.

Elle regarda au loin le lac gelé et ses environs. Elle trouvais ca magnifique et relaxant.


J'espère que ce calme entre les habitants va continuer. Tout redevient doucement a la normale. dit elle tout haut.

Arthe était heureuse de voir que cela s'arrangait sur la question des rumeurs.


Je suis aussi contente de ce que je fais. j'arrive doucement a trouver ma place a l'église et franchement je me débrouille pas trop mal. Le seul truc c'est que les études vont etre longues.

Arthe resta là un long moment puis repartit apaisée de laisser le passé derrière elle.
Deilayra a écrit:L'air était moins frais...la glace fondait a vu d'oeil sur le lac, laissant dégager ses vapeurs qui montait vers le ciel grisé par les nuages...

Le paysages était toujours aussi beau que le premier jour ou elle l'avait vu mais si triste aujourd'hui... peu être parce qu'elle ne vivrait plus ici désormais et que sa vie devait s'épanouir ailleur....
Elle regardait les eux tranquille assise sur une pierre repensant a chaque détail de son arrivée un beau jour de juin... et restait là pensant a tout ce qu'elle laissait et tout ce qui allait venir!!!

Elle souriait tristement un peu mélancolique...les yeux rivés sur le paysage qui annoncait deja un beau printemps
Ambris a écrit:Une belle matinée pour s'entrainer au bâton, le ciel était bleu et les température plus douce qu'elle ne furent il n'y a encore qu'une semaine, un tour au lac s'imposait, avec son bâton dans le dos Ambris traversait les rues tranquille de Montbrisson disant bonjour aux passants avec le sourire
La traverser de village ne fut pas très longue il arriva vite au lac où la couche de glace avait sérieusement diminuer depuis le concourt, la vie reprenait peu à peu ses droits, marchand tranquillement profitant de ce beau soleil Ambris vit au loin une silhouette qu'il connaissait plutôt bien, il ne voulu pas y croire au début mais c'était bien elle, elle était revenu

Il se cacha derrière les buissons pour ne pas qu'elle le voit, rampant, roulant, faisant des figures improbable pour ne pas être découvert, il arrive enfin derrière elle, sortit son bâton doucement de son dos, et lui tapa tout doucement la tête


Ben alors Deil, moment de faiblesse. Ambris sourit. Quand est tu rentrer ? Comment va tu ?

Des questions il en avait des tas, il se plaça devant elle mais ne voulais pas la brusquer, il la regarda, elle semblait heureuse c'était le principal, la dernière fois qu'il s'était vu ce n'était pas vraiment la joie, mais les choses finissent toujours par s'arranger un jour ou l'autre
Ambris leva la tête vers la forêt derrière une chose semblait avoir bouger a l'intérieur mais il n'y fit pas attention, puis il se re concentra sur Deil et attendit quelques explication sur son retour
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Message  Gypsie Dim 25 Jan - 18:40

Deilayra a écrit:Deil fut surprise elle ne s'attendait en aucun cas à le revoir!!!
Elle lui sourit, contente de voir qu'il allait bien...
Surprise, elle répondait a ses questions, mais se demandait si il était vraiment là..


Je... je suis rentrer avant hier et je..je vais bien...

Mais toi tu...enfin quand es tu revenu?? et tu va bien?? tu n'es plus malade??? et comment sa se passe la taverne?? et...

Elle se rendait compte qu'elle en demandait beaucoup trop à la fois et se trouva un peu bete... elle sourit attendant les réponses
--Neyru a écrit:Elle était toujours a Montbrisson, elle ne l'avait jamais vraiment quitter des yeux, elle l'avait trouvé enfin l'homme qu'elle cherchait depuis si longtemps, l'homme qu'elle devait ramener pour finir sa mission,elle devait le faire qu'il soit mort ou vif, elle avait marché pour lui, elle avait dût tuer pour avoir des renseignements sur lui, tout le monde était incapable de dire où il se trouvait
Aujourd'hui, elle l'avait sous les yeux, celui qui allait changé sa vie, elle le regarda de ses yeux de couleurs marrons, elle avait le regard d'un chasseur qui observait sa proie

L'angle était parfais, elle mit sa main sa son carquois doucement prit une flèche, prit son arc poser au sol, puis elle vit que son regard se porta sur elle, Neyru se mit a courir comme si des loups étaient a ses trousses, elle monta sur l'arbre avec une dextérité peu commune en ce monde, elle sautait désormais d'arbre en arbre comme si le vide n'existait pas, puis elle s'arrêta net
Légèrement essoufflée elle regarda la scène, elle était désormais plus loin


Si il n'y avait pas eut la blondasse, il serait a moi désormais ! J'aurais déjà commencer ce que j'ai a faire. Sur son visage l'on pouvait lire de la colère. Tu peut parler avec ta belle tant que tu voudra, mais je t'aurais

Neyru prépara une flèche et se mit en position, elle ne partira pas sans lui, pas sans son corp
Gryfen a écrit:Gryfen se balladait près du lac et une fois n'était pas coutume mais de loin quand il vit une femme dans un arbre avec un arc il regarda ou elle visait et voyant ses amis dans le joue il prit sortit discrètement son couteau et le lanca, un siflement dans l'air et un cri qui transperca le silence et la femme lacha son arc qu'il s'empressa de recuperer et de prévenir ses amis :
A L'ASSASAIN ABRIS DEIL FUYEZ. A L'AIDE VITE !!!!!
puis il pris une la flèche tombé avec l'arc visa la personne malheureusement ilm ne toucha que la jambe ce qui l'empecha deja de partiret il attendit qu'on vienne l'aider.
Si tu n'avait pas parler je ne t'aurai meme pas vu et la est ton erreure laisse les tranquilles ce sont mes amis et mrmr si je ne sais pas ce que tu complote tu va le payer au moindre geste tu est morte et il remis une flèche en joue regardan la femme qui était tomber de l'arbre et en la visant a une raisonable distance pour qu'elle ne s'enfuit pas et elle ne peut pas lui sauter dessus
Ambris a écrit:Je... je suis rentrer avant hier et je..je vais bien...

Mais toi tu...enfin quand es tu revenu?? et tu va bien?? tu n'es plus malade??? et comment sa se passe la taverne?? et...



Ambris sourit elle avait aussi surprise que lui, cela faisait un moment qu'ils ne s'étaient pas vu, et il y avait beaucoup a dire mais dans ces moment là, peu de choses sortes

Et bien écoute je vais bien merci, je suis revenu il y a quelques jours, j'espère être tranquille quelques jours cette fois, j'essaye de ralentir la cadence des missions mais pas facile, j'aime trop ce que je fais . Ambris sourit . Bien je vais peut être te laisser, tu as surement mieux a faire qu'a m'écouter

Ambris devait s'entrainer avant que la nuit ne tombe et la journée était déjà bien entamer, jusque là il avait complètement oublier sa maladie qui le rongeait avant qu'elle n'en reparle, il n'y avait plus eut de symptôme depuis quelques semaines, mais il savait au fond de lui qu'elle était toujours là.
Ambris frotta ses gants et plissa légèrement les yeux, la nuit n'était plus très loin et la fraicheur commençait a arriver, dans deux petites heures et il ferait nuit noir, l'entrainement ne serait pas long

Puis il entendit Gryfen au loin crier a l'aide, il regarde Deil et couru vers lui, il vit une jeune femme allongée au sol une flèche dans la jambe et Gryfen qui la tenait en joue avec son arc


Que se passe t'il là ? Gryfen explique moi. Il regarda Gryfen, le regard un peu perdu
Gryfen a écrit:Gryfen regarda Ambris quelques instants seulements et il lui expliqua :
je l'ai vu elle avait l'arc en joue vers vous deux elle allait tirer mais mais j'ai réussis a l'arretter, tu la connait ? Deil va prévenir les gardes
Belleetoile a écrit:Belle passa devant le lac et entendit des cris.

A L'ASSASAIN ABRIS DEIL FUYEZ. A L'AIDE VITE !!!!!

Elle se précipitas et vit Gryfen l'arc prèt à tirer, plus loin Deil et Ambris,
Et une femme elle aussi l'arc à la main.


MAIS!!! QU'ES QUI CE PASSE???

ET VOUS LA BAS !!! BAISSER VOTRE ARC!!
Gryfen a écrit:Gryfen reconnu la voix de Belle et lui expliqua qu'il ne devait en aucun cas lacher l'arc et ce qu'il avait vu et entendu
--Neyru a écrit:Bien positionner pour tirer, la cible est là mais encore trop loin, concentrée sur lui elle entendit quelques chose fendre l'air ce qui lui fit lâcher son arc et elle avec, Neyru se retrouva au sol, un homme prit son arc et lui tira une flèche dans la jambe, la flèche lui transperça la cuisse, elle ne voulu pas crier ça lui aurait fait trop plaisir, elle regarda l'homme dans les yeux

Si tu n'avait pas parler je ne t'aurai même pas vu et la est ton erreure laisse les tranquilles ce sont mes amis et même si je ne sais pas ce que tu complote tu va le payer au moindre geste tu est morte

Neyru regarda l'homme avec un sourire. Tu ne sais pas a qui tu as affaire mon grand, lâche moi ça tu va te faire mal. Elle se mit a rire en le voyant avec l'arc a la main, puis elle vit l'homme aux cheveux flamboyant arriver, elle reprit son sérieux

Que se passe t'il là ? Gryfen explique moi

Elle attendit que l'autre homme arrete de parler pour commencer sa version de l'histoire, elle devait vite en trouver une sinon elle était fichu, son plan allez être remis a plus tard et ça elle ne le voulais pas, elle regarda l'homme qui venait d'arriver, elle prit une voix douce et mielleuse

Bonjour sir, j'etait en train de chasser le cerf quand cette homme m'a attaqué, je ne visais personne je vous le jure, je ne voulais qu'un cerf pour nourrir ma famille qui est malheureusement plus pauvre que vous, je vous en conjure n'appeler pas les gardes ma famille compte sur moi

Elle avait été la plus sincere possible, si elle etait donnée aux gardes, sont plan risquerait de tomber a l'eau, mais voilà que tout le village commençait a se ramener, les choses n'allaient pas être simple
Gryfen a écrit:Gryfen entendit les mots de la femme et ne rit qu'a moitiée
ce n'est qu'une menteuse elle parlait de vous je l'ai entendu alors pas la peine de jouer a ca avec nous o que non et puis pourquoi viser vers le lac alors qu'il n'y a pas de cerf par la ?
et il vit les gardes qui arrivaient suiviuent de Deil
Ambris a écrit:Ambris regarda la jeune femme dans les yeux, il se perdait dans son regard pénétrant, quelques part il voulut croire a son histoire, mais d'un autre coté c'était Gryfen, qui croire dans cette histoire, il ne savait plus, il voulait s'entrainer, mais voilà qu'il était entrer dans une histoire dès plus louche, il s'approcha d'elle et regarda la flèche dans la jambes de la jeune femme, il n'en n'avait jamais vu comme cela, il trouva ces flèches a son goût, puis il regarda la blessure, elle n'etait pas très belle

Bon, ne bouger pas, je vais vous la retirer, ça fait un peu mal sur la fin serrez ceci avec vos dents. Ambris lui donna un petit morceau de bois, il retira sa dague de sa botte et coupa le bout de la flèche, pour le reste il devait retirer par le bas, traversant toute la cuisse. Ambris regarda la dame allongée qui passait son temps a le regarder, ce qu'il trouva un peu gênant

Bien on y va a trois ..... Un.... Deux ! Puis il retira le reste le sang se mit a couler sur l'herbe, Ambris retira son foulard de ses cheveux et lui fit un garrot comme on lui avait apprit a l'armée. Il se retourna vers Gryfen et lui tendit la tête de la flèche. Tien souvenir ! Ne tant fais pas je ne suis pas en train de la soigner, c'est juste qu'un prisonnier doit être présentable

Ce qui était faux bien sur, mais il ne savait pas pourquoi il devait le faire, puis il vit au loin les gardes arriver, il regarda la jeune femme

C'est moi qui vais l'emmener au château, ne vous en faites pas elle ne me fera rien, blésée comme ça elle est elle n'ira pas bien loin,, faites moi confiance
Ambris la releva et mit son bras autour de son coup
Deilayra a écrit:Deilayra regarda Ambris et au premier regard toisa la femme...Elle l'avait déja vue celle là elle était tout le temps là a l'observer...
Elle avait trop confiance en Ambris pour dire quoi que se soit et fit signe aux gardes de repartir et que ca irait!!!

Ca ne lui plaisait pas mais c'était comme ca de toute manière... Elle regarda la femme avec un regard noir, lui fesant comprendre qu'elle la retrouverait surement un jour sur son chemin...
elle sourit a Ambris:


Ca va aller tu penses te débrouiller ou tu as besoin d'aide pour l'amener a la caserne??

Elle savait déja ce qu'il allait répondre mais tant pis autant demander quand même
Gryfen a écrit:Gryfen toisa la femme l'arc toujours en joue il baissa sa garde et dit a Ast qu'il était d'accord
--Neyru a écrit:Tout le monde avait l'air de se calmer, mais pourquoi ça elle l'ignorait, toujours est-il qu'elle pouvait remercier l'homme au cheveux roux, sans lui elle serait déjà pendu a l'heure qu'il est, il s'abaissa vers elle et lui soigna sa jambe, mais pourquoi fait il tout ça, il y a a peine quelques minutes elle a voulu l'assassiner, et maintenant elle la soigne, troublé par ce revirement de situation elle se contenta de le regarder faire, il décida la chose la plus improbable qu'elle put imaginer.

C'est moi qui vais l'emmener au château, ne vous en faites pas elle ne me fera rien, blésée comme ça elle est elle n'ira pas bien loin,, faites moi confiance

C'est lui qui allait l'amener au château, Neyru sourit, il fallait profiter de cette chance, il l'aida a se relever, puis elle croisa le regard de la blonde de tout a l'heure, son regard était froid, elle avait l'habitude d'en voir, mais celui là avait quelques chose de différent, elle avait dans les yeux ce que peu de gens ont, un peu comme l'homme qui venait de lui sauver la vie. Puis il partirent en direction de la caserne de Montbrisson.

C'était le moment ou jamais, elle regarda l'homme, sa dague était a sa ceinture, à quelques centimètre d'elle, elle aurait put l'attraper très facilement, mais elle ne le fit pas quelque chose l'en empêcher, elle préférer le laisser en vie du moins pour le moment, peut être qu'un jour elle lui sera utile


Sir, je sais que vous avez un problème, je sais ce qui vous ronge a l'intérieur, vous êtes malade du cœur et vous ne tiendrez pas tout l'hiver avec ça, si vous ne faites rien au printemps vous ne serez plus de ce monde, maintenant j'ai peut être un truc a vous proposez. Elle regarda l'homme qui semblait ne pas l'écouter. Sir je peut vous amener a la chose qui pourrait vous sauvez, mais il vous demandera quelque chose en échange, maintenant a vous de voir mais sachez qu'il vous faudra tout abandonner ici, du moins pour un moment, si vous acceptez vous ne serez plus le même Ambris

L'homme c'était arrêter, elle venait d'avouer qu'elle connaissait son nom, elle savait tout de lui, même ce qu'il ignorait encore, il semblait perdu dans son esprit, c'est que la chose qu'elle venait de lui dire n'était pas facile, mais elle aussi avait dût tout abandonner, et maintenant elle le regrettait, elle aurait préférer mourir, que devenir ce qu'elle était devenu, elle voulu le prévenir mais se tut elle avait pour mission de le ramener, et c'est ce qu'elle était en train de faire, le maître sera la récompenser a sa juste valeur
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Message  Gypsie Dim 25 Jan - 18:40

Ambris a écrit:Ambris regarda la jeune femme et partit en direction du château pour avoir plus de renseignement a son sujet, il se doutait un peu que c'était Gryfen qui disait la vérité, mais voulut vérifier par lui même, ils commencèrent a marcher, puis il l'a sentit agitée. Ambris tenait son bras de plus en plus fort, il fixait le lac et repensait aux paroles de Deilayra sur sa maladie, elle était là mais voulait l'oublier, mais les gens l'à ramenait toujours sur le tapis, puis d'un coup il entendit la voix de la jeune femme

Sir, je sais que vous avez un problème, je sais ce qui vous ronge a l'intérieur, vous êtes malade du cœur et vous ne tiendrez pas tout l'hiver avec ça, si vous ne faites rien au printemps vous ne serez plus de ce monde, maintenant j'ai peut être un truc a vous proposez.

Encore et toujours cette maladie, tout ces gens qui ne faisait que la remettre dans son esprit le tuait bien plus que la maladie elle même, si cette jeune femme savait son problème c'est que tout le village était au courant désormais, il préféra ne rien dire que pouvait elle proposer, il n'y avait rien a faire a part attendre que sa vie se termine, plus rien ne pouvait le sauver, puis elle recommença a parler mais sur un ton bien plus mélancolique

Sir je peut vous amener a la chose qui pourrait vous sauvez, mais il vous demandera quelque chose en échange, maintenant a vous de voir mais sachez qu'il vous faudra tout abandonner ici, du moins pour un moment, si vous acceptez vous ne serez plus le même Ambris

Ambris s'arrêta net avec la jeune femme, étrangement il la crut et qu'elle connaisse son nom ne l'étonna pas plus que ça, mais que pouvait être cette chose qui pourrait le guérir, une plante, un homme, une bête, là dernière solution le fit sourire quelque peu, tout abandonner ici il ne pouvait pas, des gens comptaient sur lui ici, mais en même temps s'il mourrait il ne serait plus là non plus, donc ça n'avance a rien, des tonnes de choses arrivèrent dans son esprit, il était perdu, pourquoi cela lui arrivait a lui et pas a quelqu'un d'autre, il enleva tout de suite cette idée de sa tête, souhaiter le malheur des gens n'est jamais bon. Il regarda la jeune femme

J'accepte votre proposition, amener moi a cette chose et nous verrons ce qu'il pourra faire, mais je n'ai guère d'espoir vous savez, j'espère que ce que vous dites est vrai sinon je vous tuerez de mes propres mains, pour ce qui est de l'échange je l'accepte aussi, je serais prêt a tout donner pour rester en vie

Ambris se retourna, regarda ses amis et une dernière fois le lac, il n'alla pas voir ses amis pour leurs dirent qu'il partait, combien de temps il l'ignorait encore, laissait tout ça le peinait beaucoup, mais c'était pour le bien de tous, il regarda la jeune femme, pourquoi lui faisait t'il confiance, elle qui voulait le tuer il n'y a même pas une heure, il la regarde plissa légèrement les yeux et d'un signe de tête annonça qu'il était prêt a partir, il ne sait pas quand il reviendra a Montbrisson, mais une chose était sûr dans sa tête, c'est qu'il reviendrait
Gryfen a écrit:Gryfen accourai tout essouflé, il semblai sortir de nul part et dit :
Dame veuiller m'excuser de mon geste je croyais que c'était mes amis que vous visiez alors accepter cet argent pour me faire pardonner
il s'approcha de son oreille et lui dit tout doucement : prenez grand soin de lui sinon gare a vous
puis il s'eloigna a nouveau.
J'aimerai aussi si vous me le permetez vous racheter votre arc, et il sorti une nouvelle bourse, cela vous convient t'il ?puis il s'approcha D'Ambris et lui dit : bon voyage mon grand et fait attention a toi puis il eu un sourir triste et il retourna au lac.
Deilayra a écrit:Deilayra regarda partir Ambris le coeur sérré mais elle savait qu'il devait le faire...Elle regarda encore la dame et ne lui dit rien.. les paroles inutiles desormais elle les laissaient de coté... Elle allait faire de même alors peu importe en fait!!! parfois il fallais juste avancer même si ca coute plus qu'on ne le voudrait...

Elle sourit a gryf puis s'en alla essayant d'aller trouver la tranquillité ailleur...
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Message  Korydwen Dim 23 Aoû - 19:07

Voltarene a écrit:Après avoir vu son amie Arthe en taverne et qui lui avait conseillé d'aller voir le lac ,Volta y allât et ne regretta pas d'être venue effectivement le lac était d'une splendeur même gelé ,elle marcha et ne pensa plus a rien admirant cet endroit magnifique



il faudra que j'amène Rem ici il trouvera cet endroit magnifique aussi je pense dit elle à voix haute

Puymartin a écrit:Puy s'asseoi profitant de la fraicheur réflechit et chante une musique qu'il venait d'entendre a l'eglise

Arthefax a écrit:Arthe aimait le lac, ca l'apaisait beaucoup.

Elle longea le sentier admirant le lac gelé aux couleurs argentées que lui donnait le reflet de la lune.

Arthefax se sentait bien et profita encore de cette vue splendide avant de reprendre le chemin de chez elle.

Elwë* a écrit:Elwë* avait encore eu une nuit agitée de sombres rêves, les même depuis deux jours qui ne lui laissaient aucun répits. Elle s'était encore réveillée en sueur, les yeux mouillés de larme, avec dans le coeur le sentiment d'un perte irréparrable. Elle jetta un oeil dehors. Il faisait encore nuit, mais une légère rougeur à l'horizon annoncait un levé de soleil imminent. Elle se leva, passa de l'eau fraiche sur son visage, puis s'habilla d'une robe crème légère et de ses poulaines. Elle hésita à prendre une cape, puis la glissa sous son bras avant de sortir silencieusement en direction du lac.

[Au bord du lac]

Personne à cette heure, juste le bruit de ses pas qui crissent sur le gel et le chant d'un oiseau matinal. Elle fit le tour du lac, le vent froid passant au travers de sa robe légère et la faisant frissoner. Ayant choisit un point de vue idéal, elle étala sa cape puis s'assis dessus, face au soleil levant.
Le ciel était clair et dégagé. Le lac se couvrait petit à petit de couleur orangées, pourpres, dorées, et la beauté du spectacle lui mit les larmes aux yeux. Elle détestait cette nouvelle sensibilité exacerbée, cette impression qu'un rien pouvait l'atteindre en ce moment.
Le froid continuait à l'envelopper, mais elle ne le sentait toujours pas. Elle n'avait plus conscience de ses extrémités gelées, du vent glacé qui s'engouffrait sous le fin tissus de coton. Elle ne pensait qu'à Lion. Leur première rencontre, il y a si longtemps, où ils avaient su dès le premier regard qu'ils ne voulaient personne d'autre. Leur histoire tumultueuse, passionnée, jamais banale. Et aujourd'hui sa mort. C'était il y a deux jours mais elle se réveillait encore en cherchant un corps chaud dans son lit, et était toujours suprise quand ses doigts ne rencontraient qu'un vide glacé.

Elle ne savait plus depuis combien de temps elle était là, mais le soleil perdait peu à peu ses couleurs chaudes et montait lentement dans le ciel. Elle pris soudain conscience des larmes qui n'arrêtaient pas de couler le long de ses joues, et de son corps engourdis et glacé, presque paralysé par le froid. Elle ferma les yeux. L'espace d'une fraction de seconde elle fut tentée de ne plus lutter, de se laisser aller a cette sensation d'engourdissement si bienfaisante. Elle ouvrit les yeux soudain horrifiée par la pensée qui venait de traverser son esprit. Elle se remit vivement debout, enroula sa cape puis jettant un dernier regard au lac elle murmura doucement:


Adieu den shin...

.ceylan. a écrit:les tavernes fermés et perdu dans ses pensées Ceylan se promène dans la ville il arrive près du lac et marche sur le bord, la nuit était fraiche, mais il aimait cette sortie nocturne, il s'assit au sol le dos sur un arbre, ferme les yeux et rêve, sa vie devenez vraiment agréable, il avait ses amis, et celle qui prenait tant de place en lui, vraiment venir habiter dans ce village avait été la meilleur chose qu'il avait faite, il garde les yeux fermés et se laisse rever.....

Juliette1357 a écrit:Revenue de voyage le matin même, Juliette passa chez elle déposer ses affaires. Malgré la fatigue de la route, elle eut envie d'aller se promener au bord du lac, cet endroit qu'elle affectionnait tant...

Elle flana un peu en chemin, les rues étaient calmes à cette heure, le jour n'était pas totalement levé. Quand Juliette arriva enfin au lac, elle alla s'asseoir, comme à son habitude, contre l'arbre dont elle avait graver l'écorce de quelques mots.

Juliette resta un moment à admirer le paysage, les couleurs de l'aube se reflétant sur le lac gelé, créant un joli camaieu de rose. Elle finit par poser sa tête contre le tronc et ferma les yeux pour se laisser envahir par ses pensées. Tant et si bien qu'elle s'assoupit tout doucement...

Soudain Juliette ouvrit grand les yeux, quelque chose lui chatouillait la main. Elle se recula d'un bond et aperçut une petite boule de poils apeuré qui la fixait. Elle se mit à sourire, attendrie, à la vue de ce joli louveteau qui semblait aussi surpris qu'elle. Voyant qu'il ne se sauvait pas en courant, Juliette s'approcha lentement de lui, avança une main pour le caresser.


Mon pauvre petit, tu es perdu...

Juliette le pris dans ses bras et décida de l'emmener chez elle, elle ne pouvait décemment pas le laisser à l'abandon, et puis il était si mignon.

Anna974 a écrit:Anna se promenant dans les rues de Mb, toujours le matin, quand tout est calme, paisible...
Adhavan emmitoufflé dans ses linges, lui souriait, elle le portait dans ses bras, le regardant, il était si beau avec la lueur du jour...
Anna cherchait le lac, on lui en avait parlé à MP, et les lacs, elle adorait ça maintenant...que de bons souvenirs...
Marchant sans vraiment savoir où aller, le vent était son guide, elle aperçu enfin le lac.
Elle s'approcha lentement, elle paraissait flotter tellement ses pas étaient légers et gracieux...
Elle s'arrêta devant le lac, les reflets étaient magnifiques...
Anna resta un long moment debout a admiré l'eau, à écouter le bruit de l'eau sur les rochers, les oiseaux....
Anna posa des roses dans l'eau pour son amour...

Au bord du lac de Montbrisson 090301102355363352

puis une dans un tas de neige...
Au bord du lac de Montbrisson 090301102549662632

Anna se mit assise contre un arbre, les jambes croisées, Adhavan posé dessus, une main le caressant, l'autre caressant les herbes, les yeux fermés, elle se laissa aller à la rêverie...

Au bord du lac de Montbrisson 090225080800220089

Catherine19 a écrit:[rp]Catherine avait parcouru le chemin depuis Moulins, ne s'arrêtant que les soirs pour mangée et dormir quelques heures. La route avait été longue et fatigante car le trot de son cheval était impossible, sa fille, enveloppée de plusieurs linges dans les bras.Elle grandissait si vite, le mois écoulé depuis sa naissance ne c'était pas senti.Ils arrivèrent à l'entrée de Montbrisson avec un petit sourire satisfait aux lèvres, passant les gardes avec facilité.

La petite famille arriva au lac, l'endroit si familier aux habitant de montbrisson digne de ce nom. Catherine passa sa fille à son tendre, puis fit avancer son cheval jusqu'à la berge et l'animal entra à moitié dans l'eau qui détendait ses muscles.L'endroit était comme ils l'avais laisser plusieurs semaines plus tôt, toujours aussi magique.Ils restèrent immobiles plusieurs minutes, admirant la vue. Ils tournèrent la tête en entendant des gens s'approcher, puis cath reconnu anna et Db, accompagné de leur fils.Elle leur sourit, repensant à la soirée en taverne qu'ils avaient passé ensemble. Après plusieurs mots échangés, ils se quittèrent en se promettant de se revoir.

Catherine sortit son cheval de l'eau et repris la route.Une silhouette se dessinait au loin, Une personne qui marchait à leur rencontre.Elle plissa les yeux, essayant d'apercevoir le visage de la personne.Elle la dévisagea,
puis afficha un grand sourire.Elle sauta de sa monture et couru jusqu'à la personne.


-ELWEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE[/rp]

Dblbogey a écrit:Db se réveille doucement, pas de bruit autour de luit, il glisse son bras sur le drap, personne, il s’étire se lève, le couffin est là,….. vide !!
Il connais son Anna et pense qu’elle est partie marcher dans les rues matinales a la recherche d’un coin ou rêver……………..
Il se lève s’habille croque un fruit, marche dans les rues son instinct le guide vers le lac, ………
Ils sont la. Elle appuyée a un arbre, Adhavan sur ses genoux, elle rêve, une main caresse le bambin, l’autre s’appuie sur l’herbe,……….., une rose rouge est posée ………

Il s’approche sans bruit, l’enserre de ses bras, sa bouche frôle ses cheveux, son souffle les fait voleter, il se penche sur elle, ses lèvres se pose sur son sourire…….

Moment magique d’amants aimants…………………….. il murmure


« je t’aime »

Anna974 a écrit:Anna vit Cath, puis senti son amour, elle sourit et sent ses lèvres sur les siennes... et un murmure..
Anna l'embrasse, ouvre les yeux et lui sourit...

Salut toi!! je t'aime aussi...
C'est beau n'est ce pas!! je sais pas si une de tes nombreuses conquètes t'as déjà offert des roses, mais voilà je t'en offre!!

Anna le regarde toute contente, large sourire, Adhavan commençait a gigoter sur ses jambes...

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Message  Korydwen Dim 23 Aoû - 19:10

Elwë* a écrit:Elwë* avait décidé de faire une petite ballade aux bord du lac en cette belle matinée. Elle avait pris Raymond avec elle, le gros animal ayant perdu l'habitude de bouger ses bourrelets. Elle s'était adressé à son mouton, lui proposant une bonne ballade au grand air, et n'avait récolté pour toute réponse qu'un regard vide. elle avait du sortir les grands argument, a savoir des légumes bien croquants, pour faire bouger le tonneau sur pattes.

Elle était donc tranquilement en train de profiter du grand air quand un son inhumain la fit sursauter:


ELWEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE

Raymond perdit tout a coup son air pacide et se mis a détaler -pour autant qu'il puisse courir- dans la direction opposée. Elwë* plissa les yeux et reconnu Cat qui s'avancait. Elle remarqua que son ventre était bien plat, le petit Tanguy était enfin venu au monde. elle agita les bras:

Caaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaat! Elle s'avanca en souriant. Bon ben je te préviens tout de suite, tu viens de gagner une chasse au raymond!

Catherine19 a écrit:Cath serra son amie dans ses bras puis la lâcha avant qu'elle étouffe.

-Je suis contente de te voir ! Il parais que tu as gagné le concours du plus beau couple avec raymond ! en tout cas pas celui du mari le plus courageux...

petit sourire.


-tu pourras lui courir après, ta besoin d'un peu d'exercice.J'espère que tu as malmenée Sébastien depuis que je suis partie, il ne faut pas qu'il s'habitue a la tranquillité.

Deilayra a écrit:Ca fesait un long moment qu'elle n'était venue ici, elle sourit et se balada sur la berge encore enneigée et regarda le lac...
Elle avait plein de souvenir qui défilaient dans sa tête, des beaux, comme des triste et pourtant son humeur était heureuse, elle était un peu angoissée mais heureuse à un point qu'elle ne saurait pas d'écrire...

Elle contempla le paysage glacé où apparaissait ci et là quelque taches verte d'herbe nouvellement poussée...

Le temps était brumeux, mais l'ensemble donnait un tableau magnifique et enchanteresque

Deedeelolo a écrit:Trainant dans les rue de Montbrisson, comme elle faisait régulièrement depuis son arrivée, Deedee s'arrêta devant le lac et le paysage qu'il offrait.
La jeune femme installa son tout petit contre elle, de façon a ce que lui aussi puisse profité de ce paysage... la brume s'élevait doucement au dessus de l'eau, donnant a cet endroit un air mystérieux, intriguant. Comme si le temps s'était arrêter. Et tout allait si vite... et si lentement pour la jeune femme, qu'elle n'aspirait plus qu'a un peu de repos... de repos et de calme...
Ne plus penser a rien...

S'arrêtant prés d'un arbre, Deedee se laissa glisser, assise, contre le tronc, laissant aller ses pensées dans la contemplation de l'endroit. C'était si calme... si paisible... Exactement ce qu'il lui fallait pour se laissait aller quelque instant...
Dans ses bras, Erwan gazouillait, lui aussi enchanté par ce moment de tendresse et de calme... cela faisait bien longtemps... et le voyage était long pour un si petit garçon.
Doucement, tout en le berçant, Deedee se mit a chantonner, a mis voix, pour ne pas briser totalement le silence du lac.

Arthefax a écrit:Arthé voulant s'isoler un peu de tout ce qu'il se passait de la ville se promena sur les berges du lac.

Elle avait besoin de réfléchir et une décision importante à prendre.

Elle s'assit au clair de lune et se perdit dans ses pensées.

Calypso_ a écrit:Profitant des timides rayons de soleil qui annonçaient l'arrivée prochaine du printemps, Calypso flâna dans les rues de la ville. Ses pas la menèrent vers le lac, lieu dont elle avait entendu parler, et qu'elle voulait découvrir avant de quitter Montbrisson.

La jeune femme regarda les alentours, personne à l'horizon. Cette endroit semblait calme et reposant, propice à se laisser aller à la rêverie. Elle chercha un endroit où se poser quand elle aperçut un rocher faisant face au lac.

Calypso s'assit à même le sol et appuya son dos contre l'imposante pierre. Son regard se perdit dans l'eau calme, comme hypnotisé par les milles reflets scintillants que produisaient les rayons du soleil sur le lac. Elle laissa ses pensées vagabonder vers son beau blond... Tiens d'ailleurs il était temps qu'elle aille le rejoindre.

Agna a écrit:Agna avait quitté la cérémonie plus tôt que prévu et c'est d'un pas lourd et d'une mine triste qu'elle arriva vers ce lac dont son amie Arthe lui avait tant parlé pour ce ressourcer. Elle marcha un long moment le long de l'eau ne s'appercevant pas que les vaguelettes lui lèchaient les pieds par moment. Le soleil de cette fin d'hiver carressait doucement son visage et lui faisait plisser les yeux. Une foule de questions se bousculaient dans sa tête; comment faire pour faire comprendre qu'une personne ne vous ait pas indifférente sans le choquer? voila sa question primaire. Elle se savait maladroite mais à ce point la elle ne le pensait pas.

Agna vit un rocher et se posa dessus; les coudes sur les genoux et le menton dans la paume de ses mains, elle regardait dans le vague à l'horizon voyant deffiler sa vie...

Sire.perceval a écrit:Retour de la mine, Perceval s’était dirigé au lac pour se reposer. Les rayons du soleil commençaient à perdre de son intensité. Profitant de l’absence des badauds, il déposa son sac, au sol, enleva sa peau de bêtes et son haillon. Il profita de quelques arbres pour cacher sa nudité. Il avança sur les galets et bientôt tout son corps pénétra dans l’eau, seul sa tête en dépassa. L’eau était froide mais il était habitué à la rudesse de la vie. C’était un homme endurci et sa constitution s’était affirmée au fil des années.

Gardant un œil sur ses habits, Perceval se releva montrant son buste. Il commença à se laver avec un gant de crin, pour enlever la souillure de la mine de fer qui collait à sa peau. Il trouvait ce moment bien agréable après cette dure journée en émotion comme en travaux. Il lava aussi son haillon qui était bien crasseux.

Une fois propre, il sorti du lac dégoulinant, attrapant une couverture prêt de son sac pour s’essuyer. Il enfila son pagne et s’assieds au bord du lac, sa peau de bête sur le dos, laissant sécher son haillon. Prenant quelques galets en main, il prenait plaisir à les lancer faisant des ricochets sur l’eau. Une activité divertissante qu’il n’avait plus pratiquer depuis longtemps. Le voilà plongé dans ses souvenirs … Nostalgie quand tu nous tiens …

Revenant à lui, il prit un parchemin dans son sac, une missive qui lui était adressé. Il la relu plusieurs fois et soupire. Il fit du parchemin une boule et le jeta pas très loin de lui … Quelques instants plus tard, Après quelques moments d’hésitation, il se leva et ramassa la boule chiffonnée, l’étalant pour reprendre sa forme originelle, la rangeant à nouveau dans son sac.

Regard sombre, visage impassible, il reprit quelques cailloux plats pour s’exercer à faire des ricochets sur l’eau …

Agna a écrit:Le temps passait, les heures s'égrenait comme des gouttes de pluies sur le passé de sa vie et elle ne savait plus ou son chemnin allait la mener. Tous ses amis morts lui trottaient dans la tête et elle se sentait épargnée par cette vie si mouvementée si pleine d'imprévue, si pleine de pleurs et de rires, si pleine d'amitié et d'Amour et la voila se posant tant de questios. Non il fallait laisser aller la vie la prendre à bras le corps et ne plus penser à de chose triste mais retrouver la joie de vivre .

Agna entendit au loin des bruissement d'eau et apperçut un homme qui nageait ce qui l'a fit frissonner étendu la froidure encore présente de l'eau. Quand elle vit l'homme commencer à sortir de son barbottage ses joues se mirent à rosir et elle se tourna l'air de rien pour ne pas géner la personne prenant son bain. Agna prit la décision de reprendre son chemin et d'aller rendre une visite à Ana afin de pouvoir échanger des souvenirs sur l'amie commune celle qui avait tant fait jaser sur Montpensier. Elle se leva de son rocher et d'un pas non chalant elle se dirigea vers la demeure d'Ana.

Eloane a écrit:Arrivée à l'aube, elle avait besoin de se dégourdir les jambes. Elle avait fait un peu le tour de la ville et elle voyait pointer au loin le soleil qui se reflète sur le sol. Cela lui paraissait étrange. Elle s'avançait doucement d'un pas fatiguée, presque en trainant les pieds. Quand un sourire illumina son visage.

Enfin le lac, il était là, brillant sous le feu du soleil. Son éclat l'éblouissait mais la bise, elle, lui fouettait le visage. Elle marcha encore quelques pas et se posa sur un gros rocher.

On pouvait distinguer les pêcheurs qui voguaient au loin. Les petites embarcations étaient parfois si proche qu'on aurait dit qu'elles se rentraient les unes dans les autres. Tout au bord, les roseaux faisaient une légère révérence au soleil. On pouvait entendre quelques coassements de ci de là, sans vraiment savoir d'où ils proviennent.

Après un long soupir, elle repensa un peu à tout ce qui se passait dans sa vie. Tant de question qui était encore en suspend. A savoir, si vraiment elle avait envie d'y répondre. Elle ferma les yeux pour mieux profiter des rayons du soleil. Elle aimait sentir cette chaleur sur son visage, à moins que c'était la bise qui lui brûlait la peau. Enfin ceci n'avait guère d'importance. Elle se délectait de ce moment de tranquillité.

Sauveur a écrit:Après avoir proposer une promenade au bord du lac et que celle-ci ait accepté, tous deux, se dirigèrent vers le beau lac montbrissonnais. Enfin, arrivé dans cette gigantesque marre, Catherine et Sauveur assitaient à une magnifique spectacle. La lune clair se refletait dans l'eau pur. Pour Sauveur se fût le plus beau spectacle qu'il lui fût été donné de voir. Son ermveillement, l'inspira, lui qui depuis son arrivé a Montbrisson n'avait plus rédiger de vers. Il regarda Catherine puis à la s'installer sur la douce pelouse. Celle-ci était confortable. Tout était parfait, ce soir-la.
Il attendit que Catherine le rejoigne pour commencer.


Lentement la nuit est arrivée,
Et la lune maintenant s'est levée.
C'est une nuit calme et sans bruit,
Une nuit sombre où seule la lune luit.

Juste la lune, dans le ciel étoilé,
La lune brillante et argentée,
Qui semble à la fois triste et joyeuse
Au milieu des étoiles lumineuses

La lune qui éclaire mes sombres nuits,
La lune qui du regard nous suit
La lune, de mes rêves le logis,
La lune, lumière de ma vie.


Tout en la regardant, il essayait de lui faire comprendre le double sens ce ces mots.
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Message  Korydwen Dim 23 Aoû - 19:15

Catherine19 a écrit:Cath marchait à coté de sauveur d'un pas lent, profitant de silence de l'endroit et de l'obscurité.Elle était bien et cela l'apaisait beaucoup.est-ce le lac ou l'homme qui l'accompagnait ? surement les deux.Cath suivit Sauveur qui s'installa sur l'herbe, elle fit de même et le regarda.Le temps était doux, étonnant, même pour un début de printemps.Elle ferma les yeux, puis entendit sauveur commencer un poème.La jeune femme sourit, et écouta attentivement.Poète, il méritait bien ce nom.Même elle qui n'avait aucun talent en poésie, elle savait reconnaitre un bon texte.
A la fin du poème, elle rouvrit les yeux et le regarda.
Elle ne pouvait le nié, il lui plaisait, seulement elle ne savait comment gérer ce nouveau sentiment à sont égare, au début cacher ce qu'elle ressentait n'avait pas été difficile, mais plus ils passaient de temps ensemble, plus ce sentiment grandissait et prenait de la place.
Mais elle ne voulait pas aller trop vite, c'était le meilleur moyen de tout mettre en l'air.Elle appréciait les moments en sa compagnie et ne voulait pas les perdres.

Sauveur a écrit:Sauveur fixa Catherine puis regarda la lune qui commençait a disparaitre derrière les nuages. Profitant encore des rayons lunaires, il se coucha sur la l'herbe de se début de printemps. Il était bien en compagnie de Catherine. Il avait beau penser ce qu'il voulait cette femme lui apportait quelque chose en plus. Pour éviter de gâcher un moment pareil, il préfèra rester muet, attendant que le temps jaloux passe. Il savait que même s'il voulait parler, il n'aurait pas pu. Ses lèvres ne voulaient se décoler, il aurait bien essayer de parler mais il restait la figé à attendre que la jeune femme lui adresse la parole.

Catherine19 a écrit:Cath limita, se couchant dans l'herbe fraiche.Elle pensa au mariage de elisa et inra, le lendemain.Le mariage, l'accomplissement d'un coup de foudre, d'une relation idyllique qui c'est glissée entre deux êtres, parfois totalement imprévue.
Elle essaya de penser à sont futur, mais n'y vit que du flou.Cath se demanda ce que sauveur pensait du futur et lui posa la question.


-Sauveur ? Tu pense qu'il va arriver quoi dans le futur ?

Sauveur a écrit:Enfin, elle lui adressait la parole mais il fût surpris par sa question. Il essaya d'y répondre avec le plus de transparence possible et avec une pincée d'humour.

Dans le futur ?! Bah plein de chose. Very Happy J'suis sur quand dans le futur, on vivra heureux et on aura plein d'enfants puis je te laisserais à la maison. Chaque semaine je t'offrirai un jolie petit chaton, histoire où on sait jamais j'en ai marre de toi, tu auras de la compagnie.
Very Happy
Sauveur commença à rire. Même s'il voulu dire autre chose...

Catherine19 a écrit:Cath rit aux prédictions de sauveur.

-oui, et je ferais la vaisselle, le linge, la cuisine, le ménage, je m'occuperais des enfants pendant que tu sera en taverne...j'ai hâte.Mais quand tu ne sera pas là, j'inviterais mes amants à venir, relâcherais les chats que tu m'auras offert.Bien sur, tu t'occuperas des 18 enfants qu'on aura.

Elle lui sourit, contente d'avoir répliquée.Hors de question qu'elle se laisse faire par cet homme.

Sauveur a écrit:Il savait bien qu'elle n'allait pas se laisser faire. Après ces quelques mots échangés, il lui proposa de partir.

Cath, il serait temps de rentrer. Il se fait tard. Je te racompagne.

Il se relèva et Catherine avec.

Allez hop la sorcière, on y va.

Ils commencèrent à marcher en direction de la Maison de Catherine.

Catherine19 a écrit:cath finissait d'admirer les étoiles quand sauveur voulu partir.Elle se releva, rajusta sa cape et fit le chemin inverse que l'arrivée.Elle avait passé une bonne soirée en sa compagnie, encore.
Ils marchèrent en silence, le silence valant tout les mots du monde.

Jazon a écrit:Tour du village à pied.
Gypsie et Jazon passèrent à l'église puis au cimetière.
Ils croisèrent des villageois, amis et connaissances et leur dirent au revoir.
Puis ils poussèrent jusqu'au lac. Leurs pas les entrainèrent vers la jetée qu'ils empruntèrent jusqu'au phare.
Là, ils s'asseyèrent, comme ils l'avaient déjà fait tant de fois. Comme la toute première fois qu'ils s'étaient vus à Montbrison.

Que de souvenirs communs, pour la plupart heureux !

Ils admiraient l'étendue d'eau, main dans la main, doigts entremélés.
On pouvait entendre le clapotis de l'eau contre les barques amarrées pas loin. Quelques groupes de pécheurs clairsemés, sur les coins à pêche, espérant ramener le repas du soir, voire du surplus à revendre au marché.

Gypsie a écrit:Et durant ce tendre instant au bord de l'eau, Gypsie se sentit heureuse, comme elle l'était avant, avant la perte de son fils. Avec l'aide de Jazon elle apprenait à vivre avec cette douleur lancinante. Le soir venu, quand les larmes revenaient, ou lorsqu'elle se réveillait en sueur, voyant toujours l'épée brandie qui tranchait la gorge d'Alayn, alors Jazon dans une infinie patience recueillait les larmes versées, parlait d'une voix douce, et la berçait de " chuuttt... " apaisants.

Que de temps depuis que nous sommes venus ici un soir Jazon. Et vois tu, mon amour pour toi n'a jamais failli, au contraire, il grandit de jour en jour. Je ne sais comment cela peut être mais ça l'est. Je t'aime d'un amour infini, fort et puissant. Même si un jour je meurre, que mon corps soit glacé et dur, en l'ouvrant on verrait encore mon coeur qui bat pour toi. Comment te dire merci pour tout cela Jazon, pour ce fils et cette belle vie que tu m'offres. Elle ne sera jamais assez longue pour te le dire.

Le soleil touchait presque l'eau lorsqu'ils se décidèrent à repartir, tendrement enlacés, comme le premier soir, quand ils s'avouèrent leur amour.

Sauveur a écrit:Après s'être fait chassé de chez Catherine, Sauveur alla se promener au lac. C'était le seul endroit qui pouvait lui remonter le moral, lui qui se sentait mal pour l'instant. Il marcha quelques minutes puis s'arrêta non loin d'un nid de canard. En voyant les quelques oeufs se trouvant dans celui-ci, il pensa à la fragilité du monde, de ce qui l'entoure comme quoi de simple mots peuvent briser une relation et comme un simple coup de vent peu briser un oeuf. Il resta ainsi pendant plusieurs heures au bord du lac, pensif...

Catherine19 a écrit:La jeune femme l'avait regardé partir par la fenêtre de sa chambre, elle regrettait depuis qu'elle avait monté l'escalier.Zut, on avait connu mieux comme technique.Elle ne pouvait pas laissé leur relation sur un moment comme sa, c'est pour cela qu'elle avait dévalé les escaliers, ouvert la porte à la volé mais il n'était plus là.Elle prit même pas sa cape et commença à le chercher dans la ville.D'abord la mairie, mais le bureau était vide, elle avait ensuite chercher a la fête d'inra qui se termina, mais encore une fois rien.
Elle déambula alors dans les rues de MB, le visage sans aucune expression, elle lui avait fait du mal et elle le regrettait.
Une idée lui vint, elle n'avait pas encore chercher au lac.de toute façon il ne lui restait que cette option, elle ne connaissait pas sont adresse.Elle marcha, la nuit n'était pas très chaude, elle regrettait de ne pas avoir pris sa cape.
arrivée au bord de la fierté de MB, elle longea un peu les rives et aperçus une ombre, peut être lui...ou un villageois.Cath s'avança prudemment.
Elle plissa les yeux pour mieux voir l'homme, oui c'était lui.Un sourire ce dessina sur sont visage, elle allait pouvoir s'excuser.Elle accéléra le pas, courant même.Arrivée à sa hauteur, elle l'étreignis, l'étouffant à moitié.


-Oh sauveur je suis désolée, excuse moi de t'avoir mis dehors !

Sauveur a écrit:Sauveur restait, voulait rester seul pour réfléchir, mais réflichir à quoi ? Même lui ne le savait pas. Pourquoi se sentait-il alors si triste ?
Alors qu'il regardait la lueur de la lune à peine éclairante sur l'eau de la merveille Montbrissonnaise, Sauveur entendit des bruits sourds. Il se retourna, les bruits venaient de derière lui. Ils se raprochaient petits à petits puis plus rien. Soudain, comme la ruée d'un sanglier sur un ennemie se raprochant trop du nid, les pas en questions arrivaient à grande vitesse. Sauveur n'eut même pas le temps de se retourner que quelque chose lui sauta dessus.
C'était Catherine, elle l'avait retrouvé, lui qui était parti se réfugier au lac. Elle s'excusa auprès de Sauveur mais biensur Sauveur ne pouvait lui en vouloir et ne pouvait aussi lui dire qu'il lui en voulait. Elle le prit dans ses bras, lui en profitait et l' enlassa.


Mais pourquoi veux-tu que je t'excuse ?... Very Happy Tu étais fatiguée, c'est normal.

Dans ses bras, il la sentait grelottante. Quand il la regarda mieux, elle n'avait pas emporté ni de mantel, ni de cape. Surement dans sa hâte se dit-il. Peut-être est-ce la une preuve qu'elle tient à moi... Aussi, il enleva sa cape et la metta sur les épaules de Catherine.

Il fait friquet ce soir. Viens allons nous assoir plus loin. Very Happy Lui dit-il avec un grand sourire joyeux.

Catherine19 a écrit:Cath le laissa mettre sa cape sur ses épaules, C'est vrai qu'elle grelottait.Il ne lui en voulait pas, ou il n'osait pas le dire.Elle marcha près de lui, essayant de profiter de sa chaleur.Elle était contente qu'il ne la rejette pas, elle aimait tant être avec lui, elle en mourrait.Elle regarda ses pieds, ce n'était pas le moment de se prendre les chausses dans une motte de terre.

-Sauveur, excuse moi d'avoir réagi comme sa, j'aime tellement être avec toi.

Sauveur a écrit:Elle lui dit seulement quelques mots, c'était les mots qu'il voulait entendre. Il ne savait plus quoi lui répondre. Tant pis, il ne lui dira surement pas ce soir ce qu'il ressantait clairement mais allait plutôt le lui faire comprendre.
Il était si bien à côté d'elle. Il aurait aimé figer l'instant à tout jamais.


Moi aussi, j'aime être à tes côtés. Tu es la rose dans la prairie, la prairie de ma vie...

Il esperait qu'elle comprendrait et qu'elle ne le laisserai pas à nouveau.

Catherine19 a écrit:Ses quelques mots confirmait les pensées dont elle osait à peine rêver, celle qu'elle avait toujours espérer sortir de sa bouche.Il lui avait dit, de manière indirect qu'il ressentait la même chose.Le sourire ne la quitta plus.

-Tu sais, je vais partir très prochainement pour MP.Tu va me manquer, mais je vais vite revenir.Essaye de ne pas réduire la mairie en cendre après mon départ.

Elle ne voulait pas partir pour rester avec lui, mais elle ce le devait, non seulement car elle devait faire le MA, mais aussi ce voyage lui permettrait de réfléchir à la situation.

Sauveur a écrit:Elle partait au grands désespoir de Sauveur... Mais c'était pour la mairie. Lui devait rester s'occuper des affaires municipales, étant CaC il ne pourrait partir avec elle.

Tu me manqueras aussi. Ce sera dur ne taverne si j'ai personne à taquiner... Very Happy

Le ciel semblait de nouveau s'éclairer pour lui...

Bon on rentre, il fait assez frais ce soir. Very Happy

Catherine19 a écrit:Cath marcha a coté de lui, se promettant de revenir le plus vite possible.Profitant de ces moments avec lui, elle le regarda, il était si parfait à ses yeux...un frisson la traversa.
Il voulait rentrer, elle ne c'était pas rendu compte, mais maintenant qu'elle avait sa cape, il devait grelotter lui !
Ils se dirigèrent doucement vers sa maison.

Deilayra a écrit:Deilayra aujourd'hui avait revettu sa robe en lin beige, et s'était coiffer différement, elle cherchait un endroit sur les rive du lac pour pouvoir faire ce qu'elle devait faire... Elle avait dans ses mains un ensemble de grosse feuilles verte reliers les une aux autre formant un plateau sur lequel était disposer des roses blanches, une pour chaque mort a honorés, cette année il y en avait trois de plus, une pour chaque enfant perdu, et une pour Tein... Au centre une bougie pour la lumière...

Elle s'installa sur la berge, et regardait l'eau calme flotter, le soleil se refletant dans l'eau tel un mirroir...un si beau jour de printemps ou les fleur renaissaient...
Elle affichait un sourir mélancolique celui des souvenirs, tous présent, tous intacte, chaque moment de bonheur qui pourtant la rendait un peu triste...Quand quelqun meurt on oublie tous les muavais moments, elle le savait et pourtant...
Elle retira ses chausse et ses bas, puis entra dans l'eau jusqu' au mollet et deposa l'ensemble sur l'eau, tout en allumant la bougie elle prononca quelques mots tout bas:


A chaques personne partie, que les étoiles ont acceuillies pour l'eternité, puisse la lumière a jamais briller pour vous, vous qui manquer a ma vie chaque seconde...

Elle pensait surtout a Tein, et ses deux bébés... Elle essuya ses larme et laissa les fleurs et la bougie scintillante flottés sur l'eau s'éloignant petit a petit du rivage...

Elle sortit de l'eau et s'assit ramenant ses genoux sur sa poitrine ne quittant plus le lac des yeux..
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Message  Korydwen Dim 23 Aoû - 19:19

Deilayra a écrit:La rive brillait, le soleil était encore là, et les arbres commencit a verdir et fleurir... Elle aimait vraiment la tranquillité que dégageait le lac...
Elle s'assit au bord, enlevant ses chausse et ses bas et mis ses pied dans l'eau puis regarda l'étendue d'eau paisible, si bleue, preque transparente...
Elle serra la médaille qui pendait a son cou et pensa:


"premier jour sans toi..."

Elle savait qu'il y en aurait beaucoup d'autre, ca n'avait jamais changer et surement que ca ne changerait pas, et quelle importance...le temps n'avait rien effacé et n'effacerait rien...tellement de sacrifices déja fait et tellement d'autre à venir, une habitude qui finalement la laissait vide de tout... Elle avait pu rire quand on lui avait dit a ses débuts qu'elle finirait ainsi, elle s'était cru plus forte, assez pour garder un peu de réalité dans ses rêves, mais elle ne rêvait même plus, elle n'espérait même plus...

Elle avait juste cesser de croire qu'elle pourrait arreter ou recommencer une autre vie, elle se contentait de celle-ci, la derniere lecon avait été trop dure, trop douloureuse, finalement ils avaient pas mentis, ce ne sont pas les armes ou les blessure physiques qui tuaient, mais les torture qu'on endure en choisissant cette voie faite d'une sollitude sans fin, d'illusions et de déceptions qui vous ronge petit à petit...
Bientot elle deviendrait comme lui, une ombre, même si c'est ce qu'il était devenu elle aurait aimer le sauver et ne pas lui promettre ce qu'elle avait promis...

Elle regardait le soleil doucement finir sa course le regard éteint, les larmes étaient taries....sentant la douceur du vent de printemps lui caresser le visage vide de toute expression..

Catherine19 a écrit:Elle l'avait retrouvé, enfin ! Son voyage n'avait pas duré longtemps, mais il lui avait terriblement manqué, c'était certains.
Il c'était retrouvé a Belrupt, le parc était magnifique en cette saison, plein d'arbre en fleur, ils avaient voulu en profiter.
Elle était heureuse de l'avoir retrouvée et elle voulait en profiter.Ma l'inquiétude se lisait sur son visage, il voulait lui parler mais pas n'importe où, au bord du lac.Ils ont donc fait le voyage jusqu'à MB puis ils avaient rejoint les
rives.
Il faisait doux, cath portait juste sa chemise et profitait du temps.
Elle le regarda, inquiète de ce qu'il pouvait lui dire.
Comme à leur habitude, ils s'assirent sur l'herbe, les rosées qui la recouvrait habituellement avait disparu au file des jours et les pécheurs s'affalait au lac pour profiter des journées de pêches.

Sauveur a écrit:Ils s'étaient retrouvés au domaine de Belrupt, après une longue absence de Catherine. Sauveur lui proposa de se promener dans les beaux jardins qui entouraient la demeure principale. Apres de belles retrouvailles, Sauveur sentit que c'était le temps... Le temps de le faire... De lui avour...

Ils arrivèrent au bord du lac et comme à leur habitude, ils s' assirent sur l'herbe, qui à retrouver sa douceur en cette saison. Le soleil brillait, les oiseaux chantaient, autant faire une belle déclaration, se dit Sauveur.
Alors il prit son souffle, la regarda et commença...


Au départ,
Je t'appréciais
Tu me faisais rire et me rendais plus gai
Hier,
Tu étais la rose sur le champs de tulipes
Le lys sur une courone de margerites
Aujourd'hui,
Tu es pour moi comme le soleil pour une fleur
La fée qui a emprisonné mon coeur
Dans un coffre d'ébène
Tout ça pour te dire je t'aime...


La, il ne pouvait pas le dire aussi clairement, il espèrait pourtant qu'elle comprendrait...

Catherine19 a écrit:Elle regarda dans les yeux, ému du poème qu'il venait de lui compter.Elle ressentait la même chose que lui mais comment lui dire...Ses pensées se bousculaient dans sa tête la réponse était clair mais si difficile à exprimer.
Elle choisit un moyen simple et efficace...on ne pouvait pas faire plus clair.
Cath s'approcha de lui, le regarda dans les yeux puis captura ses lèvres, un baiser doux, plein d'amour.


-moi aussi je t'aime sauveur.

Sauveur a écrit:Sauveur ne sachant quoi dire, il se contenta de baissé les yeux. C'est alors que Catherine, le regarda et lui avoua, elle aussi, ses sentiments. Quelle joie pour Sauveur. Finalement, elle le regarda et ils s'embrasèrent...

La journée ne pouvait être meilleure. Sauveur se leva et prit Catherine par la main.

Viens allons nous promener Embarassed

Ils partirent alors le long du lac. Sauveur regarda derière lui et se jura de ne pas oublier cet endroit.

Puymartin a écrit:Puy venait de s'inscrire a la maréchausséé pour être du groupe de garde de la journéé il avait fait son baluchon et s'apprêtait a se rendre aux portes de la ville pour réjoindre les autres.
il passe par le lac s'asseoi et jète les pierres dans le lac en pensant bien fort a Nina8 qu'il ne voyait plus depuis presque 1 mois

il hurla


NINAAAAAAAAAAAA

il continue a pensé en ignorant le bruit des enfants qui jouaient aux bords du lac

.lou. a écrit:Lou sortait de la taverne, elle n'arrivait pas à dormir, elle avait donc décider d'aller parler un peu avec Arthé en tav, une fois sortit de la taverne, elle décida d'aller se promener un peu.
Elle pris le chemin du lac laissant la lune éclairé son chemin, elle avançait dans les ruelle, habillé de noir comme sa son habitude son épée a sa taille, elle tapait dans un cailloux, se qui brisa le silence, arrivé au lac elle le regarda, calme, paisible, reflétant la lumière de la lune.
Lou le regardait un moment, sans bouger, elle admirait cette beauté et se silence qu'elle aimait tant. Lou se coucha dans l'herbe fraiche, elle regardait les ciel, les étoiles, la lune, elle sourit à cette beauté, puis laissa ses pensée l'envahir, des pensées magnifique, elle pensa à lui...son tendre Amour qu'elle aimait tant.
Le sourire sur ses lèvres se dit encore plus intense, elle se mit assit et regarda le lac, elle se leva, enleva ses chausses et ses braies, elle se leva et avança doucement jusqu'au lac. Elle entra dedans, l'eau était fraiche et la fit frissonner, mais elle aimait sa, sentir l'eau froide sur elle, elle avançait un peu plus encore jusqu'à sentir l'eau sur ses cuisses, elle resta la un moment à pensé, il faisait nuit et l'air était frait.
Elle décida de sortir, elle remit ses habits, et marcha doucement en direction de son chez elle le sourire aux lèvres pour allez retrouver Angel...

Opusone a écrit:Opus avait arrêté la roulotte au bord du lac.

Il y avait de la bonne herbe tendre pour Caprice, l'ânesse portante et Epona la jument.

Winbill jouait avec le chien Barack. Il lançait des cailloux dans l'eau que Barack s'empressait d'aller chercher et ramener sur la rive. Sibille les surveillait tout rédigeant ses impressions de voyage dans son carnet.

Opus avait allumé un feu et tentait d'attraper quelque truites ou carpes qui pourraient leur servir de dîner.

Ils étaient partis depuis peu de Montpensier et déjà une petite routine de voyageur s'installait.

Ils iraient passer un moment en taverne pour faire connaissance des habitants et peut-être retrouver d'anciennes connaissances. C'est vrai qu'ils étaient dejà venu à Montbrisson en septembre 1456, ils voyageaient à pied, étaient tout absorbés à essayer de retrouver Winbill qui avait été enlevé par une jeune femme à laquelle ils l'avaient confié à Thiers. Heureusement ils avaient retrouvé Win à Polignac.

Opus se souvenait de l'Auberge du Drakkar qui les avait accueilli alors. Dame Ladyday les avait très bien reçus.

Ce soir, avec Sibille blottie dans ses bras, il regarderait les étoiles et se plairait à imaginer leru voyage comme un vrai bonheur.

Cette fois, ils ne resteraient pas longtemps à Montbrisson. Ils allaient vers le Sud. Peut-être qu'au retour en fin d'été, ils repasseraient ici.

.lou. a écrit:Vêtue de noir, Lou baignait dans le coucher du soleil. Ses yeux vert fixaient le lac où le soleil reflétait, le long de celui, l'herbe d'un vert vif flottait au vent, un vent chaud qui soufflait sur son visage et faisait voler ses cheveux détacher.
Lou s'arrêta et écouta les bruits de la nature qui lui rappelait un personnage important pour elle. La jeune femme s'assit en tailleur sur l'herbe, elle enleva ses bottes et trempa ses pieds dans l'eau, elle était fraiche mais ceci n'était pas désagréable. Elle avait besoin de réfléchir, réfléchir de tous les événements qui venaient de se produire, elle ne savait plus vraiment où elle en était. Les yeux fixer sur le lac, les cheveux au vent elle ne bougeait pas et pensa, elle pensa à beaucoup de chose, elle ne savait pas quoi faire. Personne ne pouvait l'aider, c'était à elle de prendre une décision, elle l'avait déjà prise certes, mais est-ce la bonne...Elle ne le savait, le futur allait lui dire.
Lou resta ainsi à regarder devant elle, sans bouger, sans parler, elle était bien...les tavernes pleine n'était pas vraiment son fort en ce moment, elle préférait la solitude.
La jeune femme s'allongea dans l'herbe, les mains sur son ventre elle regardait le couché du soleil en vidant petit à petit tous ce qu'elle ne voulait pas se rappelé.

Jazon a écrit:Ils étaient arrivés de Clermont via Thiers en fin de journée dans la maison rue du vieil Ecotay.
Jazon avait vite allumé du feu car il faisait pas bien chaud dans la maison. Faut dire que ca faisait plusieurs mois qu'ils en étaient partis et elle n'avait plus été ouverte ni chauffée.

Il avait commencé par charger les mules et la carriole de ses affaires.
Est ce que Gypsie garderait encore cette maison ?
Lui, il avait bien encore sa petite maison de son arrivée à Murat.

L'essentiel étant chargé, il proposa à Gypsie après un repas rapide d'aller faire un tour au lac et de passer par la cabane. Elle allait leur manquer.
Ils s'y rendirent en passant par les faubourgs. En revenant, ils passeraient surement par le village pour saluer les amis et connaissances.

La jetée et son phare, le coin où les bateaux étaient amarrés, le ponton où les pécheurs déposaient leurs poissons avant la criée du matin, tout était là, immuable.

C'est sur cette jetée qu'il y a quelques années, Gypsie et lui s'étaient avoués leurs sentiments. Jazon s'en rappelait comme si c'était hier.
Ils étaient allés jusqu'au phare et s'étaient assis côte à côte, leurs jambes pendant dans le vide au dessus de l'eau.

"Tu te rappelles Gypsie........?"

Gypsie a écrit:Déjà plus d'un mois passé à Clermont, semaines à observer la capitale, à y prendre marques et repères, à découvrir ce qui s'y passait, c'est à dire rien ou si peu. Un maire absent, un bureau de tribun aussi désert que celui du cadastre, rien ; des clermontois qui sortaient peu de chez eux, mis à part les constructions des hotels, il n'y avait rien.

Puis des élections mucinipales, changement de maire, voilà l'ancien Cac Benchichi à la tête de la capitale. Nouveau conseil municipal où une Gypsie motivée trouve petite place, ainsi que l'ami Hadex venu la rejoindre à Clermont. Du pain sur la planche, et une bonne résolution d'arriver à donner à ce village la place méritée de capitale du plus grand duché du royaume.

Et puis, étrange concours de circonstance, un pied à la maréchaussée et l'autre dans la lance de Jazon, sans doute l'amour a fait pencher la balance et surtout l'a fait suivre son époux, comme par magie. Ainsi ils arrivent à Montrison et après un passage dans la maison rue du Vieil Ecotay décident d'aller faire un tour au lac. Etendue d'eau qui leur manque tellement à Clermont et sera sans doute raison de ballades fréquentes.

Rien ne change ici, toujours les mêmes barques, les mêmes pêcheurs, la jetée et le ponton qu'ils arpentent main dans la main.


"Tu te rappelles Gypsie........?"

Oh oui, je me rappelle Jazon... Je n'ai jamais été aussi heureuse que ce soir là ; c'était l'automne, un automne où il faisait beau... Avec tes braies brunes tu ressemblais à une gravure de Laurentide, et je me souviens, je me souviens très bien de ce que je t'ai dit ce soir là, il y a un an, il y a un siècle, il y a une éternité... Je t'aime et je ne regrette rien.

Quelques pas encore, et instinctivement ils s'assirent au bord du ponton, laissant leurs jambes balancer dans le vide, heureux de cette petite escapade inattendue à deux.

Et que dire de Gandelin, si beau cadeau tu m'as fait.

Un sourire illumine le visage de Gypsie quand elle parle de son fils, et elle poursuit en riant.

Il faudra l'inscrire à la chorale tu ne crois pas ? S'il chante Baaaaa comme il braille zzzevaaaaaaal partout, il va sans doute être élu première voix !!

Jazon a écrit:Assis à même la pierre de la jetée, au coté de Gypsie, Jazon éclata de rire quand elle fit référence à l'obsession de leur fils. Serait il autant motiver pour le chant ?

Le soleil descendait peu à peu vers l'horizon, prenant son temps, comme à regrets.
Le printemps était bien là, les couleurs et les odeurs le confirmaient tout autour d'eux.

Les souvenirs remontaient qu'ils échangeaient en souriant et riant.


"Gypsie, il va falloir y aller."

Il se leva et lui tendant les mains, l'aida à se relever.

Gypsie a écrit:Et ravigotée par ce bon moment au bord de l'eau, Gypsie prit les mains de son époux, se leva et en profita pour l'enlacer, l'embrasser et le remercier pour cette promenade.

Oui, allons y, retrouver notre fils qui doit faire tourner Lucie en bourrique, et il me manque.

Dernier coup d'oeil au lac, une promesse faite, revenir bientôt et apprendre à nager au fiston. Enfin, Jazon s'en chargerait, comme il lui apprenait déjà à se familiariser avec la gente équine. A peine tenait-il sur ses petites jambes, qu'il l'avait déjà calé entre les siennes et emmené se ballader dans la forêt clermontoise. Père et fils étaient revenus le visage aussi radieux l'un que l'autre.

Arrivés près des chevaux, Jazon aida Gypsie à monter dans le chariot, et fouette cocher, l'attelage prit la direction de la capitale.

Dblbogey a écrit:Le trot du cheval le berce, il a la tête lourde, comme dans un étau, cependant l’air frais, le réveille,

Ils arrivent prés du lac, personne, la surface de l’eau est lisse calme, troublée simplement par le saut d’une carpe a l’assaut d’une sauterelle, une risée ride l’onde sous un léger souffle.

Il accélère le trot du coursier, le trot deviens galop, il a du mal a ce tenir en selle, sa tête lui fait mal,

« Nuit » galope à bride abattue,

Un écart,

Une chute,

Un bloc de pierre, son crane le heurte,

Le NOIR, rien que du NOIR

Cococcinelle83 a écrit:coco decida d'aller se promener le long du lac, elle etait coince ici pour cette nuit et tant qu'a faire pk pas visiter, elle alla donc au lac. Elle vit un cavalier arriver a vive allure et vit le cavalier tomber. Inquiete elle se precipita a la rencontre de l'homme et reconnu db, le mari de son amie , elle s'agenouilla et essaya de lui parler.

Db ca va ? repond moi ? fais moi un signe

coco angoisser regarda la blessure et grimaca, elle fouilla dans sa besace et sorti un linge qu'elle mis delicatement autour de sa tete, elle regarda autour d'elle cherchant desesperement de l'aide
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Message  Korydwen Dim 23 Aoû - 19:24

Anna974 a écrit:Anna se sentie toute bizarre, elle décida d'aller au lac, après avoir envoyé Coco voyant qu'elle ne revenait pas.
Les enfants avec elle, elle marchait lentement comme si elle ne voulait pas arriver au lac, pourtant elle devait y aller.
Arrivée au lac, elle vit "Nuit" s'approcher d'elle, en trombe et s'arrêter quand il l'a vit.

Qu'est ce que tu fais là toi?? tout seul en plus!!!
Anna regarda autour d'elle, cherchant Coco et maintenant son zamour...
Plus elle avançait plus elle se sentait inquiète, angoissée, instinctivment sa main posée sur son ventre, Adhavan lui tenait l'autre main marchait à coté d'elle, puis Eve qui tenait l'autre main d'Adhavan.
Anna regarda les enfants, Adhavan, puis Eve, encore Adhavan et à nouveau Eve.
Restez là, Eve reste là avec lui. Je reviens.
Anna les embrassa et continua à chercher, "Nuit" à ses cotés la guidait, lentement.
Elle vit Coco agenouillé sur un homme, rien qu'au vêtement elle reconnu son Db, son sang se glaça, elle se retourna vers les enfants leur fit signe de rester là ou ils étaient, puis s'approcha de Coco en courant. Elle s'arrêta net quand elle vit du sang partout, du sang sur sa tête, elle failli faire un malaise.
Elle contourna Coco, et regarda le corps inerte de son mari, elle tomba à genoux à ses cotés, les larmes aux yeux.
Une brise froide la traversa le dos, un frisson lui parcouru le corps.
Elle approcha lentement sa main de la tête de son amour, mais ne le toucha pas, ses doigts tremblaient, elle rapprocha encore sa main, s'arrêta de respirer, les larmes sur ses joues, non il peut pas mourir, il lui avait dit qu'il ne mourirai pas, il serai toujours là pour elle pour les enfants, un immortel en quelque sorte...
Elle posa sa main tremblante sur le visage pale de son homme, le caressa, le temps fut comme arrêter, cette demi seconde avait comme duré une éternité.
Elle ne le quittait pas des yeux, ça avait l'air grave, mais elle le regardait fixement comme si il allait se réveiller sous son regard.
Elle se pencha sur lui, déposa un baiser sur ses lèvres, lui murmura à l'oreille
Ne nous quitte pas, pas maintenant, jamais, j't'en prie ne me laisse pas, réveille toi, mon amour, j't'en supplie réveille toi... ,ne nous fait pas ça, ouvre les yeux
Plus elle parlait plus elle haussait la voix et commençait à le secouer, en pleurant, en priant de toutes ses forces, elle se sentait mourir... plus rien n'avait de sens, elle ne comprenait rien...
Allé, réveille toi, hé!! réveille toi, ouvre les yeux!! j't'en prie...jsuis rien sans toi...
Anna sanglottait, elle le secouait de plus en plus fort
OUVRE LES YEUX!!! MON AMOUR, OUVRE LES YEUX JT'EN SUPPLIE, REVIENS MOI!!!
Dnas un ultime souffle, elle tomba la tête sur son torse, une main sur la blessure comprimant le sang, et l'autre sur ces lèvres inanimées, elle ferma les yeux, pleurant l'amour de sa vie, le père de ses enfants, pleurant sa vie tout simplement, il est toute sa vie...

Dblbogey a écrit:Une vague lueur, des appels, une main sur son front, une douleur soudaine et taraudante,

Des appels encore, un doux visage entre aperçu,

Le noir, encore le noir………………………………

Cococcinelle83 a écrit:coco regarda db paniquer, puis anna, elle releva la tete et dit a son amie

je vais aller chercher de l'aide ne bouge pas, garde ta main appuyer sur son front pour eviter que le sang coule trop, je vais voir si je peux trouver quelqu'un

coco se leva et parti en courant en direction des tavernes toujours pleine de monde a ce moment de la journee, elle etait inquiete elle les aimaients beaucoup tout les deux et ne voulais pas qu'anna perde son amour

Anna974 a écrit:Anna n'arrêtait pas de pleurer, les minutes paraissent être des heures, une éternité...
Anna ne le lâchait pas du regard, appuyait sa main sur sa vilaine blessure, l'appellait, le secouait, rien y fait, il ne bougeait pas.
Epuisait, par la douleur, l'incompréhension, la tristesse, mais surtout par l'horrible sensation de coups de dague dans son coeur, inlassablement, Anna lui parle sans s'arrêter, encore et toujours
Mon amour, les enfants sont là bas, je sais pas quoi leur dire, faut que j'aille les voir, je les envoie à la maison.
Oui mon zamour on a une maison, j'étais en train de la préparer, jt'en supplie ouvre les yeux, serre ma main, n'importe quoi mais fait quelque chose.

Anna le regarde, ses larmes coulent sur son visage tout pale, ses cheveux se pose sur son front tellement sa tête est proche de la sienne.
Bats-toi jt'en prie, bats toi pour nous, pour moi, pour les enfants, pour moi mon ti coeur... pitié...
Entre sanglots, grosses larmes, et immense douleur, Anna essaye de lui parler encore et encore, sans le lâcher, le serrant fort, très fort..
Un moment d'espoir, Db entre ouvre les yeux une demi seconde, Anna lui donne de petites claques sur le visage, une lueur d'espoir...

C'est moi mon amour, allé regarde moi, encore une fois, reste avec moi.
Anna s'assoit et lui pose la tête sur ses cuisses, elle lui essuie le sang avec son haillon, et lui caresse le visage, une main toujours sur la blessure.
Il referme les yeux, et ne bouge plus à nouveau.
Cococcinelle83 a écrit:je vais aller chercher de l'aide ne bouge pas, garde ta main appuyer sur son front pour eviter que le sang coule trop, je vais voir si je peux trouver quelqu'un
Anna lève la tête, la regarde et lui fait signe de la tête, les joues trempées, puis lui dit en jetant un coup d'oeil aux enfants de loin
Tiens prend les clés emmène les à la maison pour moi s'il te plait, dis à Eve de s'occuper de tout et de ne pas s'inquiéter, merci.
Coco prend les clés et part en courant avec les enfants...

Marechalfoch a écrit:Marechal se promenait il voualit trouvait au bord de ce lac des roseaux des beaux roseaux pour les mettre dans sa chambre se promenant regardant les poissons les pecheurs et le soleil éclairé lorsqu'il rencontrit une personne un peu affolé qui cherchait de l'aide il lui parla et compris que Db était assomé et il retourna a sa chambre et devantr sa chambre pris sa charette arrivant en courant pres d'anna et de DB

il a pas l'air bien aller zou on le monte dans la charette

le porta avec anna dans la charette et la tira avec l'aide d'anna de coco et de mon écureuil a la ramener jusqu'a chez anna et DB

Anna974 a écrit:Anna attendit un peu puis vit Foch arrivait en charette, s'arrêta devant eux puis regarda la blessure
Marechalfoch a écrit:il a pas l'air bien aller zou on le monte dans la charette
Non pas du tout, il a ouvert les yeux un instant et depuis rien...
Anna pleurait toujours, elle l'aida à le mettre dans la charette avec Foch puis se mit assise à coté de son mari tenant sa tête. Foch parti en direction de la maison de Anna et Db
Le huit chemin rond du guet s'il te plait, c'est par là, pas très loin.
Ils partirent...

Marechalfoch a écrit:Marechal tirait avec son écureuil c'éatit pas facile lorsqu'il arriva enfin chez anna.

Caly a écrit:Caly étais venu voir son amis arista, elle avais fais le tours des taverne sans le trouver.Elle pris chris son fils et artit direction le lac un endroit calme ou elle aimais se reposer quand elle voyageais.
Elle avancais suivias un sentier, quand elle arriva pres du lac.elle posa son son qui lui alais cavaler dans le sable elle retira ses chausse et mis les pied dans l'eau.
elle avais trop de chose sur le coeur, comment pouvais t'elle retiré cette soufrance cette douleur cette chose qu'elle ne pouvais dire a personne.

Quand ses amis sa famille etias prs d'elle elle fesais semblant que tous aille bien mais au fond d'elle une chose la hantais.
le lac l'eau lui fesais du bien,elle repensa a ses baignade en plein hiver en artois, c'etais la seul a faire sa du moin il etais pas nombreux.
plein de chosse lui revenias en memoir elle s'installa en bord de l'eau elle serais mouillet se n'etais pas grave car au moin elle aura laisser ses sens divaguer la ou elle retouverais le calme absolu.

Salebete. a écrit:Solenn marchait pieds nus dans l'herbe fraîche.
Elle venait tout juste de découvrir cet endroit, et avait décider d'y venir pour se poser un peu; certes elle aimait faire la folle en taverne, rire aux éclats, garder le sourire, mais au fond elle était sensible, et aimait se reposer..
Elle s'arrêta au bord du lac, et s'y assis.
Solenn regarda son reflet dans l'eau, elle avait une mine fatiguée..
Les villageois étaient bien sympathique avec elle, et elle voulait les en remercier: savoir l'apprécier et la supporter n'était pas tous les jours facile.
Mais elle voulait partir..
Voyager au loin et retrouver cet homme qui l'intriguait temps; apprendre à le connaître, le comprendre..
Tant de questions qui lui trottaient dans la tête, tel un fier cheval qui galope en liberté la crinière au vent.
Là elle s'étala dans l'herbe, les pieds dans l'eau..
Elle se permettait de somnoler un peu avant de retourner travailler, et posa une main sur sa poitrine.
Ce parchemin en main, elle était maintenant là où personne ne pouvait l'empêcher de parader, rire et faire tout ce qu'elle souhaitait.
Rêver est ce qu'elle préfère pour autant..

Deilayra a écrit:Deilayra était revenue depuis peu, elle regardait le lac et sourit, repensant a chaque instant mauvais comme bon qu'elle avait passé pret de se lac...D'habitude elle s'entrainait ici, histoire de ne jamais perdre ses acquis, mais son état ne le permettait pas avant encore une semaine au moins...Elle avait donc trainer sa harpe jusque là...

Elle se mit sur la berge face a l'eau, retira ses botte puis ses bas et s'assit sur le rochers en face de son instruments, elle regarda l'eau rêveuse, essayant juste de ne pas se demander si ca arrivera, puis se mit a jouer sa musique préférée

Elle ne regarda pas ses doigts glisser sur les cordes, juste l'eau calme et paisible, et se sentiment de pleinnitude qui l'envahissait comme un renouveau plein d'espoir et de vie pour l'avenir...

Aellfall a écrit:Aellfall de passage a Montbrisson ne pu s'empêcher d'aller jusqu'au lac.
Elle stoppa sa carne, en descendit en admirant le paysage...sans doute le plus beau du Duché selon elle.

Elle eu un petit sourire et se dirigea vers son coin favori a l'abri des regards et de la foule...après avoir contourné une partie du lac elle retrouva l'endroit paisible ou elle se rendait autrefois.

Le petit sentier toujours aussi escarpé devait sans doute rebuter les gens...
Pourtant le lieux était tranquille et séduisant avec une sorte de petite "plage" naturelle et les quelques buissons un peu épais cachaient des regards indiscret.

La jeune femme attacha Zebulon a une branche et lui ôta sa selle et la couverture, puis elle le libéra lui enlevant aussi les rennes le laissant libre de vagabonder a son tour.
Elle partie en direction du sentier et commença la petite descente pour ce rendre sur cette petite "plage"naturelle.

Elle déposa son bardas au sol et scruta l'horizon s'assurant que personne ne trainait dans le coin. La jeune femme ôta ses affaires qu'elle déposa sur la couvrante du canasson et fila vers le bord approchant doucement ses pied...elle avança pas trop vite l'eau est froide encore...un frisson lui parcourt le corps...elle sourit s'enfonce doucement dans l'eau, continue puis entre complètement. La jeune femme entame quelques longueurs pour se réchauffée,puis reviens près du bord se laissant flotter sur l'eau, laissant libre court a ses pensées...

Riggins a écrit:Tim avait suivit les indications d'aell depuis la ville. Il pensait s'etre trompé de chemin et s'appretait a faire demi-tour quand il vit un cheval attachait a un arbre. Il reconnut le col jaune d'aellfall sur la selle et emprunta donc le sentier plus en avant.

Il vit de loin une silhouette dans l'eau. Il s'approcha et il reconnut la silhouette et la chevelure brune d'aell dans l'eau. Elle semblait dormir sur l'eau. Elle était très belle. Il vit ses affaires en paquet près de l'eau sur la petite plage et il s'assit a coté et la regarda.

Aellfall a écrit:La jeune femme occupée a rêvasser avait oublier de surveiller le bord, elle se redressa et fila droit sur la berge en apperçevant une silouhette familière.
Elle resta dans l'eau observant Tim et lui sourit...


Tu ne viens pas avec moi ?

Aellfall le savait peu sur et sortit de l'eau avant de lui laisser le temps de répondre, elle ôta sa chemise et enfila vite fait sa robe.
Elle s'installa a côté de Tim, s'allongea dans l'herbe posant sa tête sur les cuisses du beau jeune homme près d'elle, le regarda dans les yeux et lui sourit avec malice.


Dis moi que veux tu faire ?

Riggins a écrit:Tim était assis a la regarder depuis une dizaine de minutes quand elle tourna la tete et le vit. Elle sourit. Il lui rendit son sourire. Elle s'approcha en nageant gracieusement.

Tu ne viens pas avec moi ?

Avant qu'il ne put repondre, elle sortait de l'eau, vetu d'une fine chemise et d'un court braie qui lui collait au corps. Elle se tourna puis remis sa robe. Elle alla s'assoir sur lui et le regarda.

Dis moi que veux tu faire ?

Il dit sans reflechir :

Rester avec toi.Enfin, je sais pas, je voudrai bien aller dans l'eau aussi, mais faut rester ou j'ai pied car je nage pas très bien, meme plutot mal en faite, ou alors on peut rester sur la plage tout les deux.C'est comme tu veux.

Aellfall a écrit:Aellfall lui prit une main delicatement et entrecroisa ses doigts aux siens...elle y deposa un baiser et sourit a Tim, en l'écoutant sagement.

Bien si tu veux nous restons là tout les deux sans bouger et profitons du calme des lieux...pour la baignade on verra plus tard et puis je resterais près de toi...je voudrais pas que tu te noie.

La jeune femme se redresse et se met tout contre Tim se calant dans ses bras...
elle observe le paysage qui laisse rêveur se sentant bien là ou elle est...

Rackarth a écrit:De l'autre coté du lac.
De l'autre coté du lac,en cette belle journée ensoleillé, Rackarth se baladait paisiblement le long de l'eau sur le chemin qui fait le tour du lac. Le temps était agréable et chaud le soleil se reflétait sur la surface de l'eau comme dans un miroir.
Rackarth s'arrêta au bord de l'eau et s'assied pour observé le lac et ses alentours.
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Message  Korydwen Dim 23 Aoû - 19:27

Riggins a écrit:Bien si tu veux nous restons là tout les deux sans bouger et profitons du calme des lieux...pour la baignade on verra plus tard et puis je resterais près de toi...je voudrais pas que tu te noie.

Tim sourit legerement en repensant a sa derniere baignade, il y a quelques semaines, il était avec cahuete, il avait un peu paniqué il est vrai.

D'accord, profitons juste de ce moment, tu as raison.
Je te fais confiance pour l'eau et la noyade ...


Il lui fit un bisou sur le front et posa sa tete sur la sienne.

Juliette1357 a écrit:Voilà une journée qui s'annonçait agréable, le soleil était au rendez-vous, l'air ambiant assez doux, journée propice à une promenade au bord du lac. C'est ainsi que Juliette s'y rendit, d'un pas décidé.
Quand elle arriva près de l'arbre où elle avait l'habitude de s'asseoir pour rêvasser, à l'ombre des feuillages, la jeune femme se ravisa et continua son chemin. En ce jour, elle avait envie de profiter du soleil, de flâner.
Juliette longea le bord du lac, marchant d'un pas nonchalant, profitant de la superbe vue, quand elle aperçut au loin une silhouette qui lui était familière.
En s'approchant, elle reconnut Rackarth qui était assis au bord de l'eau. Juliette avança dans sa direction sans faire de bruit, arriva derrière lui et, un sourire aux lèvres, posa délicatement ses mains sur les yeux du jeune homme et lui murmura:


Devine qui c'est...

Rackarth a écrit:Rackarh n'entendis pas sa blonde se rapproché de lui . Il sentit des maisn se poser sur ses yeux et entendit dans un chuchotement:
"Devine qui c'est..."


Rackarth reconnut de suite la voie de Juliette. Il dit :
"Heuuu! J'ai un doute peut être une blonde ,une blonde que j'adore je dirais même!"
Il passa les mains sur celle de Juliette puis les fit glissé sur l'épaule de celle ci.
D'un coup il la fit passer devant lui sur ses genoux. Et l'embrassa passionnément en la tenant dans ses bras.


"Au gout de ce baisé je dirais que tu es Juliette!"
Lui dit il avec le sourire au lèvre.
"Dis moi que me vaut cette adorable surprise?Je ne m'attendais pas à te voir ici!"

Juliette1357 a écrit:Juliette se doutait bien qu'il la reconnaitrait immédiatement, aussi s'il s'était trompé elle aurait eu de quoi s'inquiéter tout de même. Rack lui attrapa les mains pour l'amener sur ses genoux, où elle s'installa sans se faire prier pour se blottir dans ses bras et répondre à son baiser avec ferveur.
La jeune femme le regarda, lui offrant son plus beau sourire quand il lui dit:


Dis moi que me vaut cette adorable surprise?Je ne m'attendais pas à te voir ici!

Juliette fit plisser son petit nez et déposa un doux baiser au coin des lèvres du jeune homme avant de lui répondre en souriant:

A vrai dire, j'ignorais que tu te trouvais ici, mais vu le beau temps j'ai eu envie de faire une petite ballade au bord du lac et , ma foi, j'ai le plaisir de t'y trouver!

Rackarth a écrit:Juliette lui déposa un doux baiser au coin des lèvres avant de lui répondre
"A vrai dire, j'ignorais que tu te trouvais ici, mais vu le beau temps j'ai eu envie de faire une petite ballade au bord du lac et , ma foi, j'ai le plaisir de t'y trouver!

-Ton plaisir est partagé, alors je suis heureux aussi de toi voir ici "

Puis Rack regarda le lac avec sa belle dans les bras.
Qu'elle doux plaisir pour lui d'avoir sa Juliette près de lui en un beau jour d'été tel qu'aujourd'hui.De temps à autre il jetait un regard sur Juliette, et lui déposais de petit baisé sur les lèvres.
Après quelque instant de contemplation il regarda Juliette et dit:

"Tu voulais peut être faire quelque chose de particulier en venant au lac, te balader, te baigner?
Si tu veux je t'accompagne avec plaisir.
"

Juliette1357 a écrit:Juliette resta dans les bras de Rack, le regard perdu dans l'horizon, profitant de ce moment tendre et paisible et laissant son esprit vagabonder. Le jeune homme la sortit de ses pensées:

Tu voulais peut être faire quelque chose de particulier en venant au lac, te balader, te baigner? Si tu veux je t'accompagne avec plaisir.

Juliette tourna son regard bleu vers lui:

Une baignade?

En disant ces mots, la jeune femme retira ses bottes, se leva et attrapa le bas de sa robe qu'elle fit remonter jusqu'en haut des cuisses, laissant découvrir ses jambes fuselées. Juliette avança jusqu'au bord du lac, trempa un pied dans l'eau fraiche, s'enfonça jusqu'à mi-cuisse puis se tourna vers Rack:

Brrrrrrrrr!!! Elle est trop froide!

Elle sortit rapidement de l'eau en riant et revint près de Rack.


Je préfère faire une sieste au soleil! Regarde dans ma besace, il doit y avoir mon châle. Prend le et étale le au sol qu'on s'y allonge, je peux pas lâcher ma robe mes jambes sont trempées...

Rackarth a écrit:Rackarth regarda Juliette se dirigé vers l'eau ,elle trempa ses pieds dedans.
Et dit q'elle était froide puis revins vers Rackarth.
Celui ci la regarda avec un petit sourire.

"Tu n'es pas resté assez longtemps; je pense pour savoir si elle était vraiment froide il aurait fallu trempé un peu plus que tes jambes.
Viens avec moi je vais te montré comment faire.
"

Rack défit ses botes et ses bas.
Il se leva et pris Juliette dans ses bras avant qu'elle n'est peut lui dire la moindre chose.
il se dirigeas vers l'eau et avança , il commença par avoir de l'eau aux chevilles.

"Tu vois d'abord aux chevilles puis de plus en plus tu vas dans l'eau étapes après étapes."
Puis il avança un peu plus pour avoir de l'eau aux genoux , avança encore pour avoir de l'eau à mi cuisses ,la robe de Juliette commençait à être dans l'eau ,mais Rack ne le vit pas .
Puis il avança encore pour avoir de l'eau au niveau de la taille tout en faisant attention que Juliette ne soit pas mouillé.


" Elle est pas si froide que cela! Tu vois ?"

Juliette1357 a écrit:Juliette n'eut pas le temps de répondre quoi que ce soit ou de protester, que déjà Rack l'avait soulever dans ses bras.

Euh....

Le voilà qui se mit en tête d'aller dans le lac. Juliette s'accrocha à son cou les yeux écarquillés, se demandant s'il allait la jeter dans l'eau froide, toute habillée. La jeune femme commença à s'affoler.

Non non mais non... euh... je veux pas me baigner moi! Je veux dorer au soleil! Rack!!! Ramène moi!!

Malgré son affolement, Rack continua à avancer, ignorant les protestations de la jeune femme. Quand il eut de l'eau jusqu'au niveau de la taille, il lui dit:

Elle est pas si froide que cela! Tu vois ?

Juliette écarquilla encore plus les yeux, ouvrit la bouche et:

Haaaaaaaaaannnn!!! Mes fesses elles sont trempées!!! C'est froid!!! Grrrrrrrrrr!!!!

Rackarth a écrit:Haaaaaaaaaannnn!!! Mes fesses elles sont trempées!!! C'est froid!!! Grrrrrrrrrr!!!!
-Mais non! Mais non ce n'est pas froid.Puis si ce n'est que les fesses ça vas alors!Mais moi je trouve pas l'eau si froide.Tu sais une fois habitué elle est agréable.
Puis pour finiravec ce que je disais tout a l'heure, la dernière étape passé la tête sous l'eau.
"
Lui dit t'il avec un grand sourire.
Puis Rack plongea la tête sous l'eau, entrainant Juliette avec lui.
Un fois remonté il regarda Juliette et lui dit avec un air surpris:

"bha tu es toute mouillé ma belle Juliette que t'est t'il arrivé?"
"Elle est très agréable tu trouve pas?"

Lui dit il en la regardant accroché au coup de Rack complètement mouillé

Juliette1357 a écrit:Sans trop comprendre ce qui lui arrivait, Juliette se sentit happée et eut à peine le temps de prendre une inspiration avant de se retrouver la tête sous l'eau, dont la fraîcheur lui glaça le sang et les os.
Quand Rack les remonta à la surface, la blonde resta quelques secondes bouche bée, le regardant fixement, sans même entendre ce qu'il lui disait. Sentant son corps engourdi par le froid, Juliette fut prise de tremblements, reprit ses esprits, puis hurla:


Aaaaaaaaah!!!! Tu as osé!!!

Juliette réussit à échapper à l'emprise des bras de Rack en se débattant. Elle posa ses deux mains sur la tête du jeune homme, l'obligeant à s'enfoncer dans l'eau, puis le relâcha avant de se dépêcher de regagner le bord.
Une fois sur la berge, complètement trempée de la tête aux pieds, elle se tourna vers Rack qui était toujours dans le lac et dit en élevant la voix pour être sur qu'il l'entende:


C'est malin! Regarde dans l'état ou je suis! Je rentre comment maintenant, nue? Non mais j'te jure... les hommes et leurs idées farfelues!

Juliette regarda autour d'elle pour vérifier que personne ne se trouvait dans les parages, puis retira sa robe trempée qu'elle posa sur une branche d'arbre, la laissant sécher au grand air. Elle essora délicatement ses longs cheveux blonds, laissant l'eau ruisseler le long de son corps, puis prit son châle rose qu'elle garde toujours dans sa besace et s'enroula dedans pour se réchauffer et cacher sa nudité.
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Message  Korydwen Dim 23 Aoû - 19:28

Rackarth a écrit:Rack ressortit la tête de l'eau après que Juliette lui est mis dessous.Il prit une grande inspiration pour retrouver son souffle.
Rackarth se retourna vers Juliette qui lui dit
"C'est malin! Regarde dans l'état ou je suis! Je rentre comment maintenant, nue? Non mais j'te jure... les hommes et leurs idées farfelues!
-Ce n'est rien juste un peu d'eau ma belle !"
Rack regardait toujours Juliette et la vis retirer sa robe.Il restat quelque temps absorbé devant ce joli spectacle .
Une fois sortit de sa torpeur, il se dirigeas vers la berge et dis à Juliette :

"Si tu as froid prend ma cape elle est juste à coté de toi elle te tiendra plus chaud vu qu'elle est resté au soleil ."
Rackarth monta sur la berge ,retira sa chemise; il la déposa sur la branche à coté de la robe de Juliette .
Puis il s'installa dans l'herbe,les yeux fermés, au soleil pour se faire séché.

Wolfgang_feuerfuchs a écrit:Wolf qui avait hâte de voir le lac de Montbrisson dont on lui avait dit tellement de bien à cahors, monta sur une hauteur près de celui-ci pour pouvoir en apprécier la pleine beauté

Malgré lui, il vit la scène de loin et se dit que manifestement on n'avait plus trop besoin de lui dans cette jolie ville.

Il poussa un soupir et ne s'attardant pas, prit la direction de l'auberge en disant


Bon bah...
En route pour la Franche Comté hein


Il ne pu s'empêcher de sourire en disant cela

Riggins a écrit:Après s'etre assoupi les bras autour d'aell, il se reveilla et avait envie d'aller le lac. Il lui fit des petits bisous pour la reveiller.

Aell, tu viens te baigner avec moi?
avant de rentrer au village pour la nuit

Sofio51 a écrit:Il est venu le temps pour le lac de son reflet éternel, lac enchanté, lac des légendes, de rien , tu sauras bien plus en ton nom que nul ne comprendra jamais, sentir l'eau fraîche encore une fois, puis voir mon reflet trouble, fuyant.

La vie tout autour, c'est beau la nuit aussi,

petit sourire.......

une âme poétique ce jour, tu es folle ressaisis toi, jamais non jamais tu n'a été a ce point affecté, et pourtant tu en a vu des choses, partout ici la bas.

Marcher, encore marcher, tant que le vent souffle et caresse tes joues tu le peut.


Elle enlève ses godillots jette enfin ses armes comme un lourd fardeau.

Marcher tout autour du lac libre comme l'air libre dans sa tête, il le faut,ne pas penser, ne pas parler.

des amis pas loin, des amis partout, oui elle le sait, et après.....

Grande lassitude , tu m'a prise comme le feu étreigne un peuplier, tu a serré mon coeur dans un étau,jamais non jamais personne , n'aurais pu, ca c'etait déja le premier combat de gagné.

Marcher encore, marcher tant que cela est possible.......

Aellfall a écrit:La jeune femme endormie, ouvrit les yeux reveillée par de doux baisers.
Elle regarda Tim, penché sur son visage et lui sourit...attentive a chacun des ses mots.


Aell, tu viens te baigner avec moi?
avant de rentrer au village pour la nuit

Hum...donc tu veux te baigner...bonne idée !

Un sourire amusée elle se lève et ôte sa robe...le regarde et lui tend la main.

Aller viens je te lache pas, on y va et ensuite nous rentrerons.

Elle fila suivit de Tim au bord de l'eau et entra doucement sans remous...
laissant son corp s'habituer a la fraicheur de l'eau...
elle poursuivit jusqu'a sa taille et s'arrêta se retournant pour le regarder.

Riggins a écrit:Hum...donc tu veux te baigner...bonne idée !

Oui oui.

Tim ote ses bottes, sa chemise puis ses braies.
Il prends la main d'aell et la suit dans l'eau.

Aller viens je te lache pas, on y va et ensuite nous rentrerons.

D'accord, je te fais confiance.

Il la suit en marchant dans l'eau doucement, puis s'arreta avec elle.
Ils avaient de l'eau jusqu'a la taille a peu près. Il s'approcha et l'embrassa pour se donner confiance puis se baissa et mit la tete dans l'eau. Il savait qu'il avait toujours pied.

Je suis pret pour commencer a nager aell, que dois je faire ?

Aellfall a écrit:Aellfall lui sourit et l'entraine plus loin...elle s'arrête quand l'eau lui frôle les épaules et arrive sous les bra de Tim.

Bien alors pas de panique je suis là...pour commencer met toi sur le dos et laisse toi flotté...tu vas voir...aucun risque de couler...détends toi et laisse l'eau te porter.

Elle le regarde faire ne lui lachant pas le bras pour le rassurer.

Riggins a écrit:Tim la suit plus loin vers le milieu du lac.
Il lui tient toujours la main.

Bien alors pas de panique je suis là...pour commencer met toi sur le dos et laisse toi flotté...tu vas voir...aucun risque de couler...détends toi et laisse l'eau te porter.

Heu, j'ai de l'eau aux epaules, on est pas trop loin du bord la ?
Tu es sur ? Bon j'essaie.


Tim penche sa tete vers l'arriere et essaie de s'allonger, il leve ses pieds vers le haut. Il fait travailler ses abdos et se postionne tant bien que mal en position allongée.

Il regarde Aell de coté pour voir si c'est bon.

Sofio51 a écrit:parait que le soir le lac rend son reflet puissant, parait que le lac la nuit on peut entendre des gens parler, même les gens partis a longtemps et même que si on veut on peut les voir..............

Pas un bruit , misère que cela fait du bien, pas un cris, pas une plainte rien......froissements dans les arbres, chauves souris la tête a l'envers tu me regardes,bête du mal, tu es ,le sens tu le mal.......

parle toi, parle moi, que tais je fait pour ainsi me maudire, je ne suis que moi je ne suis rien, parle moi encore une fois.Saleté de lune tu te vautres tu te garces, tu t'acoquines et tu me laisses sans un bruit, voleuse tu fuiras au matin.

Me coucher la prés du lac et attendre, il sera temps , il est plus temps, il sera la le moment, même pas peur, pas d'impatience, juste sentir le mal, comme la lame qui me transperce, sentir la douleur quand elle est indispensable.

Aellfall a écrit:Elle le regarde amusée et lui repond sur un ton qui se veut rassurant.

Non ne t'inquiète pas et puis je suis là...

elle le regarde se mettre sur le dos...et passe ses mains sous lui.

Soit souple et laisse là te porter tu ne risque rien détends toi...tu verras ça ira tout seul...pas besoin de faire d'éfforts inutiles

Riggins a écrit:Tim fait comme elle dit et se laisse porter par l'eau.
Il sent legerement ses bras et ses mains sous son dos.
Cela le rassure, il s'allonge completement jusqu'a voir ses pieds sortir de l'eau. Il ferme les yeux et se laisse flotter.

Il est tellement bien qu'il ne sent pas qu'aell retire ses bras et s'ecarte un peu.

Aellfall a écrit:La jeune femme le sent détendu et s'éloigne doucement sans faire de remous et l'observe sans rien dire, faisat attention qu'il ne s'éloigne pas trop.

Alors tu vois ! facile hein et agréable en plus !

Elle se met a nager en rond autour de lui en éspérant ne pas le surprendre et ne pas le voir couler.

Riggins a écrit:Alors tu vois ! facile hein et agréable en plus !

Tim ouvre les yeux et ne la voit plus a coté de lui.
Il tourne la tete en tout sens et perds son equilibre.
Il se retrouve sous l'eau. Il se rapelle qu'il a pied et pousse sur pieds pour remonter a la surface. il voit aell qui tourne a quelques metre de lui.
Il s'essuie les yeux et lui dit.

Arf, je croyais que tu avais filé ou pire que tu avais coulé.
Mais heureusement tu es la.


Tim se dit qu'il doit se remettre tout seul sur le dos, sans l'aide d'aell.
Il force un peu et se remet alongé sur le dos. Il bouge un peu les bras et les jambes pour se deplacer.

Comme ca aell ?

Sofio51 a écrit:Lentement elle se déshabille, effeuillant ses vêtements l'un a l'un doucement comme on pille une fleur, laissant choir le tout au sol, dans l'herbe mouillée, puis attirée par le bruit des voix elle avance vers l'eau, marchant droit, le silence de l'herbe, humide sous ses pieds , seul contact restant avec le monde......

L'eau est froide, et la saisit, les orteils y sont déjà, puis çà monte aux jambes, l'eau est noir , le noir du mal, qui avance la pénètre, c'est un mal qui fait du bien......

L'eau dans le dos comme une caresse, la prend, le bas des cheveux et encore avancer, avancer elle entend mieux la voix, elle pourrait répondre, mais elle sait que la voix n'a pas besoin de ca, parler est futile, voila longtemps qu'elle le sait, elle ne livrera plus rien, il est temps il est le moment.......

Avance encore ma pauvre, viens encore pauvre gourde, tu n'a été que nulle, pauvre fille tu crois quoi, tu n'est que la paysanne de ton village, tu es née la gueuse pour croire, tu mourras en ayant trop cru.........

Aellfall a écrit:Elle le regarde continuer tout seul puis couler dans un mouvement de panique...elle arrête de nager file vers lui que déjà il remonte.
Elle l'écoute et l'observe.


Non je t'ai dis je veux pas que tu te noie

Tim se remet tout seul sur le dos et commence des mouvements avec les bras et les jambes, Aellfall s'approche doucement et sourit en le voyant faire.

Oui !! Voilà !! c'est comme ça continue

Riggins a écrit:Oui !! Voilà !! c'est comme ça continue

Tim sourit et continue ses mouvements, il tourn la tete pour voir la direction. il a bien compris le mouvement des bras, circulaire le long de son corps. Il a un plus de mal avec ses jambes. Qu'importe, ils'approche d'aell et l'enlace et l'embrasse.

On rentre ? Je commence a avoir froid.

il se remet a faire ses mouvements vers la berge.Cette fois, il se rend compte qu'il est sur le ventre, c'est pareil sauf que la tete est sous l'eau et ca fait mal au yeux, en plus, on y voit rien ...

Aell le suit en nageant, elle nage bien, elle est gracieuse.
Il arrive ensemble sur le rivage.

Tim allume un feu pour se secher un peu, et pour passer la nuit ici.
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Message  Korydwen Jeu 27 Aoû - 16:14

Aellfall a écrit:La jeune femme le suit des yeux et le voit s'approcher d'elle en nageant sur le dos...elle lui sourit et repond a son étreinte en lui rendant son baiser.

Tu as raison j'ai pas chaud non plus on file...

Elle reste près de lui et se laisse glisser dans l'eau...arrivée près de la berge elle enfile sa robe prend ses affaires et tend son bras a Tim...ils remonte jusu'au canasson qu'elle recupère et selle rapidement.Ils grimpent dessus puis rentrent tout les deux au village.

Juliette1357 a écrit:Juliette regarde Rack s'allonger dans l'herbe, puis laisse glisser son châle au sol et se couvre de la cape du jeune homme. Elle s'asseoit près de lui et reste ainsi un moment, les yeux rivés sur le lac, se laissant noyer par le flot de ses pensées et profitant de la douce chaleur du soleil qui réchauffe son corps glacé.
Cependant, ce même soleil l'assomme quelque peu, et la voilà prise d'une soudaine envie de dormir. Juliette s'allonge aux côtés de Rack, sur la cape qu'elle ouvre, puis prend son châle et le pose négligemment sur elle, de manière à cacher son anatomie.
Se laissant porter par l'air ambiant, la jeune femme ne tarde pas à s'endormir paisiblement... pour se réveiller quelques temps plus tard.


Oulà je me suis endormie!

Juliette se lève d'un bond et va vérifier que sa robe et la chemise de Rack sont sèches. Constatant que c'est le cas, elle ramasse le tout et tend la chemise à Rack avant d'enfiler sa robe. Elle se tourne vers lui:

Il se fait tard, on devrait rentrer non?

Rackarth a écrit:Rackarth les yeux fermés sentit que Juliette c'était allongé près de lui , mais il resta impassible les yeux fermés.

Quelque temps plus tard il entendit à coté de lui une voix :
"Oulà je me suis endormie!"

Il regarda sa voisine qui était allongé sur sa cape simplement vêtu d'un léger châle laissant deviné ses formes.Il la vit se lever enroulé toujours dans son châle ,elle prit sa robe qu'elle enfila rapidement sans être vue par personne a part Rack.
Puis elle lui tendit sa chemise que Rackarth mis et elle lui dit:

"Il se fait tard, on devrait rentrer non?
-Oui on as bien profité de notre aprem, une petite baignade, une petite sieste pour toi . Si on allais en taverne pour finir cette soirée agréablement?"
Sans attendre la réponse de Juliette, Rack repris sa cape, prit la main de Juliette dans la sienne pour se diriger vers l'auberge au centre de Montbrisson.

Sofio51 a écrit:encore un bout de temps

passe le temps du ciel bleu, voici venu le temps des orages, passe le temps des jours heureux voici venu le moment de les payer, cher le prix de ces moments de bonheur, qu'en restes t'il ce jour a part le néant.

Elle s'assoit au bord du lac songeuse, les larmes coulent, partagée entre la haine et le désir, elle n'a pas pu choisir elle a laissé la vie en décider, le sort , le destin, lui aussi a choisit,l'honneur a l'amour, le sang a la vie, ironie du sort........va au diable.

Nafout

Rien n'empêchera ton retour,pour sur, rien n'empêchera son voyage, aurait t'il fallu ne jamais croiser le chemin de la bête, Je t'aime.....je sais.

M'en a fallu du temps pour le savoir, mon cœur gardait l'écho,les portes s'étaient fermés, trop de faux fuyants a ces futilités, perte de temps qu'on lui avait dit, perte pour elle, qui devait être formée a autre chose.Alors il faut trancher, peser,pas écouter, mais ce jour, ce moment son coeur a parlé haut et fort.

Tais toi cesse donc va plutôt cesser de battre que ca

pas ca, il faudra bien le faire taire, quitte a le tuer aussi, le transpercer, non c'est chose faite, l'étouffer, il vit comme le mal même sans air, le noyer, rempli d'eau il fermera son clapet.

La mûle passe le chien est mort devant il aboiera plus.

Saleté de mule, tu n'a jamais rien vu, toutes ces caresses, ces carottes, même la plus rare des fleurs je t'aurais donné, mais tu es animal je suis loin de ton monde, tu ne causes même pas mon langage, j'ai regardé au fond de tes yeux, je n'ai pas vu la flamme,va au diable.

Choisir le monde des bien pensants

S'attendre a la correction çà fera rire , on ne rie que de çà ici, s'attendre a la foudre, et a ses anges du démons tous frères d'un jour cousin de malheur le lendemain, famille de haine et de justice, elle les entend déja avoir soif et réclamer leurs verres.

Trinquons

On va boire a la source, elle ne verra plus rien, boire a outrance, le lac se videra pas lui.

Je t'aime comme jamais, et je sais que la lumière fut belle, encore plus quand tu la portes,je t'aime comme plus jamais, le retour, le présent a pas du futur.

Z'avez qu'a prendre ce qu'il restera une fois que le lac sera mien, et le filer a la mule.

Une danse encore, une pirouette, et c'est déja le temps de la soif.

Lelmax a écrit:Dernier soir a Mb


le jour du départ arrivant , revenu sur Montbrisson après plusieurs mois d absence.
Voulant se faire discret ne fréquentant que les tavernes le soir tard de plus les moins fréquentés, mais le destin en avait décider autrement.

Elle était revenu aussi il s'était revu aimer comme au premier jour de leur rencontre malgré leur différence, lui voyageur peu recommandable parait il, elle Capitaine des armées du duché, le fossé immense c'était encore agrandit depuis leur dernière fois ou elle n'était" que" sénéchal.

Les rencontres en tavernes se faisant plus nombreuses les sentiment se dévoilant chaque jour un peu plus .

Une bagarre une de plus pour ceux qui le connaissent, des mots des coups, une gifle qui part elle s'en méle le frappe défendant une amie a elle, ne perdant jamais se maudit réflexe de rendre coup pour coup lui en met une aussi les mots faisant rage la colére prenant le dessus laissant partir la haine .

L'amour la haine mélange de sentiment fort souvent ingérable menant à la déchirure , pourquoi l'avoir giflé pourquoi lui avoir dit toute ces méchancetés, une facon de partir la laissant sans espoir d'un retour .

Le temps du départ était la, une discution en taverne le dernier soir les chose mise au clair les differents sentiments mis a plat, il pouvait enfin prendre la route , l'amour l avenir en parlera mieux que lui !





Grenat a écrit:La journée avait chaude et supportable pour une fois. Le soleil déclinait à l'horizon, elle l'avait vu, lui avait était distant, son conportement était étrange, elle ne l'avait pas comprit sur le moment. Il était partit se balader, rien d'étrange la dedans.

Elle était restait à sa chambre lorsque sa soeur vint la voir, une dispute éclata, première douleur au bas ventre, sans doute le stress se dit elle. La jeune femme esseya de penser à autre chose, elle entendait à peine sa soeur, soudain elle se plia de douleur, sa jumelle arriva, ainsi que leur parrain qui s'occupa d'elle.

Il l'a rassura et lui dit que l'enfant allait bien, qu'elle devait rester calme, elle rester sage, là il en demandait trop le parrain, il l'embrassa sur la joue après l'avoir soigner puis il repartit. Elle avait besoin de prendre l'air, de respirer ce qu'elle, elle sorta.

Balade dans les rues de MB un petit vent rafraichissant cela faisait du bien, elle entra dans une taverne, il vient la voir, il avait apprit son malaise, il lui reprocher le fait qu'elle avait faillit perdre l'enfant. Ces propos étaient dur et cruels à entendre, elle avait prit sur elle et lui avait, tu l'aura ton enfant, tu le tiendra dans tes bras mais moi je ne serrais plus là pour voir cela..

Mot cruels qu'elle avait prononcer, son coeur était meurtri, elle voulait lui faire mal comme lui avait sur le faire... Elle ressortit de la taverne, alla dans une autre pour avoir la paix, pas possible sa nièce et sa jumelle étaient là, elle craqua et laissa ses larmes couler, elle prit sa dague et sortit de la taverne en courant.

Elle coura jusqu'au lac, ses larmes lui brouiller un peu la vue, pas grave, elle s'arrêta, essoufler, haletante. Elle marcha jusqu'au bord du lac, elle enleva ses bottes, les jeta derrière elle, l'eau venait s'échouer sur ses pieds, elle s'en rendait à peine compte. Son regard fixait longuement la dague, la lune faisait la lame, des étoiles commençaient à clairsemer le ciel.

Debout ainsi à contempler sa dague, son parrain l'aurait fessée, il aurait au raison, elle risquait de perdre l'enfant, mais à ce moment là la seule chose qui résonnait dans son esprit était les mots blessant qu'il avait prononcer...

Marmi a écrit:Marmi avait eu une journée bien remplie , elle ne put se rendre en taverne et ne s'y rendit tard dans la soirée.

Elle apercut ses deux tantes voyant grenat effondrée elle apprit ce qui s'était passé et en fut la première étonnée.
Elle vit sa tante sortir en grande vitesse armée d'une dague. Ayant peur qu'il arrive quelque chose à sa tante preferée, elle partie à sa recherche un peu plus tard. Elle savait qu'elle chercherait un endroit au calme un peu à l'écart de tout car c'est souvent ce que les personnes font pour se vider l'esprit. Elle se précipite au lac accompagnée de sa tante caly en espérant trouver grenat en vie ...

Caly a écrit:Caly qui étais a l'antre de folie son esprit divaguant sa soeur arriva en larme mais que c'était t'il passée??
Caly ne vais pu trop quoi faire elle avais couper la corde sa niece l'avais confisquer.
sa soeur partit en courant avec sa dague, la tavernière vu l'heure nous envie au lit rho en plus ma tante et sa nièce avais envie de boire et s'amuser et au contraire refuser de nous servir les verres elle partit en claquant la porte.

La brunette passa un moment avec sa nièce réfléchissant ou sa soeur pouvais bien être partit.
Piuis en y pensant elle savais ou elle était partit car quand elle allais pas bien son endroit favoris et le lac ou la plage.
Elle sortit en courant suivit de sa nièce elle partirent jusqu'au lac caly avais beaucoup bu et avais fais la cave de kris et avais pris quelque bouteille avec elle (non je dirais pas combien Embarassed juste de quoi se terminer quoi Twisted Evil ).

Les brunette finirent par arriver sur la plage regardant dans tous les sens, puis retira ses chausse et se mis sur le sable .



caly dit a sa nièce et zut et mince me suis hips* planté *hips* elle est pas la

la brunette regarda sa nièce complètement désespéré et sorti une bouteilles et commence a boire au goulot

Marmi a écrit:Marmi regarde sa tante et se met a rire de la voir faire Laughing

Ah bah bien ^^ Donne m en un peu tient autant qu'on picole ensemble! allez viens je te porte va Laughing

Marmi porte sa tante sur son dos sans trop la secouer il s'agit pas de remuer l'alcool dans son estomac ni de la rendre malade. Elles se dirigent alors vers le lac.

Caly a écrit:Caly sonne une bouteille sa la nièce puis monte sur son dos et la laisse avancer tous en continuant de boire

*hips voui *hips* elle a intérêt a être *hips* en vie.

Caly a moitié aveugle (ben vouivu son taux d'alcool Twisted Evil ) cherchais du regard sa soeur sa nièce la portais toujours mais vu comment elle avait bu toute les deux la marchent étais un peut beaucoup de travers comment pouvais telle tenir encore debout.

La brunette pensera a remercier papa pour lui avoir appris a tenir aussi bien l'alcool que lui d'un coup elle cria



MERCI PAPAPAPAPAPAPAPAPAPA

Puis d'un coup elle se retrouva au sol sur sa nièce elle éclata de rire elle essayais de se relever mais finir par se remettre a crier


GRENATTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTT ON T AIMEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE MA CHéRIEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE

La brunette explosa de rire,mais continua a boire.

Marmi a écrit:Marmi marchait de travers c est sur et sa tante completement saoule la faisait rire. Elle tribuche sans le faire expres et se retrouva a terre avec sa tante sur elle.

Ro ben alors tatie il va falloir que je te porte comme une princesse c'est du jolie. Elle prit la bouteille de sa tante et en but une gorgée pour se motiver. Sa tante braillait et elle riait de la voir faire. Elle prit sa tante dans ses bras elles étaient presque arrivées.

Arrivée au lac elle vit sa tante grenat et s'approcha d'elle.


Ah bah te vlà tata cherie on s inquietait! Very Happy

Elle pose sa tante caly à terre completement saoule et s asseya à leur coté pour consoler grenat. Elle remarque alors que la lune est magnifique ce soir là.

Caly a écrit:Caly sourit quand elle fini par apercevoir sa soeur, sa nièce venais de la reposer et oui cette fois ci elle se retrouva pas toute les deux au sol.
La brunette avis bien bu mais voyais clair, elle retira la dague de sa soeur puis regarda le ciel avec elle et sa nièce.

Caly était rassurée de retrouver sa soeur entière, elle n'avais pas fais de bêtise irréparable et heureusement car elle était pas du tous en état pour soigner qui que se soie, elle posa un baisé sur la joue de sa soeur et lui dit


*hips* pardon je t'aime fort ma chérie fais pas de bêtise on est la nous puis pense a papa euh parrain
Il serais triste de savoir que tu est au coter d'aristote.....


La brunette regarda sa soeur puis sa niece.

Altaiir a écrit:Un air frais venant de l'ouest vint effleurer sa capuche blanche, le sortant un peu de ses pensées.
Ses yeux regardaient distraitement les ondes tracées par le vent à la surface du lac.
Perché sur un arbre penché un peu au-dessus de l'eau, dans une position la plus confortable possible, il était assis et adossé au tronc, un bras qui retenait sa tête et reposant sur une jambe pliée, l'autre suspendue dans le vide.

Puis, pour passer le temps, il fit tournoyer machinalement un couteau sur le bout de son doigt, regardant son oeil apparaitre et disparaitre dans le reflet de la lame, scintillant à chaque fois qu'elle devenait plate en effectuant les tours.

Mais il arrêta la lame qui s'était retrouvée en diagonale. Son oeil fut perturber par un point blanc minuscule qui grandissait lentement dans le petit paysage reflété sur la lame.
Peu à peu, il entendit un son à peine audible qui se rapprochait.
Maintenant, il reconnaissait le son qui n'était qu'en fait une respiration accélérée, ou plutôt l'essouflement d'une personne.

Ce n'est que lorsqu'il fut éblouit bizarrement en regardant sa lame, qu'il se décida à détourner lentement son regard vers sa gauche, et apercevoir une femme pas trop loin de son arbre, immobile devant l'eau, et tenant une lame, plus petite que celle d'une épée, probablement une dague qui aurait été la cause de son éblouissement.

Commençant à réaliser peu à peu la situation, il s'aperçut que la femme était blonde, et en se focalisant un peu plus sur l'image perçue par ses yeux, il reconnut sa protégée pendant qu'il rengainait son couteau.

Dès lors, il se laissa rapidement tomber de sa branche pour arriver accroupie sur ses bottes au sol sous la vitesse de la chute. Il se redressa immédiatement et alla jusqu'à elle pour vérifier de plus près si il s'agit bien d'elle, et de bloquer son bras dangereux qui tenait la dague.
Après l'avoir saisi, il lui dit doucement, ne voyant pas encore son visage :


C'est assez dangereux ce que vous tenez là...
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Message  Korydwen Jeu 27 Aoû - 16:18

Grenat a écrit:Toujours ces mots qui résonnaient, SI il meurt, je meurs.. Comment pouvait il dire cela, n'avait il aucun sentiment pour elle, ou l'aimait juste car elle portait l'enfant, ces questions lui taraudaient l'esprit. Mots cruel à entendre, mots blessants également, c'était comme si des poignards lui lacérait le coeur.

Etait ce lui qui avait parler ou bien sa colère ou la peur de savoir qu'elle avait faillit perdre l'enfant, peu importe en cet instant même ses idées sont brouiller, elle n'était pas objective, la colère et la déception avait prit le controle d'elle et de son esprit.

Son regard d'habitude si joyeux, illuminait, brillant, à présent n'était rien de tout cela. Dans ses mains une dague, pas n'importe laquelle celle que l'ex Duc de Redon lui avait donner pour la protégé, tandis qu'elle regardait cette lame, elle parlait tout bas.


Tatoo lorsque tu m'a donner cette dague, et que tu m'a dit de te l'enfoncer dans le coeur si j'envisageais de te quitter, je t'avais prit pour un fou mon cher..

Oui un fou qui était prés à mourir pour une femme.. Tu as été fou de m'aimer au point de vouloir mourir, je ne méritais pas cet amour, cet amour était fort et il nous a détruit et fait du mal..

Je t'avais dit que jamais je ne pourrais faire ce que tu me demandais car je t'aimais trop.. Nos chemins se sont séparer lorsque tu as préférais la politique à moi, là notre couple s'est briser..

A présent je comprend ce que tu as dit ce jour, pourquoi tu as prononcer ces paroles.. La mort libére des sentiments qu'on a et soulage de la souffrance, lors d'une rupture tu souffres.. La mort elle t'épargne cette souffrance...


Elle avait mal au coeur, une douleur comme jamais ressentit auparavent. Pourquoi avoir mal ainsi ? Pourquoi cet amour faisait il aussi mal? Etait il trop fort et fusionnel? Pourquoi réfléchir à cela maintenant, c'est à lui qu'elle aurait dû poser ces questions...

Perdu dans ce tourbillon de pensée, elle avait pas prit garde aux bruits de pas qui venaient dans sa direction, n'importe qui aurait pû l'approcher à l'instant et l'attaquer pour la détrousser surtout que la dague valait une certaine somme avec toutes ces pierres.

Une voix la sortit de ces pensées en sursaut c'était celle de sa nièce. Elle ne quitta pas la lame du regard, elle manquait de cran là pour faire ce qu'elle avait voulu faire. Une chose au fond d'elle lui disait de rien faire, son coeur saigner et avait mal elle voulait ne plus ressentir cette souffrance...

Elle écouta sans vraiment écouter, puis sa soeur arriva, apparement elle avait arroser sa soirée, en tant normal la jeune femme aurait fait la fête aussi mais le coeur y était pas, son coeur n'était plu en état de rien.


Oui je suis encore en vie, Aristote m'a donner une invitation et je me demande si c'est ce soir que je vais l'accepter ou non... Son regard évitant celui des deux jeunes femmes.

Elle ne dit rien quand on lui bloque le bras,la dague toujours dans ses mains, peut être était un signe lui disant que son heure n'était pas venu, peut être que Comte de la haut veillait sur elle et qu'il refaisait qu'elle le rejoigne maintenant car c'était trop tôt. Tout était possible.

Dangereux pas forcément tout dépend l'usage qu'on souhaite en faire..

Son regard quitta enfin la lame pour regarder cette main qui lui bloquer le bras, il remonta le long du bras puis se posa sur son visage à demi dissumuler par une capuche, pas de toute elle le connaissait, elle avait reconnu sa voix. Sa surprise était grand de le trouver ici, elle ne s'attendait pas à voir son protecteur là..

Altaiir a écrit:Voyant qu'elle le regarde, il peut enfin voir que c'est bien elle, puis tente de lui prendre doucement sa dague des mains.
Voulant la rassurer, il glisse une main dans don dos lentement pour la caresser de façon apesante.
Il lui esquissa un sourire puis rerprit :


En effet, tout dépend de quel usage tu souhaites en faire... et donc quelle est ton intention à l'égard de cette lame ?

Tenant à présent la dague dans son autre main, il était soulagé d'avoir éloigné le moindre danger qui entourait sa protégée.
Puis, retirant doucement sa main de son dos, il la lui tendit gentiment :


Tu veux marcher un peu en ma compagnie le long de ce lac pour me raconter un peu ton chagrin que je perçois aux traces de larmes sous tes yeux ?

Grenat a écrit:Elle le regarda prendre la lame, pas un mot, pas un geste pour la garder, étonnant en temps normal elle n'aurait laisser personne faire. Il la console, ses mots, elle les entend, que lui répondre, qu'elle est sotte de pleurer pour un homme? Que les paroles dîtes auparavent dans la soirée lui ont fait mal?

Lui mentir ne serait pas une solution non plus. Ne pas répondre serait bien plus simple, parler et se confier elle en avait pas envie, pas réellement du moins. Parler sa soulage il parait, dans son cas à elle ça avait l'effet de provoquer une fontaine, de plus dans son état elle était facillement émotive.


L'usage que je souhaite me défendre...

Elle s'accroupit, ses mains sur ses genoux, Le bruit de l'eau était tel un chant à ses oreilles, un chant apaisant. Elle regarda cette grande étendu qui s'offrait à elle, la lune reflétait son image dessus, elle posa ses doitgs à la surface de l'eau et resta ainsi quelques minutes.

La promenade pas pour le moment... Et mon chagrin ne doit pas t'inquiéter...

Elle ne voulait lui en parler, se faire plaindre et consoler très peut pour elle. Des fois fallait se taire, ces derniers temps elle gardait tout pour elle et ne parler pas.

Altaiir a écrit:En entendant ces quelques mots, il rabaissa lentement sa main puis s'assit à côté d'elle se demandant bien quelles sont ses pensées.
Après avoir observé un court moment l'environnement, il lui dit :


Je comprends si tu ne veux pas m'en parler... moi même tu me connais je ne parle de mes problèmes à personne, peut-être est-ce un tord mais bon, c'est comme ça.
Il y a des choses qui demande du temps à être confier, et saches que je m'inquiètes toujours pour ma protégée, mais ce n'est pas pour ça que c'est un mal. S'inquiéter est signe qu'on ne veut pas qu'il arrive quelque chose, et j'interviendrai à chaque fois que tu iras mal.
Tu ne m'en veux pas j'espère si je la garde ta dague un petit moment...
Et bien, si tu as envie de m'en parler avec le temps, tu arriveras facilement à me trouver.



Sur ces mots, il lui fit un bisou sur la joue après lui avoir caresser doucement le visage et lui essuyer le peu de larmes qui restaient.
Il se releva en mettant la dague coincée dans sa ceinture, puis marcha vers l'est en faisant sa promenade seul comme à son habitude.

Grenat a écrit:Il était prés d'elle, les paroles de son protecteur la fire sourire, en effet quand elle ne voulait rien dire, elle ne disait rien, quelle entêté des fois, et ça des fois on lui en faisait le reproche... Mais une chose était certaine fallait du temps et de la confiance pour pouvoir se confier facilement.

La confiance qu'était ce? Un peu comme beaucoup d'autres, elle avait cru en celui ci mais à mauvais escient, ne pas repenser à cela, sinon de nouveau elle pleurerait comme une fontaine, pourquoi était toujours dans ce genre de situation qu'elle n'avait pas de mouchoir sur elle, elle soupira.


Tu me connais aussi, en général j'en parle..elle se mordit la lèvre lorsqu'elle alla prononcer son nom mais ne le fit pas.

En effet certaines choses demandent du temps avant de pouvoir être dévoiler..T'inquiété pour moi? Tu ne devrais pas ce n'est pas ton rôle tu sais.. Elle le regarda brièvement, un petit sourire triste sur les lèvres.

Il parlait de garder la dague un moment cela ne l'a déranger pas, il pouvait le faire, après tout elle en avait pas besoin pour le moment...

En effet je sais te trouver si je la récupérer cette dague, que tu la garde un moment ça me dérange pas. C'était un cadeau..

Il lui essuya une larme, elle pensait qu'il n'y avait plus de traces de se chagrin, il avait l'oeil perçant pour l'avoir vu malgré la nuit et son chale qui les entouraient. Elle lui rendit sa bise, elle le suivit du regard lorsqu'il s'éloigna, où il partait elle en avait aucune idée.

Plus de dague à regarder, juste une étendu d'eau qui s'offrait à elle, paysage agréable, qui donnait de l'inspiration si on voulait écrire des poèmes faudrait qu'elle y repense à l'occasion, mais ce soir c'était pas l'inspiration qui était là c'était autre chose...

Hildegardesaintclair a écrit:Elles estaient arrivées au milieu de la nuit... sous un ciel clément qui laissait présager une fin de voyage des plus apaisantes. Hildegarde avant mené la danse, sa palomino l'emmenant à vive allure vers la ville de Montbrisson.

Les portes de la cités leur apparaissaient au loin lorsque Meyya vint se poster à costé de la jument de sa maistresse et lui indiqua de bifurquer, ce que la voluptueuse rouquine fit en un instant, confiante quant au choix de son ébène. Point de regrets quand elle déboucha devant le magnifique lac de la bourgade. Les rayons de la lune pleine se reflétaient sur la surface plane de l'étendue aqueuse.
Point de vent, sauf peut estre une petite brise qui de sa caresse créait de minuscules oscillations, si minces qu'elles estaient à peine perceptibles à l'oeil nu.


Au bord du lac de Montbrisson Meyya100
J'vous l'avio dit, k'cétio bio! Ya un meumeuh à Thiers qu'm'avio indiqué l'coin.

Dieu qu'elle détestait quand sa dame de compagnie parlait avec cest accent, mais il est des fois ou elle ne pouvait s'empescher de faire remonter le langage des tortionnaires qu'elle avait appris pour pouvoir communiquer avec les 'blancs'. Ses yeux azur se portèrent sur ceux de l'ébène, qui baissa la teste comme une enfant prise la main dans l'aumônière.

Vous avez eu une merveilleuse idée ma belle, nous allons installer le campement icelieu. Il fait bien trop doux pour se vautrer au creux d'une couche dans une auberge, profitons de ceste accalmie pour dormir à la belle étoile. Et puis.. Je pourrai ainsi vérifier si les cours de Géronte vous ont esté profitables... en me montrant les estoiles.

Les juments estaient occupées à se désaltérer au bord du lac pendant que les dames préparaient leur lit provisoire sur un tapis de mousse. Un linge, une couverture, quelques habits froissés pour soutenir le cou et quelques minutes plus tard elles savouraient la scintillante robe de Nout, dans les bras l'une de l'autre afin de se tenir chaud.

Meyya lui nomma les stellaires diamants qui ornaient l'onyx de la voute céleste, puis elles s'endormirent, fourbues de leur chevauchées, non sans s'estre offert un moment de tendresse. C'est que l'ébène tenait autant à sa maitresse que sa maitresse tenait à elle.

Hildegarde lui donnerait l'ordre de rentrer dans leur demeure burgienne sitôt arrivées à Mâcon, s'attendant à moult protestation de son exotique compagne. Il est des endroits où sa couleur de peau lui vaudrait peut-estre de se faire humilier,voire mesme occire, et la Veuve Saintclair préférait la savoir en sécurité. Sans compter qu'on viendrait la distraire, elle en estait persuadée.

Les premières lueurs du petit matin réveillèrent l'Opaline rouquine qui profita de cest instant pour rédiger une missive à son amie, en proie à l'indécision d'un homme qui l'aimait mais avait en mesme temps peur de ses sentiments...


Ma Douce,

Ces quelques palabres pour vous indiquer que nous sommes arrivées sans aucun dommage à Montbrisson. Le lac est d'une beauté éblouissante, et j'espère que vous prendrez le temps un jour d'y faire un arrest, si cela n'a point esté déjà fait.
Nous avons un jour de retard sur nostre horaire, car... vostre moelleuse rouquine s'est éveillée trop tard pour prendre la route...

Quoi qu'il en soit nous avons terminé nostre nuit à la belle étoile, pour seule lueur la beauté de la lune, enchantées de ce spectacle gaïesque, sans artifices aucuns.

Je vois que vous avez encore rencontré quelques visages du passé sur vostre route, et je crois que vous deviez voir vostre 'Noir' ceste soirée. Racontez moi vite les détails de ceste entrevue... Enfin ce qui est racontable évidemment. Il est certaines activités dont je ne veux rien entendre, bien que cela aurait pu estre fort distrayant à lire je vous l'accorde.

Demain... Lyon... Ou j'aurai peut-estre le plaisir de croiser vostre ami Phelim en taverne. Sait-on jamais, il pourrait s'estre enfui discrètement du castel.
Je devrais y retrouver la compagne de mon cousin et continuer mon chemin jusqu'à Mâcon en sa compagnie.

Prenez grand soin de vous...
Je vous embrasse tendrement
Hilde.

Une Palombe, un lien de cuir, et une goutte de jasmin pour laisser une petite trace de sa fragrance.

Meyya s'éveilla, et après avoir collationné c'est totalement nues, la peau offerte aux rayons du soleil qu'elles prirent toutes deux un bain dans l'eau fraische du lac, jouant à s'éclabousser comme des enfants, le corps nacré généreux et voluptueux de la gingeresque Hildegarde contrastant avec la finesse de la chair sombre de sa belle amazone.

Eccehomo a écrit:Angélo arriva auprès du lac après un petit tour dans le village qu'il connaissait bien. Il attendait Monsieur le Bourgmestre de Montbrisson son cher collègue et ami, pour une bonne journée de pêche, surtout de détente, chapeau de paille , soleil et bonne humeur.
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Message  Korydwen Jeu 27 Aoû - 16:19

Mallorick a écrit:Il arriva lui et tout son équipage au bord du lac. Il n'était pas vraiment différent de celui de Nevers. Le paysage y était toutefois plus vallonné, surement à cause du massif du Morvan. L'air était vivifiant en ce samedi matin. Il était tôt à vrai dire et il dormirait encore si une volaillère ne l'avait pas chassé de la place où elle installait son étal. Comment aurait-il pu savoir que le matin le marché s'installa là. D'un autre côté il aurait pu le deviner, était donné qu'il n'y avait qu'une place dans la cité !

Il la revoyait encore le poursuivant avec une dinde à la main et lui braillant des injures ! Il avait levé le poing dans sa direction ce qui avait calmé la belligérante environ une minute !!!

Voleur qui va me la payer ma dinde hein, maintenant que vous avez mis de la poussière dessus avec votre roulotte, les saltimbanques sont tous des voleurs !!!! AU VOLEURRRRRRRRRRRRR !


Il avait filé avant d'attirer la sénéchaussée et c'est pourquoi il chercha un coin tranquille au bord du lac !!!

Estainoise a écrit:Elle était arrivée ce matin là de bonne heure, à bord du carrosse noir tiré par quatre superbes frisons noirs à la longue crinière. Le voyage s’était bien passé même si toujours, Esta pensait au Pi qui se trouvait sur le toit dans son cercueil, au coté de celui de Cobolte. Ce pèlerinage raté, échoué en Languedoc, cette convalescence forcée à Mende, la naissance de son bébé mort né, Esta avait tout de même du mal à retrouver le sourire.

Esta descendit du carrosse, aussitôt arrivée dans ce village. Elle dit alors à ses amis qu’elle avait besoin de faire un tour et avec sa louve Dandy, elle décida de se faire une ballade au bord du lac. Elle avait besoin de se dégourdir les jambes et de retrouver, non pas le lac de Cosne, mais un lac où elle pourrait admirer de loin les pêcheurs, en espérant que Dandy ne trouble pas le calme des lieux en souhaitant prendre un petit bain, ce dont elle raffolait en général.

Esta marchait donc tranquillement, sa louve Dandy à ses cotés. Ca lui faisait du bien de faire ses longues marches seules. Elle faisait alors le point, essayait aussi d’évacuer ses idées parfois bien noires....

Là, un peu plus loin, au bord du lac, une roulotte aux couleurs chatoyantes était installée..... Un âne, à ses cotés, broutait l’herbe. Il ne semblait pas sinon y avoir âme qui vive.
Esta s’approcha doucement avec sa louve Dandy.

Hououuuu....y'a quelqu'un?

Mallorick a écrit:Il avait enfin trouvé un coin tranquille à l'écart des pêcheurs pour ne pas les déranger. Martin broutait tranquillement, Mallorick avait fini par découvrir ses besoins et lui avait installé un vieux sceau plein d'eau afin qu'il s'abreuve. A l'intérieur de la roulotte, il avait fait le grand ménage.

Les gitans qui l'avaient occupé y avait laissé un bric à brac effrayant. Il avait jeté l'inutile et réinstaller l'essentiel. En entrant il y avait une table et des bancs taillés pour ne pas trop encombrés l'espace. Puis en passant une porte en bois plein, se situait la chambrée avec un lit de bois sur lequel plusieurs épaisseurs de paillasse finissaient à le rendre confortable. C'est là qu'il se trouvait à rêver entre veille et sommeil quand il entendit appeler :

Hououuuu....y'a quelqu'un?

Il ouvrit grands les yeux et regarda le plafond fait de bois bien astiqué. Ca sentait bon la cire dans la roulotte et il aimait cette odeur. Jetant un coup d'oeil par la fenêtre, il apperçut une louve et fulmina.

- Arggg si Martin prends peur, je peux tirer la roulotte moi-même, qu'est-ce-que....

Il se leva d'un bond, échevelé, la chemise débraillée, ouvrit les portes à la volée et apparut sur les marches de sa maison roulante.

- Dites c'est à vous cette bestiole ?
dit-il d'un ton abrupt en montrant le loup, du moins sa direction !

Il cligna des yeux, le soleil rayonnant l'aveuglait, et il mit les mains en visière ! Et il découvrit : une femme !!!

C'est bien les bonnes femmes pour avoir de pareils animaux de compagnie, pensa-t-il. Mais il ne montra rien de son agacement et au contraire sourit à l'arrivante !

- Bonjour, je suis Mallorick, ne m'en veuillez pas de ma brusquerie, mais voyez-vous j'ai peur que mon âne ne s'affolle et vu son sale caractère, je risque d'avoir bien du mal à le retrouver !

Estainoise a écrit:La porte de la roulotte s’ouvrit brusquement et un homme, débraillé, en sortit visiblement agacé....

Esta se figea, sa louve tranquille à ses cotés ...mais aux aguets....

Pardonnez-moi messire, je ne veux vous déranger....
Je ne fais que passer....

Votre âne, oui, je l’ai vu c’est vrai.... mais il n’a pas l’air effrayé !

Oui, oui...cette bestiole est une louve et elle s'appelle Dandy

Moi, pour ma part, je m’appelle Esta....et c’est par curiosité que je me suis approchée de votre roulotte...
Vous savez comme les femmes sont curieuses !


Esta sourit doucement.

Esta observe un instant cet homme qui sourit aussi et qui est plutôt bel homme, il faut bien en convenir.....

Mallorick a écrit:Visiblement il l'avait effrayé ! Elle bafouillait, tentait de s'expliquer et finalement se présenta. Il la regarda puis glissa le regard sur son corps, il aimait les femmes et celle-ci était belle. Puis il détailla la louve, ça par contre il n'aimait pas ! Pourtant à part un coup d'oeil rapide et froid sur la bête, il n'en montra rien !

Il se passa une main dans les cheveux et reboutonna sa chemise. Les femmes étaient curieuses ça il le savait mieux que quiconque, et il s'approcha alors doucement d'elle, en espèrant que la louve ne l'attaque pas !

- Bienvenu dans mon modeste campement, Dame Era, vous voulez quelque chose à boire, de l'eau fraiche peut-être j'en ai tiré du puit il y a peu ! Si ça vous tente !


Lui ce qui le tenterait c'était bien autre chose qu'une timbale d'eau, mais il était galant, il ne put s'empêcher d'offrir un peu d'hospitalité. Que faisait-elle, là toute seule, à la merci de n'importe quel brigand venu ?

Mallorick a écrit:La donzelle avait bu, puis était repartie, lui laissant un doux sourire et des effluves d'un parfum délicat ! Ainsi passaient les femmes, comme un songe, un rêve volé...

Lui il lui aurait bien volé un baiser, mais sa louve l'en dissuada. Etre dévoré pour un loup à Montbrisson ne faisait pas parti de ses projets !!!

Peu après son départ, il décida d'aller en ville, de prendre l'ambiance en taverne, l'odeur de la rotisserie qu'il sentait en sillonnant les rues l'attira.

Affamé il l'était et pas seulement de nourriture ! Il s'absenta donc une bonne partie de la journée. A son retour, il était morose, déçu, la ville semblait en proie à une querelle intestine qu'il ne comprennait pas et ne voulait pas comprendre et Dieu savait qu'il avait horreur des histoires...

Alors il déplia sa carte et chercha une nouvelle ville d'asile, puis se ravisa !Autant attendre son frère Sar et décider ensemble !

Le coin était joli, alors il sortit sa canne à pêche et partit taquinet le poisson !

Cerridwen_ a écrit:Cerridwen, toute guillerette, comme à son habitude décida de prendre quelques jours de repos, elle l'avait bien mérité après ces mois ce travail acharné pour pouvoir se payer le champ dont elle rêvait tant.

Une de ses amies, Arthefax, lui avait conseillé un petit coin sympa ou personne ne pouvait venir la déranger, et où elle pourrait enfin se reposer quelques heures, loin de toute civilisation. Elle suivit donc le chemin que son amie lui avait indiqué, puis elle tomba sur un endroit tout à fait merveilleux, bercé par le champ des oiseaux. Elle avança doucement vers le bord de l'eau, s'arrêta pour enlever ses chaussures, remonta sa houppelande jusqu'aux genoux puis alla tremper ses pieds dans ce beau lac. Elle avança de plus en plus, puis s'arrêta lorsque l'eau avait immergé ses mollets, se retourna puis scrutta l'horizon, appréciant le paysage.

Tout a coup, elle vit un homme pas très loin d'elle en train de pêcher, tranquillement dans son coin, alors elle se dit de ne pas faire de bruits pour ne pas le déranger, et surtout pour ne pas se faire remarquer...Elle pensa que cet homme là était venu ici pour la même raison qu'elle alors elle continua de barbotter dans l'eau, essayant de ne pas faire gicler de l'eau, ce qui pourrait déranger l'homme.

Ana1 a écrit:Ana était arrivée il y a peu à Monbrisson. Elle trouvait la ville charmante mais se sentait tout de même bien seule. Il est vrai qu'elle était assez secrète, qu'elle ne parlait pas beaucoup et pourtant, elle avait envie de se faire des amis.

Il faisait beau ce matin et elle décida de faire un tour au bord du lac. Vêtue seulement de ses haillons, elle s'avança au bord de l'eau, tout doucement. Celle-ci l'attirait, elle n'aurait su dire pourquoi.... Elle se disait que pour tout oublier, il fallait peut être y rentrer complètement et se laissait emporter par cette onde limpide.... Elle s'installa sur l'herbe, le regard triste, perdue dans ses pensées.... Aux alentours, personne, personne à qui parler, pas une âme qui vive. Elle s'allongea sur l'herbe tendre, ferma les yeux et sentit le vent l'effleurer doucement. Elle écouta le chant des oiseaux, le clapotis de l'eau sur le bord et se sentit apaisée.

Si le temps pouvait s'arrêter là, maintenant.......

Mallorick a écrit:La pêche n'était pas son fort, autant dire même qu'il n'était carrément pas doué ! Comme à son accoutumé il avait fallu qu'il se mette sous un arbre !
Pourquoi ? Pour de l'ombre ? Pour pouvoir s'adosser au tronc ? Pour avoir le plaisir d'aller rechercher son hameçon de fortune, fiché dans une branche ?

Oui sûrement pour cette raison ! Lui filleul de la Capitaine de Nevers, pêcheuse au combien émérite et devant l'éternel aussi, il fallait bien le dire, était nul pour sortir un poisson de l'eau !

Pourtant il s’en sortait bien ce jour-là, oui vraiment bien, si l’on considère que bien veut dire que son bouchon de bois flottait paisiblement sur l’onde et qu’il ne s’était pas encore emmêlé dans une branche. Mais ça ne dura pas !

Pourquoi fallut-il qu’une splendide créature trempe ses mollets dans l’eau fraîche non loin de lui ! Lorsqu’il tourna la tête et qu’il la vit, son instinct de pêcheur ou plutôt de chasseur prit le dessus. Il sortit alors sa canne de l’eau et la relança ! Etait-ce pour signaler sa présence ? Pour se faire remarquer ? Ou était-ce simplement un geste fait pour inattention ?

Toujours est-il que le morceau de fer recourbé qui lui servait d’hameçon alla se planter dans la branche qui s’étendait au dessus du lac. Il tira un peu et le mince fil lâcha :

- Maudite canne à pêche maugréa-t-il en levant la tête pour constater les dégâts ! La marraine m’a refilé vraiment n’importe quoi !

Il posa ce qui lui restait dans la main à terre et regarda l’arbre ! C’était aisé de grimper là-haut et de récupérer son fil ! Alors il commença son escalade ! Rien de plus facile pour lui qui avait vécu la quasi partie de sa vie en forêt ! Arrivé à l’intersection du tronc et de la branche qu’il considérait fautive, il bifurqua. Oui mais voilà Mallorick n’était plus un enfant, et même si son corps était svelte, il était tout de même trop lourd pour le support. Il avançait marcha de biais à demi courbé quand il entendit un terrible craquement ! Heureusement qu’il était déjà presque au dessus de l’eau ! D’un sursaut de conservation de vie, il se détendit comme un ressort et prit son envol dans un plongeon très.... catastrophique !

Bras faisant des moulinets, jambe faisant le ciseau, en poussant un hooooooooooooooo ! Pitoyable, on entendit alors un énorme plouf et des éclaboussures giclèrent au large.

Cerridwen_ a écrit:Cerridwen commençait a vraiment apprécier cet endroit merveilleux et reposant. L'onde était claire et limpide, vraiment parfaite! Elle faisait de petits cercles dans l'eau puis regarda comment l'eau se propageait en souriant.

Au bout de quelques minutes, elle entendit un craquement suivi d'un "PLOUF" , elle se retourna alors brusquement puis vit la branche de l'arbre où était adossé le sieur à moitié cassée puis le sieur en question dans l'eau. Elle mit du temps à réaliser qu'il avait surement dû tomber de cette branche cassée et finit dans l'eau. Elle se mit donc à courir vers l'homme pour voir s'il n'avait rien de cassé. Elle arriva au près de lui.


Monsieur! Vous allez bien? Vous ne vous êtes pas fait mal? Venez que je vous sorte de l'eau!

Elle lui tendit la main pour l'aider a se relever, l'entraina vers le rivage puis l'aida à s'assoir.

Voilà, comment vous sentez-vous? Vous ressentez une douleur particulière?

Elle regarda sa tête pour voir s'il n'y avait pas de bosse apparente puis attendit sa réponse.
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Message  Korydwen Jeu 27 Aoû - 16:22

Ana1 a écrit:Ana aimait se promener au bord du lac. Elle y trouvait le calme et la plénitude. Elle avait le temps de penser à sa vie, à son avenir normalement mais là elle pensait à ce que Kristel lui avait révélé. Elle avait deux soeurs qu'elle ne connaissait pas et cela l'avait étonnée.

Elle qui s'imaginait seule au monde, se retrouvait désormais dans une famille, une vraie.

Une belle rencontre en taverne, des sourires, des mots agréables, enfin un homme qui s'occupait d'elle vraiment, comme elle le désirait. Laisser le temps au temps, ne pas se presser surtout. Peur de se faire des illusions, peur que ne soit qu'un rêve.....

Toutes ses pensées lui traversaient l'esprit mais un petit sourire illuminait ses lèvres......

Vendal a écrit:Vendal en avait marre de sa vieille bicoque, le soleil venait de disparaitre derrière la cime des arbres, mais l'air frais ne s'était pas encore installé..
Il vagabondait près du lac, le retour à la nature, il n'y a que ça d'vrai pour réfléchir..

Allait il rester dans cette ville?
Les rencontres à la taverne l'avait mis de bonne humeur, il y avait fait la connaissance de plusieurs personnes dont la future mairesse, une personne qui ne se laisserait pas abattre par ses responsabilités, ça c'est sur.Et d'autres qui aimaient la vie et qui la vivaient pleinement..

Il scruta l'horizon, l'eau plate, calme..cela lui rappelait des choses..que de souvenirs..il revoyait une femme, blonde, se baigner malgré la fraicheur printanière..l'eau ruisselante sur sa longue chevelure..Il sourit, le regard vague, les pensées se perdant dans les sombres nuages de la nuit..

Qu'allait il faire ici? Le bien ou le mal?
Cela allait dépendre de ses rencontres..de l'accueil..

Il s'assit, voyant à une trentaine de pas de là une femme errant, tout comme lui, au bord du lac..Elle avait l'air heureuse..et pour cela il la laissa dans sa solitude souhaitée..
Il croisa ses bras derrière la tête et s'allongea, contemplant le ciel nuageux parsemé d'étoiles..

Il allait mieux dormir ici que dans sa " demeure"..

Aellfall a écrit:La jeune femme se baladait au bord du lac quelque peu perdue dans ses pensées. Elle ramassa un bout de bois qu'elle laisse trainer a même la terre et l'herbe regardant sans regarder les traces laisser par celui-ci. Elle vit plus loin des personnes...tourne doucement sur sa gauche pour se rendre au plus près de l'eau et regarde le lac...eau tranquille seul quelques ondulations faites par le léger souffle du vent et les remous des poissons vivace...elle s'assoie ôtes bottes et bas puis se dirige dans l'eau levant doucement sa houppelande évitant de la mouillée. Toujours les yeux au loin elle décide de s'installer là et recule un peu, elle s'assoie dans l'herbe en laissant ses pieds dans l'eau fraiche.

Le bâton dans la main elle le prend et le casse machinalement en petits morceaux qu'elle lance dans l'eau un a un attendant que les petites vaguelettes s'estompent avant de lancer un autre petit bout de bois.

Aellfall se relève doucement puis retourne ramasser ses bas qu'elle met dans ses bottes, elle les attachent entre elles et marche pieds nues en chantonnant.

La jeune femme fait un petit bout de chemin puis s'arrête a hauteur d'une personne étendu dans l'herbe marque une petite hésitation puis se dirige vers le villageois rencontré plus tôt dans la journée un petit sourire aux lèvres.

Bien le bonsoir, je vois que vous avez trouvé un coin tranquille...je peux me joindre a vous ?

Elle fit une grimace se trouvant sans gène d'un coup puis se reprit.

Si vous voulez de la compagnie bien entendu, sinon je vous laisse en paix.

Elle fini ses mots sur un sourire et attend sagement tout en le regardant là tranquille.

Vendal a écrit:Vendal fermait les yeux, il savourait le moment présent..ni trop chaud, ni trop froid..après une dure journée de labeur, rien de tel que de se détendre dans l'herbe douce au bord d'un lac parcourue d'une légère brise..

Il entendit le léger pas d'une femme dans l'herbe, s'approchant de lui..Il reconnu la voix de Aellfall, qu'il avait rencontré plus tôt dans la journée dans une taverne.
Il se redressa sur les coudes et la regarda, l'invitant d'un signe de tête près de lui.


Venez venez, de la compagnie ne me fera pas de mal, et puis une femme ayant une descente telle que la votre m'impressionne, je ne pourrais vous refuser cette place..

Il ne pu s'empêcher de rire, la fatigue le rendait hilare!


Alors, vous préférez aussi la tiédeur des bords du lac à la chaleur d'une maison?Enfin occasionnellement..

Aellfall a écrit:La jeune femme s'installa dans l'herbe près de Vandal après y avoir été invité, l'écoutant amusée.

Merci bien, pour la descente j'avais un peu soif sans doute a force de parler...je constate que le grand air vous fait du bien.

Assise les yeux rivés sur l'étendu d'eau elle tourne la tête et le regarde, puis s'allonge dans l'herbe rendu fraiche a cette heure tardive.

J'aime beaucoup cette endroit, on y est bien et oui je prefere la tiedeur du lac.De plus contrairement aux idées reçus c'est confortable tant que l'on s'y sent bien.
Alors dites moi, ce tour du village vous a plu ?

Malwyn a écrit:Malwyn se rendit au lac...La route avait été poussiéreuse et il avait besoin d'un brin de toilette avant de se rendre en taverne...bah oui quoi je vais pas venir tout sale pfff...fin bref...Il retira sa chemise, laissant apparaitre l'énorme dragon rouge tatoué dans son dos...Il se pencha vers l'eau et se lava le visage...voilà qui était un peu mieux...l'eau était douce...Malwyn retira ses vêtements et les posa sur une branche...et plongea tête la première dans le lac...un sourire s'afficha sur son visage...ça fait du bien, pensa t il...il fit quelques brasses profitant de la douceur de l'eau...

Ana1 a écrit:Ana, toujours au bord de l'eau, regarda amusée le jeune Messire en train de se baigner. Elle pensa que certains s'amusaient comme des petits fous !!!!! Elle qui aimait la vie était heureuse de voir de jeunes gens barboter comme des enfants.....

Malwyn a écrit:Malwyn aperçut la jeune femme sur le rivage...il la salua et nagea dans sa direction...Il resta dans l'eau...(bah oui l'est tout nu rhooo)

Bonjour dame...belle journée pour la baignade...

Il regarda ses affaire un peu plus loin et nagea jusqu'à elle...Il sortit de l'eau et attrapa de quoi se sécher...renfila ses braies et retourna près de la dame...

Et bien je vous laisse admirer la vue, jolie dame...

Malwyn grimpa sur son cheval et fila vers la ville...

Ana1 a écrit:Ana ne s'était pas aperçue que le Messire était nu et lorsqu'elle le vit sortir de l'eau elle ferma aussitôt les yeux. Elle attendit qu'il se rhabille puis lorsqu'elle l'entendit lui adresser la parole elle les ouvrit à nouveau pour lui répondre :

Messire, je n'admire pas la vue, comme vous dites, enfin.... pas la votre, juste la vue du lac......

Elle attendit qu'il remonte à cheval et s'en aille pour se dévêtir et aller se baigner à son tour, regardant de tous côtés si personne ne la voyait....

Ana1 a écrit:Elle avançait, de plus en plus loin du rivage, laissant l'eau engloutir son corps. Personne à l'horizon, jamais personne d'ailleurs. Se laisser emporter, se laisser submerger par toute cette eau, ne penser à rien, et avancer, avancer jusqu'à ce que ses pieds ne touche plus le fond........

Rackam a écrit:Le grand cheval bai était couvert d'écume après cette course folle dans la campagne et sur les collines odorantes,

Rac le fit avancer au bord de l'eau jusqu'à mi jambes, et il reste ainsi, a contempler l'immensité du lac qui clapotait doucement, pas de vent, juste une légère brise qui soulevait quelques risées, un vol de canard sauvages se pose au prés, un brochet gobe une libellule imprudente.

Son regard est attiré par des remous sur sa droite a quelque centaines de mètres, il fait faire volte face a "Sol" et s'approche intrigué.................

Il distingue vaguement comme des algues flottant a la surface, des algues ??,,, non , une chevelure brune ..................

Il s'approche plus vite......

"Hela tout va bien ??? Avez vous besoin d'aide ???

La jeune femme ne semble pas se débattre , donc soit elle est épuisée et inconsciente , soit c'est volontaires !!!!!
Ces réflexions lui traversent l' esprit tandis qu'il pousse "Sol " a entrer plus avant dans l'onde.....

Ana1 a écrit:Ana entendit le bruit des sabots d'un cheval et se retourna. Les yeux dans le vague elle distingua l'homme qui avançait vers elle et qui lui parlait. Elle s'arrêta un instant et lui dit :

Passez votre chemin Messire, ne vous occupez pas de moi, ça n'en vaut pas la peine.....

Puis elle se retourna et continua d'avancer dans l'eau.

Rackam a écrit:Rac n'avait pas pour habitude de se mêler de ce qui ne le regardai pas.

Si la Dame désirait en finir libre a elle, elle devait avoir de bonnes raisons pour cela, et par expérience il savait qu'intervenir dans ce qui devait être une affaire de cœur, n'était pas toujours bien perçu.

aussi il se contente de faire avancer "sol" et de lancer une corde a proximité de la jeune femme.


Passez votre chemin Messire, ne vous occupez pas de moi, ça n'en vaut pas la peine.....

" rien ne vaut la vie tout s'arrange avec le temps, revenez !!!!!!!!!!"
je n'ai pas l'intention de me jeter a l'eau pour une jeune écervelée"


Il sent une hésitation dans le ton de la jeune femme, je vais quand me^me pas la laisser se noyer !!!!!!!

Ana1 a écrit:Ana se retourna quand elle entendit le mot "écervelée". Elle ne savait plus ou elle en était et se dit qu'effectivement la vie était bien plus importante que tout le reste mais quelle vie s'ouvrait devant elle ?

Les peines de coeurs qu'elle avait eu ne pouvaient que la rendre plus forte mais elle avait peur de changer aussi, de devenir assez dur, notamment avec la gente masculine.

Elle s'avança vers lui, ses yeux le dévisageant puis soupira. Elle regarda le cheval, le caressa doucement puis leva encore les yeux vers le Messire.

Je suppose que vous désirez que je vous remercie Messire, cela vous donnera certainement bonne conscience, alors merci à vous !!!! Vous avez raison, rien ne vaut la vie, tout s'arrange avec le temps, alors le temps je vais le prendre, d'ailleurs, je vais de ce pas me faire sécher au soleil avant d'aller me saoûler en taverne. Ca ne vous dis pas de m'accompagner je suppose ? vous avez certainement mieux à faire et vous auriez bien raison.....

Elle fit un léger petit sourire et sortit rapidement du lac pour aller s'étendre sous un grand saule.

Rackam a écrit:

Je suppose que vous désirez que je vous remercie Messire, cela vous donnera certainement bonne conscience, alors merci à vous !!!!

"Je n'ai que faire de vos remerciements, j'agis comme tout honnête homme le ferait, quand a se saouler ensemble pourquoi pas ?
La perspective de la mort est la plus sûre raison de savourer chaque instant de la vie"


Il lui tendit la main pour qu'elle saute en croupe et piqua des deux.........
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Message  Korydwen Jeu 27 Aoû - 16:24

Vendal a écrit:Vendal se rallongea a son tour, les bras croisés derrière la tête, les yeux rivés sur les nuages, éclairés par la lune..

Le village me plait bien, on y fait des rencontres intéressantes..je ne sais pas quoi faire par contre..mais bon, je trouverais. Dit il en souriant.

Il se tortilla légèrement sur l'herbe puis étira ses bras devenus engourdis..
C'est vrai que l'on se sent bien ici..on se détend facilement, la vue est vraiment belle, et puis quand on est accompagné c'est encore mieux..

Alors, madame le maire, il est où messire le mari d'la bourgmestre?


Vendal retrouvait des formes d'animaux dans les nuages passant devant lui..portés par le vent.

Tiens, il ressemble à un mouton celui la. Dit il en pointant son doigt vers le dit " mouton " et en penchant la tête..

Aellfall a écrit:la jeune femme écoutait bien sagement vendal et regardait le ciel a la recherche du mouton fixant bien le nuage qu'il pointe du doigt.

Non je n'ai pas de mari et je vous en prie appelez moi donc Aell...le madame le maire je trouve ça...euh...comment dire...pas mon truc quoi...et puis je ne suis pas dans mon bureau ici donc voilà...

Elle affichait un petit sourire et observait attentivement le nuage puis trouva le mouton.

Je vois le mouton...mais dites donc c'est que ça donnerait presque faim...avez vous déjà manger ?

Aellfall detourna le regard des nuages pour l'observer.
La nuit pointait le bout de son nez et la fraicheur se faisait plus présente, agréable en ses jours chaud.

Vendal a écrit:Il pencha la tête vers elle, il ne 'sen était pas rendu compte, mais à force de manger du pain..et pas tous les jours..lui avait creusé le ventre..
Mais il n'avait rien à manger..pas même un bébé à se mettre sous la dent..arf..

C'ets vrai que ça donne faim! Mais non..je n'ai pas mangé, enfin plus par obligation que par choix, et l'herbe n'est pas mon truc, j'attends ma paye de demain..Vous n'êtes quand même pas venue sans manger..?

Et d'ailleurs, vous allez rentrer chez vous plus tard..?


Il la regarda, belle dame qu'est Aell.. mais timide qu'est Vendal..Il n'avait plus l'habitude d'être seul avec une femme, il ne savait quoi faire, que dire, observer..

Il sentait les brins d'herbes lui chatouiller les pieds sous le léger souffle du vent.. cette fraicheur calmait ses muscles endoloris par le travail agricole..
Il avait perdu l'habitude de ce train de vie..il espérait ne pas le continuer longtemps, mais sait qu'il le faut..tout le monde passe par la..

Aellfall a écrit:Toujour a l'observé, elle sourit doucement a ces propos l'imagiant manger de l'herbe...non se retient de rire pour ne pas dire l'ânnerie a laquelle elle pense et respire un bon coup avant de parler pour ne pas laisser le rire contenue de sortir.

Ah non je n'ai encore pas manger ce soir si vous voulez partager mon repas ce sera avec plaisir et puis celà vous changera du pain...je ne vais pas tarder a rentrer oui je pense que la balade a asser durée bien que très interressante pour une fois...

Elle le regarde, esquissant un petit sourire...

Promis pas d'herbe au menu les vaches du coin ne seraient pas contente il me semble et juste du pain pour accompagné le repas.

Elle se redressa sur ses coudes pensant qu'il valait mieux partir avant que l'humidité ne trempe sa robe ce serait là beaucoup plus dur de se relever et puis pas très confortable non plus...pas envie d'être malade et en sa compagnie pas moyen de longer les haies la robe au bras...enfin bref aller hop debout et en avant...elle s'assie dans l'herbe finalement et lui sourit franchement.

Alors vous venez avec moi ?

Vendal a écrit:Vendal en avait l'eau à la bouche..partager un bon repas..chaud..avec elle..que demander de plus? Que le temps file moins vite..
Il rit à sa remarque, les vaches seraient jalouses..manger leur herbe serait une erreur à ne pas commettre.. c'est que certaines avaient de belles cornes.. à quoi ressemblerait son derrière?? Oulala..L'imaginer l'aurait fait partir dans un fou rire..

Il se redressa à son tour, assit près d'elle, il pouvait ressentir la chaleur humaine émaner d'Ael.. il savourait ce contraste entre cette fraicheur d'un soir d'été et ce qu'il ressentait..
Ce genre de moment était précieux et devait être gravé dans la mémoire..ce moment paisible..ce début d'histoire..

Lorsqu'elle lui sourit et lui proposa de la suivre, il ne pouvait qu'accepter, et c'est ce qu'il désirait ardemment!

Avec plaisir! Je vous suis.. Dit il accompagner d'un sourire autre qu'amical..
Il se releva et tendit une main vers la belle brune, pour une fois qu'il n'était pas ivre, il lui fallait être noble..

Aellfall a écrit:Aellfall se mit a rire avec le jeune homme dont le fou rire était communicatif...un peu de bon temps partager au bord du lac avais rendu la jeune femme plus détendue qu'a son habitude baissant sa garde de part là même trouvant sa compagnie très agréable.

Elle ne pu cachée un sourire de satisfaction quand il accepta de la suivre et de partager son repas...sans doute mieux pour lui puis cela permettrais aux jeunes gens de se connaître mieux...elle ne pensait qu'a ça en cet instant se trouvant bien là près de lui, voulant prolonger la conversation. Elle accepta sa main et son aide pour se relevé.

Je vous remercie c'est gentil...elle défroissa sa robe et le regardant là devant elle...bien allons-y avant qu'il ne fasse trop sombre...elle détourna le regard puis fit demi tour pour le conduire chez elle.

Naudeas a écrit:Elle regarda à gauche puis à droite dans la ville, elle chercha un nom sur la douane, rien la personne était bien absente, quelle tristesse, elle se ferait une joie de la revoir. Elle esquissa un sourire, jamais elle n'avait passé autant de temps à Montbrisson, la elle s'apprêtait à y rester une quinzaine de jours, la verrait-elle, normalement oui mais quand reviendrait-elle ? Pourquoi cette personne l'attirait comme ca.

Hmm Naud n'aimait guère ce genre de trouble, elle était venue la pour travailler encore et toujours travailler. Après plus de charges, ni de responsabilités à assumer, elle donnerait la clé de son bureau et repartirait à l'aventure à moins que cette personne se décide à tenter quelquechose, elle ne dirait pas non. Ses songes la conduire donc près du lac de Montbrisson. Le matin était légèrement frais par la brise et ensoleillée, voila qui risquait encore d'être une journée agréable.

La prévote se décida au bain matinal, elle aimait la sensation de bien être que cela pouvait faire ressentir. Elle se débarrassa de ses armes, pendues à une branche, peina à dénouer les nœuds de son bustier, comme quoi il fallait toujours une femme de main à disposition, au bout d'un certains acharnement, elle réussit, la robe et les chausse. Elle se dirigea dans l'eau, fraiche mais agréable au contact de sa peau nue. Elle frissonna sa peau chaude contre l'eau froide, réaction habituelle mais amusante qui la fit sourire. Elle avança davantage au moins pour cacher sa nudité aux badauds qui passaient dans le coin. Elle regarda ce qui l'entourait rien ou peu de personnes.

Elle s'avança davantage dans le lit, la température devenait agréable. Elle se laissa aller à ses envies, réfléchissant sur les faits qu'elle devrait accomplir. Prendre les gardes, monter le dossier, houla que du boulot, et le plaisir dans tout ça, ça elle avait oublié depuis quelques temps à quoi ca correspondait. Deux soirées arrosées tout au plus mais rien de bien folichon. Après cet entretien auprès du Duc Saint Nectaire, allait il aboutir, elle souhaitait vraiment son aide, elle en avait besoin.

Elle resta la quelques temps à réfléchir à barboter dans l'eau, un soupir d'aise qui s'envola en soupir d'obligation. Elle se leva de l'eau et avança près de la rive, s'enroula dans sa cape, s'assit près du bord, l'eau venant lui chatouillait les orteils.

Elle se perdit dans la contemplation du spectacle qui s'offrait à elle, le bruit d'un léger suintement de l'eau, le bruit du vent dans les feuilles, un poisson qui sautait de temps à autre. Le chant des oiseaux, heureux de voir le jour ensoleillé..Des choses simples de la vie qu'elle aimait tant..

Dany06 a écrit:Après avoir franchi la porte de la ville et hésité entre rester sur place ou aller en taverne, se rappelant que la poussière du chemin lui collait à la peau et qu’à Montbrisson il y avait un lac, Dany partit d’un bon pas dans sa direction.
Elle longea la rive. Elle finit par trouver ce qu’elle cherchait, un endroit où il était facile de rentrer dans l’eau et abrité des regards des promeneurs.
Elle se déshabilla rapidement, lançant des regards autour d’elle espérant que personne ne viendrait la déranger.
Elle avança dans l’eau qui au bord était chaude, et fit quelques brassées allant vers les endroits plus profonds. Elle frissonna, l’eau était beaucoup plus fraîche.
Mais, après les craintes de la nuit, elle sentait la tension partir. Elle eu une pensée amusée pour ce garnement de Zed qui lui avait appris à nager à Toulouse même si elle avait failli mourir noyée ce jour la.
Elle ressortit de l’eau surveillant les abords et voyant sa braie, qui de blanche était devenue grise, elle la trempa dans l’eau, frottant énergiquement.
Elle s’assit un peu à l’ombre étalant le vêtement en plein soleil.
Elle ne voulait pas revoir son vieil jeune ami l’aspirant, sans être présentable.
Elle sortit un peigne aux grosses dents et démêla ses longs cheveux blonds en grimaçant.
Aie ! ça tirait, ça faisait mal !
Elle essaya de voir son reflet dans l’eau mais avec les vaguelettes, elle y renonça.
Elle finit par s’allonger s’étant rhabillée, la braie séchant mais celle la, elle ne la portait que rarement.
Elle ferma les yeux, écoutant le chant des oiseaux, bercée par le bruit de l’eau et poussa un long soupir de satisfaction.
Il faisait bon de vivre, il faisait bon de ne penser qu’à l’instant présent, il faisait bon de se sentir bien dans son corps.

Tigelius a écrit:Tigelius avait fini par retrouver Dany. Plutôt que de s'essoufler dans les rues de Montbrisson, il aurait bien dû penser à chercher directement dans les tavernes, connaissant les penchants de son amie. Enfin, peu importe, il l'avait trouvée, elle était rassurée, et elle était rayonnante. Que vouloir de plus en ce bas monde...

Après avoir passé quelques heures en taverne et fait quelques connaissances, Tigelius est parvenu à la convaincre de faire quelques pas au bord du lac même si elle s'y était déjà rendue ce matin. Ils ont fini par convenir de rester un jour au moins à Montbrisson et de rendre visite à leur amie en son Domaine de Farges.

Faisant agréablement le chemin depuis la sympathique Taverne de l'Antre des Folies, main dans la main, ils marchent sans se parler, goûtant le moment présent. Bien-sûr, il ne sont qu'amis, mais ce moment infiniment tendre bouleverse Tigelius. Il préfère ne rien dire, comme pour conjurer un bien vilain sort, car il n'est plus sûr de rien...

Le soleil a entrepris depuis quelques heures déjà de se coucher. Le lac brille de mille reflets argentés et Tigelius semble perdu dans ses pensées...

Dany06 a écrit:Après avoir retrouvé sa fraîcheur, Dany était allée en taverne où, comme elle le pensait, son amie Tig était attablé devant une bière.
Il l’avait serrée dans ses bras quand il l’avait vu et elle en avait été bouleversée.
Ils avaient essayer de cacher l’émotion qu’ils avaient ressentie l’un comme l’autre en se revoyant et il avait fini par la convaincre de le suivre sur le bord du lac.

L’air y serait moins chaud que dans la ville et marcher à coté de Tig, sa main dans la sienne, la rendait heureuse, même fière.
Elle accorda son pas sur le sien et le silence qui s’était fait entre eux était plein de complicité.
Elle n’osait pas parler, sentant qu’il ne fallait pas troubler ce moment.

Elle l’emmena vers l’endroit tranquille où le matin elle s’était baignée.
Il avança jusqu’au bord de l’eau resta sans bouger à regarder au loin.

Elle sortit un chiffon de sa besace, l’étendit par terre et s’assit le regardant rêver.
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Message  Korydwen Jeu 27 Aoû - 16:28

Tigelius a écrit:[rp]Il était au bord de l'eau et il regardait l'horizon, cette ligne indéfinissable où se marient les eaux du lac et le bleu des cieux. Que de choses dans sa tête, des noms, des visages, des histoires... Le voile qu'il a sur les yeux depuis de nombreuses semaines semble vouloir s'estomper et avec lui disparaît ce visage qu'il aurait tant voulu retenir. La douleur est toujours là, présente, lancinante, mais lentement elle s'installe dans l'écrin des souvenirs.

Une légère brise et le froissement d'un tissu le sortent de ses pensées. Il se retourne, regarde Dany, s'en veut d'être plus distant qu'elle ne le souhaite peut-être. Elle est magnifique, tellement gentille et compréhensive et surtout, elle respecte son chagrin et ses longs silences. Il s'asseoit à côté d'elle, reprend sa main, la caresse du pouce, d'un geste faussement machinal et pose sa tête sur son épaule, l'espace d'un instant.

Se redressant, il pose un doux baiser sur sa joue, contemple ses joues qui rosissent à vue d'oeil d'un regard amusé et l'invite à se relever. Il l'aide à replier son carré de tissu et à le ranger dans sa besace. Tout en douceur, il passe une main autour de sa taille, espérant ne pas la brusquer et lui murmure :


"Venez Dany, prenons la route pour le domaine de Farges, Naudéas nous attend."

Marchant à leur aise, ils longent le lac et prennent la route du Domaine, non loin de Montbrisson. Sans doute sont-ils attendus à Polignac mais il est tout aussi certain que ces quelques heures passées loin de tout leur feront le plus grand bien.[/rp]

Shel_ezeil a écrit:[rp]Shel était harassé, le voyage de nuit avait paru long cette fois-ci. Malgré ses obligation militaires, il avait besoin de se détendre les muscles endoloris par l’inactivité. Arrivé à Montbrisson, il déposa sa filleule qui s’était précipité avec une joie retrouvé de rejoindre la maison qu’elle avait laissé de cela quelques semaines.

Profitant d’un peu de temps avant de reprendre du service, il se décida à aller se prélasser. Il aurait pu profiter de son petit trésor chez soi, une baignoire en cuivre, héritage de sa vieille tante qu’il n’avait pour ainsi dire jamais connue. Le temps cependant lui manquait de remplir la cuve avec de l’eau qu’il aurait fait chauffer sur le feu du foyer.

Il décida d’aller se baigner au lac, à cette heure matinale, il ne devait y avoir personne et çà lui ferait le plus grand bien de nager un peu après s’être décrassé du voyage. Il prit dans un sac de quoi se changer et fila vers le lac. Le plaisir d’y habiter juste à côté faisait qu’on y était en 2 minutes et encore. Il se dévêtit et dans le plus simple appareil plongea dans l’eau fraîche.

Bien qu’il soit réveillé, le froid de l’eau lui fit l’effet d’un coup de fouet, un regain d’énergie le rempli et cela, après le voyage faisait le plus grand bien. Il en profita pour se laver et de nager un peu. Ses muscles appréciaient d’être dégourdis, les heures de routes à cheval les avais ankylosés. Alors qu’il nageait sans but précis il se rapprocha d’une des berges et fut surpris de remarquer la présence d’une personne.

Il semblait connaître cette silhouette. Il se rapprocha des quelques brasses et son impression sembla se confirmer. Cette frimousse emmitouflée dans une longue cape, c’était bien son amie le prévôt. Elle semblait ailleurs, la tête dans les nuages ou dans ses pensées. Il était étonné de la voir si tôt dehors, Avait-elle dormie dehors pour savourer le bien être du grand air ? A moins qu’elle était tombée de son lit ?

S’approchant un peu encore, il la salua, oubliant où il se trouvait.
« Bien le bonjour Naudeas, le vagabondage te manquait tant que çà pour dormir dehors ? Il se mit à rire en plaisantant mais en voyant sur une branche pendre ses armes et vêtements, il fut embarrassé. Son amie n’avait pas dormie à la belle étoile ou si c’était le cas avait décidé de se faire une petite baignade avant de commencer la journée.

La constatation des éléments, lui confirma ses doutes, ses jambes étaient nues et ses cheveux encore trempés.
Se doutant que la jeune femme pouvait être nue sous sa cape, une certaine gêne l’enveloppa. Il ne voulait pas la mettre dans l’embarras

Pour respecter sa pudeur, il la salua et commença à faire quelques brasses pour s’éloigner, lui laissant ainsi le loisir de se revêtir[/rp]

Naudeas a écrit:Naud n'avait pas vu Shel arriver doucement dans l'eau, elle s'était perdue dans sa contemplation de somptuosité qui s'offrait à ses yeux de bon matin, le ciel pas tout à fait bleu qui avait trouvé des couleurs rosées, bleutées des dégradés magnifiques en somme. Elle lui sourit surtout à sa remarque.

Bonjour toi, tu sais j'ai beau avoir des couverts d'argent chez moi, ca n'empêche que la nature me manque, tu sais, il se trouve entre Montbrisson et Polignac. Alors en une chevauchée je suis séant. Et puis l'eau est fraiche ca ravigote. Et toi que fais tu la ? Tu devais pas arriver plus tard ?

Elle sourit davantage quand elle vit l'air gêné de Shel devant sa tenue, elle était plus à ca près, elle se souvint soudainement qu'elle avait plongé nue en novembre pour prouver à Son Altesse que la mer n'était pas dangereuse pour éviter une messe, puis la représentation d'elle nue dans une taverne, lors d'un pari.

Allez viens prendre un petit déjeuner, j'ai de quoi manger dans ma besace, du pain, du jambon de pays et de quoi boire mais pas trop, je suis de garde après.

Shel_ezeil a écrit:Et puis l'eau est fraiche ça ravigote. Et toi que fais tu la ? Tu devais pas arriver plus tard ?

Shel ne s'était pas trompé sur son amie, elle appréciait aussi le calme du matin et en avait profité pour se ballader ou se baigner, tout comme lui.

"Et non, j'ai fais galoper un peu plus ma jument; la hâte d'arriver plus vite. Et puis on y est bien chez soi."

Le Sénéchal vit le sourire de Naudeas, il se doutait de la raison. Ce n'est pas que la vue n'était pas agréable au contraire mais il était un homme respectueux et ne voudrais pas qu'on dise qu'il profite de la situation.

Allez viens prendre un petit déjeuner, j'ai de quoi manger dans ma besace, du pain, du jambon de pays et de quoi boire mais pas trop, je suis de garde après.

"Tu me laisse rejoindre la rive où j'ai laisser déposer mes affaires et une foi rhabillé, je te rejoins ici. Profite s'en pour t'habiller aussi, je ne voudrais pas offensé ta pudeur en te retrouvant dans cette tenu très légère à ce que je peux en déduire.. A tout de suite"

Shel s'éloigna, nageant vers le coin où ses affaires l'attendaient. Arriver enfin, il se sécha et se changea, passant chez lui pour déposer les vêtement du voyage et prendre quelques victuailles, ne voulant pas arriver les mains vides.

Il se dirigea vers la berge où son amie devait l'attendre

Naudeas a écrit:"Tu me laisse rejoindre la rive où j'ai laissé déposer mes affaires et une foi rhabillé, je te rejoins ici. Profite s'en pour t'habiller aussi, je ne voudrais pas offenser ta pudeur en te retrouvant dans cette tenue très légère à ce que je peux en déduire.. A tout de suite"

Elle n'eut pas le temps de lui répondre qu'il avait déjà filé dans l'eau. Elle se leva, toujours enroulée dans sa cape, passa sa chemise sur elle, elle voulait encore profiter du soleil sur sa peau. Elle lui arrivait mi-cuisse toujours un peu plus décent que sa cape. Elle prit les victuailles qu'il y avait dans sa besace, étala le torchon qui enroulait le jambon. Elle s'assit et commenca à grignoter des tranches de pain avec le jambon, se perdant à nouveaux dans le spectacle qui s'offrait à elle.

Naud rapprocha ses jambes près de sa poitrine et passa un bras autours. Le soleil montait de plus en plus. Elle aimait le matin car la vie se réveillait doucement les oiseaux, le ciel prennant ses couleurs estivales, les habitants qui montaient doucement leurs échopes. Et puis quoi de mieux qu'être bien accompagnée pour un petit déjeuner au bord de l'eau. Elle esquissa un sourire et partit dans la contemplation le temps qu'il revienne.

Shel_ezeil a écrit:Shel avait pris un peu de viande fumé au feu de bois et une bouteille de cervoise cadeau d'un ami breton et fit chemin vers la berge où se trouvait son amie la prévôt.

La voyant assise, il se mit à rire.
"La tête dans les nuages à ce que je vois ma chère et encore si peu vêtue ou devrais-je dire et encore si dévêtue"

Il s'assis près d'elle et déposa ses victuailles sur le torchon servant de serviette.

"Alors que penses-tu du lac? Très agréable comme endroit pour se reposer et retrouver la sérénité non? Ou pouvoir contempler le lac quand il est encore calme avant la venue des pêcheurs. Çà permet de rester dans la tenue qui nous plais même si en te regardant elle parait si légère qu'un coup de vent ferait tourner bien des têtes et se poser bien des regards "

Il servit un verre de cervoise à son amie et à lui même
"Aux plaisir de la vie et aux bonnes choses qu'elle nous permet de savourer" dit-il en levant son verre.

Naudeas a écrit:Elle ne l'avait pas entendu revenir, elle était perdue dans sa contemplation, elle avait oublié de manger ce qu'elle s'était préparée. Elle tressaillit à son arrivée quand même. Il s'était déjà installé quand elle revient à la réalité.

"La tête dans les nuages à ce que je vois ma chère et encore si peu vêtue ou devrais-je dire et encore si dévêtue"

J'ai passé ma chemise, et oui je profite de cet havre de paix, qui devient dur à trouver de nos jours.

Elle sourit et croqua dans sa tranche pain.

"Alors que penses-tu du lac? Très agréable comme endroit pour se reposer et retrouver la sérénité non? Ou pouvoir contempler le lac quand il est encore calme avant la venue des pêcheurs. Çà permet de rester dans la tenue qui nous plais même si en te regardant elle parait si légère qu'un coup de vent ferait tourner bien des têtes et se poser bien des regards "

Il est magnifique à cette saison, j'ai jamais pu m'y arrêter avant, ne m'arrêtant peu sur Montbrisson, j'aime pourtant bien profiter de ce genre de spectacle. Et puis après si la tenue ne plait guère, le lac est bien assez grand pour regarder ailleurs, je crois pas que le spectacle soit si intéressant et puis si ca dérange tant pis. Après tout, c'est pas écrit dans le codex qu'on a pas le droit de se vêtir comme bon nous semble.

Elle sourit davantage, et puis c'était l'été après tout la température était plus élevée. Elle prit le verre de cervoise qu'il lui tendait et le porta distraitement à ses lèvres.

"Aux plaisir de la vie et aux bonnes choses qu'elle nous permet de savourer"

Aux joies qu'elle nous procure. Douceur et paix ! Alors des projets dans les jours avenir à part ce qu'il nous attend ?

Elle posa la tête sur ses genoux et le regarda.

Shel_ezeil a écrit:J'ai passé ma chemise, et oui je profite de cet havre de paix, qui devient dur à trouver de nos jours

« En effet, une chemise qui te va à ravir et mets tes formes en valeur par la même occasion. Une tenue parfaite pour se prélasser n’est-ce pas ? »

Il se mit à sourire en l’écoutant parler.

« Je vois que quelque soit la tenue, la femme de loi est toujours présente. En tout cas, tu as bien fait de prendre le temps d’apprécier enfin le calme et le paysage du lac. Parfois, pouvoir se poser un instant permet de retrouver la sérénité après une bonne journée de labeur et s’y reposer aussi en se laissant bercer par le clapotis de l’eau. »

Il la regarda
« Ce n’est pas que la tenue ne plait pas c’est qu’elle est légère et que la femme dedans est séduisante donc je doute que les pêcheurs regarde ailleurs alors que la vue est plaisante et je les comprends très bien sur ce point là. »

Alors qu'ils trinquèrent, il l'entendit dire comme avec un air malicieux
Aux joies qu'elle nous procure. Douceur et paix ! Alors des projets dans les jours avenir à part ce qu'il nous attend ?

« Comme tu le dis si bien, à la douceur et la paix que la vie nous procure actuellement, il n’en sera pas toujours ainsi.

En ce qui concerne des projets, pour le moment faire en sorte que l’organisation au sein de la Coba soit enfin homogène, qu’on mette en place les projets que le Conseil a proposé. Mais en même temps il va y avoir notre campagne à mener bientôt pour faire comprendre aux villageois du BA que ces projets qu’on leur propose sont fait pour leur bien. A nous de faire en sorte d’être écouter par le sérieux de notre travail et non s’abaisser aux pratiques de nos adversaires de lancer des rumeurs sur un tel ou un autre afin de le discréditer. Le peuple se moque des rumeurs, ce qui l’incombe c’est de savoir ce que les actions entreprises lui apporteront. »


Il sentit son regard sur lui, il ne savait qu’en penser réellement. Il semblait voir ses yeux pétiller mais qu’elle en serait la raison ? Le bonheur de pouvoir se prélasser au bord du lac ? Il n’en savait rien et n’était pas toujours doués pour déceler les pensées des femmes

Naudeas a écrit:Elle l’observait toujours, un sourire dessinant son visage

« En effet, une chemise qui te va à ravir et mets tes formes en valeur par la même occasion. Une tenue parfaite pour se prélasser n’est-ce pas ? »

Parfaitement, j’ai mieux mais la décence me l’interdit alors je préfère m’abstenir et puis tu es la pour quoi je passerai, une dévergondée quoique j’en connais un qui m’habillerait pour l’hiver comme il avait commencé à le faire en taverne.

Elle soupira sa tenue, devenait embêtante, alors dans un seul mouvement laissant la sa contemplation qu’elle appréciait, son encas aussi, qu’elle avait détaillé pas mal (sa contemplation hein), elle se leva et passa le reste de ses vêtements et lui répondit en même temps qu’il lui parlait.

Tu sais pour les élections on va y arriver, y a pas de raison. Et puis la COBA, je préfère m’abstenir, je ne porte cette institution que très peu dans mon cœur. J’ai pourtant beaucoup d’amis qui y sont mais depuis l’incident qui m’en a fait partir, je n’ai guère apprécié, pourtant on m’a demandé d’y retourner.

Elle finit de s’habiller, le seul hicque était le bustier à resserrer derrière. Elle l’observa à la dérobée derrière l’arbre. Elle ne savait que faire, déstabilisée, elle l’était surtout aux nombres de flatterie qu’il lui avait envoyée au cours de la conversation.

Puis-je te demander un service, pourrais tu resserrer mon bustier derrière car j’ai l’habitude qu’on me le serre mais la, j’ai que toi sous le coude.

Elle se mit devant lui, releva ses cheveux avec sa main, lui présentant sa nuque et l’objet du délit.
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Message  Korydwen Jeu 27 Aoû - 16:33

Aellfall a écrit:La matinée était déjà bien avancer quand l'idée d'aller a la pêche vu le jour au cours d'une conversation en taverne, elle était contrarié ces derniers temps, dans la limite de prendre la poudre d'escampette se sentant prise dans un étau et se dit que cela leurs changerait un peu a tout les deux. Elle ramassa ses affaires fila jusqu'à la maison pour prendre tout ce dont ils auraient besoin et prit le chemin du lac.

La jeune femme qui marchait a petite foulées arriva près du lac et prit la direction de la cabane... elle passa devant et longea le bord, jusqu'à arrivée près du petit bois qui le borde pour s'y enfoncer au plus loin pour plus de tranquillité.

Souriante elle trouva enfin ce qu'elle cherchait et posa les deux paniers sur l'herbe contemplant la petite plage naturel qui se trouvait là devant elle légèrement ombragée par le feuillage des arbres alentour...les quelques canards qui glissait sur l'eau prirent la fuite en la voyant s'affairer a poser une couverture dans l'herbe puis la jeune femme s'y assis tranquillement ôtant ses bottes et ses bas posant ses pieds dans l'herbe et s'y allongea , mettant ses mains derrière la tête les yeux mi-clos écoutant le clapotement de l'eau, le bruit de la légère brise dans le feuillage et les divers animaux qui semblaient se cacher et que sa présence avait déranger.

Sofio51 a écrit:la pluie ne peut plus s'arréter

le brouillard la pluie, le froid la nuit......Elle était revenue au village des délices, une halte, une ressource, aller au bord du lac était vital, le besoin de sentir l'eau le contact avec le froid.

Prendre le temps pour savourer ces derniers moments de calme, avant la tempête, elle le sent il est tout prêt, il arrive.......

Toi le lac tu a vu naître tant de passions, toi le lac tu ne verras pas la mort dans ton bras, tu verras le sable te recouvrir emmené par la pluie qui ne s'arrête pas.

Eau froide et délicieuse recouvre moi encore, un peu de toi est resté dans ces eaux qui a su caresser ton corps, prend moi .

Guilelme a écrit:[ Au bord du lac ]

Tu iens Vatentin, tu iens ? ?

Le petit Guilelme était arrivé en 9"58s au bord du lac de Montbrison et il avait gagné la course qu'il faisait contre Valentin, le domestique de la famille. Il faut dire que le petit bonhomme était plus que content de venir ici, depuis le temps que Valentin lui avait promis.
Ces deux la devenait inséparable car le papa de Guigui était fort occupé et sa momon était en visite chez des moines dans l'abbaye de notre Dame des Neiges.
C'était encore une belle journée d'été comme il y en a tant en Auvergne... surtout en été...

--Valentin_pernouin a écrit:Au bord du lac de Montbrisson 28-30

Certains peuvent croire que Valentin avait laissé le petit homme gagner a la course, mais d'autres pourraient croire que non, en fait l'histoire ne le dit pas et c'est pas très grave...

Tu iens Vatentin, tu iens ? ?

Valentin arriva au bord de l'eau complètement essoufflé. Il trimbalait deux cannes à pêche et un sac rempli de chose a manger.

Ben oui hein, j'arrive, me voila.

Il déplia une grande couverture qu'il installa a l'ombre d'un arbre et déposa son sac. Puis il tendit une canne au bonhomme.

Voila, a toi de jouer maintenant, il faut que tu nous attrape de quoi manger pour notre repas.
_________________
Valentin Pernouin

Au service de la famille de Ludgarès.

Guilelme a écrit:L'est bien gentil lui, mais attraper du poisson pour faire un repas, c'est pas si simple, surtout quand on a jamais peché de sa petite vie.

Ui, un poisson grand co ca dit il en ouvrant grand les bras et il l'interrogea avec des yeux de chien battu.

Mais common on fait ? Il tenait la canne a peche par l'hameçon en faisant tremper le manche dans l'eau...

Shel_ezeil a écrit:Shel fut amusé de sa réaction, lorsqu’il lui parla de se prélasser. Il la vit contourner l’énorme tronc afin de se revêtir comme si les paroles qu’il venait de dire l’avaient gênée voire choquée.

Ils parlèrent un peu de la vie du Duché et ses dires l’étonnèrent.
Et puis la COBA, je préfère m’abstenir, je ne porte cette institution que très peu dans mon cœur. J’ai pourtant beaucoup d’amis qui y sont mais depuis l’incident qui m’en a fait partir, je n’ai guère apprécié, pourtant on m’a demandé d’y retourner.

« Cela fait maintenant longtemps que je suis à la COBA et ce que tu viens de me dire m’étonne. Quel incident s’est produit pour que tu décide d’en partir ? »

Il n’eut pas de réponse mais vit son visage sortir de derrière l’arbre, le regarder, hésiter puis la voir finalement se planter devant lui après lui avoir demander un petit service, lui resserrer son bustier.

C’était bien la première fois qu’une noble lui demandait telle faveur. Cela l’amusa plus qu’autre chose, il n’était pas très porté sur les formes comme on dit quand on s’adresse à un noble.

Pour lui les faits et la vie elle-même avait plus d’importance. Il avait certes monté les échelons dans la vie sociale du duché mais il n’en restait pas moins un homme simple. Il étudiait tout ce qui touchait aux connaissances militaires mais cela ne faisait pas de lui un érudit mais juste un homme aimant accroître ses connaissances.

Il serra le corset lentement, sa main dérapa quelque peu en voulant aligner le lacet et ses doigts entrèrent en contact avec sa peau ce qui le troubla. Elle était une amie, mais une femme avant tout et la douceur de sa peau le perturba. Il n’avait jamais touché autre femme qu’elle avant ce jour et depuis qu’il était avec elle. Mais voilà, bien qu’elle fût quasiment toujours avec lui, la retraite qu’elle entreprenait actuellement ne l’avait pas habitué à cela.

Ce n’était pas sa peau qu’il avait eu sous ses doigts mais celle d’une autre femme. Il se ressaisit, fini de lasser le corset et essayer de masquer son trouble en plaisantant.

« Madame est-elle bien ficelée à son goût ? »

--Valentin_Pernouin a écrit:Au bord du lac de Montbrisson 28-30

Mais common on fait ?

Valentin éclata de rire en voyant le petit bonhomme se tenir devant lui.

Régle n°1, tenir la canne a pêche dans le bon sens, sinon les poissons vont rigoler. Régle n°2, accroché un ver de terre a son hameçon et la régle n°3, se munir de patience, car les poissons n'aiment pas être mangé. Puis il l'aida a accroché unasticot a sa ligne, ainsi il serait pret, les poissons n'avaient qu'a bien se tenir.
_________________
Valentin Pernouin

Au service de la famille de Ludgarès.

Deilayra a écrit:Deilayra se promenait le long du lac son fils dans ses bras, regardant les rives calmes du celui-ci, le soleil caressant son visage et le vent doux d'été apportant le parfum des fleurs...Mon dieu qu'elle aimait cet endroit, elle lui avait confier ses souhaits les plus chèresses joies,mais aussi ses doutes, ses angoisses et ses peines les plus profonde... Elle s'y etait recceuillit a la mémoire de sa famille mais aussi celle de Tein lorsqu'elle l'avait cru mort, et voilà qu'aujourd'hui elle tenait leur fils dans ses bras, et qu'ils allaient pouvoir vivre a Thier avec ses amis, dans la cabane qu'elle aimait tant, fondant desormais une famille, après toutes ses épreuves, tout le chemin parcouru...Aujourd'hui elle tournait une page, un peu mélancolique elle avait préparer ses malles pour déménagers après 6 mois a repousser, et a vrai dire, non sans peur, peur des prochaines eprauves qui se présenteraient a sa porte, peur de ne pas etre a la hauteur de ce qu'il attend...
Elle se pencha vers le lac l'enfant dans ses bras et jura qu'elle ne vivrait plus que pour sa famille désormais...Ils en avaient rever enfant de pouvoir fonder cette famille et ils l'avaient fait, elle souhaitait juste qu'ensembles ils sauront affronter chaque épreuve en restant unis comme cette promesse faite il y a si longtemps près du petits étang aux bois doré...

Elle sourit repensant a cette promesse et dit a voix basse:


"Desormais je ne vis que pour vous mes amours, que la vie me quitte si je devait échoué a vous rendre heureux...."

Elle se releva et continua de se balader un peu pensive..

Galswinthe a écrit:Quelques jours au monastère, au calme, mais qui lui avaient semblé une éternité. Surtout depuis bien longtemps elle avait quitté Montbrisson pour faire le tour du duché avec le conseil ducal.
De retour, les nouvelles ne semblaient pas très réjouissantes en BA. Elle n'avait qu'une hâte, retourner à Montbrisson et prendre soin de son fils.

De retour chez elle, personne... mais un mot de Valentin à qui elle avait annoncé la date de son retour : il avait emmené Guilelme au bord du lac.

Ni une ni deux, elle part les retrouver.

Au loin, elle aperçoit Guilelme qui semblait s'en voir avec une canne à pêche et Valentin à côté lui donnant de bons conseils.

Elle approcha, sans faire de bruit. Son fils très sérieux et concentré ne remarqua pas sa présence.

Elle sourit à Valentin, mettant un doigt sur sa bouche et s'installa discrètement sur l'herbe à côté de son fils.

Guilelme a écrit:Règle n°3, se munir de patience, règle n°3, se munir de patience... cette phrase tournait en boucle dans la tête de Guilelme, comme le refrain d'une mauvaise chanson. Mais combien de temps fallait-il attendre pour attraper un poisson? La lassitude commençait a s'installer, d'ailleurs le petit bonhomme se demandait combien de temps ca nager un asticot dans l'eau... Quand tout à coup...

VATENTIN, IEN ! ! ! Il tirait sur sa canne a pèche avec ses petits bras pas musclés.

Ya un pichon au bout d'mon habçon ! IEN ! L'est trop gros ! Ien Criait’ il, certainement que tout Montbrison l'avait entendu

Valentin était arrivé vers lui et l'aidait a tiré la canne a pêche pour sortir l'énorme prise. Après quelques minutes de bataille acharnée et s'être retrouvés par terre, Guilelme et Valentin réussirent a sortir leur repas de l'eau...

... Une vieille branche d'arbre...

Galswinthe a écrit:Toujours assise, discrètement à observer son fils apprendre, vraiment très très concentré, l'art de la pêche, elle assista à sa première prise...
Hélas, point de poisson mais une grosse branche d'arbre que Valentin et Guilelme avaient tirée de l'eau avec peine.

Les regardant ainsi, elle ne put retenir un rire franc. Mais elle était tout de même fière de son fils et elle était certaine qu'il ferait de meilleures prises.

Elle se leva et approcha.

Guilelme a écrit:Assis par terre, voir le monde qui défile et n’avoir pour domicile qu’un bout de...
Arrrggggg aie, Guilelme était sur les fesses, assit par terre à coté de Valentin, quand un rire qu'il connaissait se fit entendre.


Momoooon ! Il se leva d'un bon et courru dans les bras de sa maman pour la bisouillé.

A peche moi avec Vatentin mé pas pichon momon petit moue A sorti des moines momon est content moi. sourire Etait avec Vatentin a Cermont, plein de monde pas content y duc méchant, a prit la couronne a popa y méchant le duc !

Galswinthe a écrit:Alors qu'elle se levait, Guilelme se retourna et courut dans ses bras :

Momoooon !

Comme tu m'as manqué !

Tu n'as pas encore réussi à attraper de poisson? Oh mais je suis sûre que tu y arriveras. Pour bien pêcher, il faut savoir être aussi très patient.


Continuant à lui parler tout en souriant mais lançant un regard interrogateur à Valentin elle ajouta :

Mais que faisais tu donc à Clermont ?
Tu sais, le duc ce n'est pas toujours la même personne, tu sais ça change, il n'a rien volé du tout le nouveau duc. Enfin ce sont des histoires de grands.

Mais dis-moi, si tu veux nous pourrons aller faire un jour un tour en barque sur le lac, on attrape plus de poissons ainsi.

Tixlu a écrit:A peine son mandat ducal terminé, le duc de Lapalisse avait dû filer vers Paris siéger en cours des pairs, influer sur les grandes décisions du Royaume, et conseiller son Roy de manière la plus avisée possible. A l'issue, il avait pu enfin regagner Lapalisse, où Maturin l'avait informé que la petite famille était partie avec Valentin se reposer au bord du lac de Montbrisson. Ils avaient encore des terres agricoles nombreuses et quelques fermes en métaierie dans le village où Tixlu avait fait ses débuts en politique auvergnate, et qu'il gardait toujours en son coeur. Un brin de nostalgie le prit de repenser aux soirées passées au bord du lac, en compagnie de tant d'amis dont beaucoup étaient disparus aujourd'hui, ainsi qu'aux longues matinées de pêche. Et il n'avait pas vu son fils depuis le début de son mandat ducal et la cérémonie d'allégeance. Aussi décida-t-il de les rejoindre.

Après quelques lieues de route, il arriva en vue du lac et parcourut à pied le tour du lac jusqu'à parvenir près des siens. Il sourit en voyant la jolie prise de son fiston.


Bonjour Smile

Eh bien, mon petit Guilelme, comme tu grandis vite ! Tu nous ramène déjà presque le diner de ce soir !


Puis il s'approcha et prit son épouse et son fils dans ses bras. Après tant de temps offert au duché et à ses concitoyens, ainsi qu'au Roy, un peu de temps pour les siens n'était pas un luxe, et était on ne peut plus plaisant.

Guilelme a écrit:Guilelme était le plus heureux des petits garçons, il était entouré par les personnes qu'il aime le plus dans ce monde... Ces ainsi que cette merveilleuse journée se termina, la famille reprit la direction de leur château... sans poisson... mais avec Valentin.
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Message  Invité Lun 5 Oct - 21:55

Ana1 à écrit :

Ana se dirigea malgré elle vers le lac. Elle s'arrêta, s'installa sur l'herbe et se mit à admirer, une dernière fois ce magnifique endroit ou elle aimait tant venir rêver. Elle admira le paysage au soleil couchant et pria pour que sa vie ailleurs fusse meilleure....

Le départ était pour ce soir, une nouvelle vie s'ouvrait devant elle.....

Chanterelle à écrit :

"oh!!!!comme il est beau ce lac!!!!!!!!" s'exclama Chanterelle.
"oh!!! ca serait dommage de ne pas le tester avant de partir" renchérit-elle.
Elle trempa sa main dedans et sentit une eau froide mais pas assez pour renoncer à son bain.


Elle longea le bord afin d'y trouver un emplacement discret à l'abris des regards. En se déshabillant, elle s'imaginait avec son amour, la dans l'eau, tous les deux et................, et elle soupira à ces pensées. Rapidement, elle se retrouva nue comme un vers. Elle frissona. Le fond de l'air était un peu frais quand meme. Elle s'avanca tout doucement dans l'eau. Pas par pas. Afin de laisser à son corps le temps de s'habituer. Et quand elle se sentit prete, elle s'immergea totalement. Prudente, elle ne s'aventura pas trop loin. La nuit battait son plein et la lune était cachée par des nuages. Elle se frottait le corps pour le décrasser un peu et se laissait flotter.
Sortit de l'eau et,...et, courut comme une dératée en direction de la flotte en criant:

" waaaahhhoouuuuuuuuu!!!!!!!!" et alla s'ecraser sur les fesses sur le sol. Chanterelle avait manifestement raté son saut acrobatique dans l'eau. Une douleur fulgurante lui traversa le postérieur. Un élancement qui s'intensifiait au moindre mouvement manifesté. Chanterelle était bloquée là, par terre, cul nu dans le froid et la nuit noir. Des larmes lui montaient aux yeux. Elle ne pouvait se mouvoir. Le moindre vivration lui ravageait l'arriere-train d'une souffrance intolérable. Elle savait pertinemment qu'elle ne pouvait rester ainsi. Elle se décida à se relever. Prenant appuis sur ses mains, elle se redressa et hurla avec une rare force."haaaaaaaaaaaaaaaaaa!!!!!!!!!!!" En faite, un bout de bois pointu s'était enfoncé dans sa fesse droite. Elle grelottait sous l'effet du choc et du froid. Elle avait la chair de poule, ses dents claquaient, ses jambes flageolaient. Ses extrémités viraient au violet ainsi que ses levres. Avec tout ce qui lui restait d'energie, elle attrapa enfila ses vetements mais seulement le haut. Car le morceau de bois ne faisait toujours qu'un avec elle. Chanterelle essayait de se résonner, de ne pas craquer, de garder son sang froid. Mais les larmes et les cris prirent le dessus et elle fit une crise d'hystérie. Completement dans son délire, elle n'entendit pas le ricanement qui s'échappait de derriere un arbre.
Amanite se dévoila et resta la plantée à regarder Chanterelle en se marrant. Chanterelle se sentant épiée, se retourna vivement et eu la peur de sa vie.
"toi!!!toujours la quand il faut pas!! Tu me suis, maintenant tu m'espionnes et puis quoi encore!!!!"
Amanite rétorqua: "hé!hé! Je suis ton pire cauchemar, n'oublie pas!!
Chanterelle crispait sa machoire et serrait ses poings pour contenir la douleur qui emplissait son fessier. Elle se demandait comment une telle méchanceté pouvait exister dans un seul etre humain.
" Ce n'est pas dans un orphelinat ou ils aurait du te placer mais dans un asile ma pov fille. Té completement à la ramasse et completement à coté de la plaque!! Ta haine n'a ni racine, ni tronc, ni rien. Elle ne tient à rien. Elle ne part de rien de justifié et elle n'aboutira à rien!! Si tu crois que je vais me laisser faire, tu plaisantes!!!!!!" enragea Chanterelle qui s'approcha dangereusement de sa jumelle.
Elle arracha, dans un élan de colère le bout de bois de sa chair et le jeta. Un éclair de fureur traversa ses yeux et tout son etre tremblait d'énervement. Et d'un coup, telle une furie, fonca droit sur Amanite lui empoignant le bras, la fit tourner et lui fraquassa la tete contre un arbre. Celle-ci, completement sonnée, se redressa en tanguant, saisissa un bout de bois et frappa violemment le dos de sa soeur. Celle-ci, figée par la masse qui s'abattit sur elle, chancela et se retint à un arbre. A peine le temps de dire "ouf', qu''Amanite lui décrocha un coup de poing dans le ventre. Chanterelle lui balanca un bon coup de coude dans la machoire suivit d'un gnon dans l'oreille. Dans l'élan Amanite lui choppa la main et lui tordit le poigné en lui donnant un coup de pied dans le genou. Chanterelle submergée par la douleur, poussa un cri de rage et sauta au cou de sa jumelle. La bombarda de taloches sur le visage et sans lui laisser de répit lui assenna de multiples coups de poings dans le ventre. Lui arracha dans la foulée une grosse poignée de cheveux, la jeta au sol et lui martela de coup de pieds. Amanite était à peine consciente. Chanterelle n'en menait pas large non plus. Elle s"éloigna pour reprendre son souffle. mais se sentant à nouveau menacer, se retourna violement prete à riposter et puis rien.

Le silence de la nuit avait reprit ses droits. Sa soeur s'était envolé. Volatiliser aussi vite qu'elle était apparue. Chanterelle toujours sur ses gardes acheva de s'habiller sans prendre un moment pour vérifier sa plaie. Ce fut completement meurtrie par la lutte, qu'elle reprit le chemin du village. Le voyage pour Thiers allait s'annoncé difficile et douloureux surtout pour son derriere maltraité. Qui, celui-ci, sur le dos de son cheval ne sera pas ménager.

Sonia80200 à écrit :

Elle était enfin à Montbrisson, elle a toujours aimé cette ville accueillante, elle connais pas mal de monde et elle est contente de les revoir un à un.

Après une journée en taverne, à rigoler avec madame le maire, boire quelques chopines, rigoler même avec un vieil ami. Regarde l'état de ses vêtements, ils sont tous poisseux, ils sentent mauvais.

S'asseoid sur le bords du lac, regardant le ciel étoilé, parcourant d'un regard l'obscurité calme, apaisante, écoutant le champ d'une chouette pausé au lointain sur une branche d'arbre.

Son regard se pose sur le lac sombre éclairait faiblement par la lune, repensant aux derniers événements qui se passe dans son village natal, cet homme qu'elle répugne et qui cherche même à la faire mourir par tous les moyens, cherchant même à la faire baisser dans l'estime des gens en racontant à tous le monde qu'elle couche à droite et à gauche alors que c'est lui qui le fait, rigole intérieurement de se genre de personnage, prêche la vertu et va trouver des maîtresses, les séduit de douce parole rien que pour faire plaisir à sa chair.

Que faire de la preuve qu'elle a, d'une discussion qu'elle a eu avec une de ses maitresses, la donner à sa futur marié ou ne rien dire, commence à opter pour la seconde solution, pourquoi prévenir cette femme qui n'as de yeux que pour lui et qu'elle n'en croira rien.

Décide de se lever et d'enlever ses pensées de sa tête, elle est en voyage pour oublier tous ses problèmes et prendre du bon temps avec celui qu'elle aime le cajoler, lui donner tous ce qu'il désire. Et si bien dans ses bras, elle se sent plus forte même. Il lui donne tous ce qu'elle désire, elle a même l'impression de retourné dans son adoléscence avec lui. Ressort sa chaine qu'elle cache sous sa chemise, deux alliances, deux hommes, ceux qui lui on donnait de la force et celui là, sera t'il pareil, la poussera t'il a être encore plus forte, à l'épauler dans ses envies, seule l'avenir lui dira mais la chose qu'elle sait au plus profond de son coeur, c'est qu'elle l'aime passionément et qu'elle entre voie un avenir avec lui.

S'approche, met un pied dans l'eau, fraîche, pas grave sa lui fera pas de mal et ses vêtements non plus. Rentre bien dans l'eau et va s'y mettre en dessous, sentant l'eau fraîche qui passe, s'écoule partout sur son corps, son visage, ses cheveux. Ressort sa tête de l'eau sentant une douce brise frissonnante de partout décide de faire des longueurs mais avant ça elle décide de retirer ses vêtements pour être à l'aise. Regarde autour d'elle, personne. Enlève le tous un à un et les jettent sur la berge.


Fait demi tour et va nager au loin......

Alexandre.galad à écrit :

Apres avoir ramené les chevaux dans l’étable municipal. Il se dirigea vers l’hôtel, allant à leur chambre, il ne trouva pas sa compagne. Mais où était elle encore passé se demanda t’il. Il fait nuit et bien que la lune soit bien ronde et lumineuse, on n’y voit presque rien. La lune … la lune se répéta t il intérieurement. Oui ça y est il se rappela de ce que lui avait dit sa belle. Elle était au lac…

Ni une ni deux le voila partie vers le lac, il prit par précaution deux grande serviettes pour s’essuyer. Les nuits commençaient à être fraîches maintenant. La période des nez qui coulent allez venir très vite…

En arrivant au lac, il vit sa belle faire des longueurs. Il posa les deux serviettes, et se déshabilla. Deux trois longueurs ne devraient pas me faire de mal pensa t il . Prenant un peu d’élan, il se dirigea vers le lac et sauta pied joint dans l’eau


IIIIIIAAAAAAAAAAAA

Sonia80200 à écrit :

Même pas le temps de nager en paix qu'elle entendu un bruit de pas, se tourne en hâte, son coeurs bondit dans sa poitrine, si son compagnon apprend celà, qu'un homme l'ai vu nue, il ferai une crise.

Regarde au loin un homme qui s'approche de plus en plus vite, qui se désabille qui crie en plongeant comme un fou dans l'eau, pas de doute c'est bien lui.


CINGLER !!!!!!!

Se met à nager pour être prêt de lui le laissant emmerger du fond de l'eau, le regardant, détaillant son visage au clair de lune. Il est si beau et qui plus est en tenue d'Adam, hummm, une idée lui trotte à l'esprit, s'approche de lui, l'enlacant, le laissant pas réagir, se collant à lui, parcourant de ses mains son dos, lui donnant par la suite un tendre baiser.

Alexandre.galad à écrit :

Un sourire se dessina sur son visage

Oui pour vous servir gente dame

Mais au contact de sa belle, qui se faisait caline. Il s'aperçue d'une chose que seul dame nature pouvait inventer.

Mmmm !! Chérie je crois que j’ai un léger problème technique. Il fait trop froid dans ce lac enfin tu vois…

Il fit la moue

On pourrait se réchauffer dans notre chambre … non ? Hein ?

Sonia80200 à écrit :

Elle le regardais, attendri par cet homme, continuant à promener ses mains sur lui, savourant les parties de son corps avec délice, il lui fit une réflexion qu'elle en put s'empécher de rire.

Oui mon tendre, rentrons au chaud, qu'on puisse savouré un moment de détente.

Se dirige vers la berge en ressort toute geler, voit deux serviettes, les prend et en tant une à son chéri, enroule la sienne autour d'elle.

C'est vraiment de la folie de se baigner par se temps, allons rentrons.

Alexandre.galad à écrit :

Ils s’essuyèrent l’un l’autre et ils remirent leurs habits

Sage décision ma belle !!! Le froid a un effet néfaste sur mon anatomie

Il se mit à rire, embrassant sa belle puis ils partirent tout deux bras dessus bras dessous …

Somica à écrit :

Somica s'etait arrettée quelques jours dans ce duché, laissant souvenirs et amis dans son village, une certaine nostalgie la gagnant, elle décida d'aller longer les bords du lac. Ses pas se faisant, de plus en plus lourd apres cette longue marche, elle décida de se détendre un peu. Les yeux plissés par le soleil reflétant sur les eaux du lac, elle se posa contre un arbre les jambes en tailleur. Son regard porté dans les remous des eaux, ecoutant les clappotis des flots, ses pensées semblaient bien tristes. Des souvenirs resurgissaient des bons moments passés avec sa marraine et tous ces amis, qu'elle avait décidé d'abandonner, ils ne comprenaient pas son départ et elle non plus. elle voulait juste prendre l'air. Est-ce la bonne solution?

Sa carrière professionnelle devenait de plus en plus imposante dans sa vie, et elle etait très bien entourrée mais pourquoi elle se sentait si seule... Un amour qu'elle croyait imuable l'avait bouleversé et elle avait décidé de le quitter. Avait 'elle raison ou tort? Nul ne le savait. le bilan de sa vie affective n'etait que fiasco. Un soupire et quelques larmes glissant sur son visage, elle les balaya de sa manche et pria Aristote pour que sa mémancolie s'attenue.

Enfin elle s'etait autorisée à se donner du temps pour elle, c'etait sa priorité...Puis elle songea à l'avenir, les projets montés, ses amis qui allaient bientot la rejoindre, son retour à Dié et cela suffisait à la faire sourire, de bons moments l'attendaient, et elle avait hâte de les vivre. Une impatience se sentit, aussi pour pouvoir patienter, elle s'autorisa donc a prendre un bain.

Se relevant, elle fît glisser sa houppe le long du chemin et entra dans les eaux fraiches du lac, frissonnant légerement à son entrée, elle ronchonna interieurement :


Ouch !!!! c'est frais ça !!!

Elle commenca à nager doucement. Un plaisir tel l'embelie, l'eau etait pour elle le moyen de se trouver légère de tout. Jouant avec les vaguelettes , elle se mit a rire comme une enfant, tournoyant sur elle même, continuant quelque temps ce jeu, son corps commencait à se froidir, elle décida donc de sortir se rechauffer.

S'allongeant, sur l'herbe tendre et laissant les rayons du soleil faire son travail, elle sourit de ce moment de détente fort agréable.

Regardant le soleil justement, elle le vît descendre, l'heure etait déjà bien avancée il etait temps de se rentrer, la houppe revêtue et elle se dirigea vers le village.

Dany06 à écrit :

Dany une nouvelle fois de passage à Montbrisson, se dirigea vers le lac.
La poussière de la route, l’odeur du cheval, de l’ail pour éloigner les vampires en cette nuit de nouvelle lune, tout ça l’entêtait.
Elle marcha sur la berge cherchant un endroit tranquille pour se reposer, contourna un gros buisson et trouva l’endroit idéal, assez protégé des regards, de l’herbe bien verte, du sable au bord de l’eau.
Elle posa son petit carré de tissu sur le sol et se déshabilla.
Un orteil dans l'eau et elle l'a trouva glacée, mais elle continua d’avancer lentement, frissonnant de partout et finit par se lancer d’un coup.
Elle nagea vivement pour éviter de sentir le froid, plongea même un peu sous l’eau remontant rapidement et fit la planche sous les rayons du soleil.
Puis après s’être essuyée avec vigueur, elle se mit à frotter son linge d’abord avec le sable puis sortant la lavande qu’ils avaient cueillie sur le bord des chemins, elle la posa sur la braie et le chemisier en les étalant au soleil.
Enfin, une odeur agréable !
Elle sortit de sa besace le précieux flacon de parfum que lui avait offert un ami cher et mit quelques gouttes sur ses longs cheveux qu’elle brossa soigneusement.
Poussant un soupir de bien être, elle s’allongea sur le petit bout de tissu et écouta avec plaisir le ressac de l’eau près d’elle.
Un oiseau se mit à chanter et elle sourit, heureuse d’être la, heureuse de voyager, heureuse des rencontres qu’elle faisait.

Aellfall à écrit :

Un peu énervé sans savoir pourquoi, Aellfall rangea tout les papiers dans son bureau, se leva et ferma la porte a clefs. Elle sortie de la mairie décidant qu'un peu d'air lui ferait du bien. Elle déambula dans les ruelles du villages, saluant les personnes qu'elle croisait, s'arrêtant par moment a la demande de villageois qui ce jours semblaient avoir tous quelques chose a lui demander. Elle répondait toujours en souriant mais intérieurement le coeur n'y était pas.
Toujours cette tension en elle, elle était nerveuse et c'est en pressant l'allure qu'elle se rendit au lac. La jeune femme regarda un instant l'étendue d'eau devant elle respirant a pleins poumons, la tête lui tournait un peu.
Elle continua son chemin le long du bois jusqu'à ne plus voir les maisons et fini par trouvé l'endroit qu'elle cherchait.
Elle releva un peu sa robe puis s'installa sur l'herbe, ôtant ses bottes et ses bas. Poussant un long soupire elle se sentit observé. Regardant tout autour elle ne vit rien du tout, pensant que c'était du a son état de fatigue elle n'y prêta pas plus attention.
Aellfall ramena ses genoux contre sa poitrine et croisa ses bras autour puis se concentra sur le lac et la vue magnifique qui s'offrait a elle. Encore une fois le malaise montait, elle se sentait vraiment pas très bien. Elle se redressa défit sa ceinture et la laissa tombé près de ses bottes puis fila vers la rive.
L'herbe un peu haute lui chatouillait les pieds et sa fraicheur la fit frissonné. Elle releva un peu sa robe et entra un pied dans l'eau...puis le second...au premier contacte elle en eu la chaire de poule, elle avança dans l'eau puis resta un moment prise dans ses pensées...sans s'en rendre compte elle laissa tomber sa robe qui flotta un peu sur l'eau avant de s'y enfoncer doucement. La jeune femme croisa les bras sur sa poitrine et regarda l'horizon une fois de plus avant de sortir de l'eau. Le froid la gagnant elle ne voulait pas traîner puis grimaça en voyant sa robe. Elle retourna s'assoir près de ses affaire et commença a essoré du mieux qu'elle pu sa robe puis fut prise d'un fou rire presque incontrôlable.

Ambris à écrit :

Ambris avait quitté la caserne bien tôt ce jour là, dehors le temps était encore magnifique mais les rues du village semblait de plus en plus désert, même les voyageurs se faisaient discret, malgré tout ce l'ont disaient Montbrisson se mourraient a petit feu ... il avait décidé d'aller voir ce lac qu'il avait vu mainte et mainte fois, de tout temps ... de toutes saisons ... ce lac qui malgré tout, aller lui manquer, ces lieux vont lui manqué , une nostalgie le submergea, soudain il prit une mine plus sérieuse, il fit le chemin repensant aux six années qu'il avait passé ici, ce village qu'il avait tant aimé par le passé et qu'il détestait tout autant aujourd'hui, arrivé a l'orée de la petite forêt où il avait passé de nombreuses heures à réfléchir il décida d'y faire un tour

Les feuilles jaunissaient au fil des jours,elles jonchaient le sol et faisaient un bruit qui leur étaient propre quand on leur marchaient dessus, brisant ainsi le silence qui régnait en ces lieux, Ambris trouvait cette saison si jolie, mais tellement triste … Au bout de quelques minutes il décida de faire demi-tour, car n'ayant rien prévu pour cette escapade il avait peur de se perdre, il s'arrêta net quand il vit tout près une femme assise dans l'herbe, il la reconnu très vite mais resta silencieux voulant voir ce qu'elle faisait, il se mit assit en tailleur dans les feuilles et l'observa avec le sourire

Quand elle partit a l'eau Ambris grimaça pour elle, pour lui ce n'était plus vraiment la saison des baignade même pour les pieds, étant très frileux il n'aurait jamais osé … Il se pinça les lèvres et se força de ne pas rire quand il la vit lâcher sa robe et faire demi tour aussi vite qu'elle était entrer, il commença a sourire tendrement quand il la vit grimacer pour sa robe, cela lui fit penser à Aya, il se leva doucement en s'aidant a l'aide d'un bâton et arriva derrière elle, sans dire un mot il vit qu'elle frissonnait quelques peu, il détacha sa cape et la posa doucement sur ses épaules


Alors Dame on veut être malade ?! Je suppose que vous voulez que votre époux s'occupe de vous je me trompe ?

Ambris la regarda dans les yeux avec un sourire plein de tendresse, il lui caressa doucement la joue et l'embrassa doucement, puis il retira ses lèvres des siennes et la regarda de nouveau dans les yeux

Toi aussi tu est venu ici pour oublier un peu tes soucis ?

Ambris lui prit doucement et s'assit dans l'herbe et l'invita a faire de même, ensuite il lui tendit les bras pour qu'elle vienne se réchauffé près de lui

Aellfall à écrit :

Après avoir repris le contrôle d'elle même, elle se reprit a l'essorage de sa robe qui semblait contenir toute l'eau du lac. Elle ne l'entendit pas venir, juste le léger bruis de feuilles froissée mais trop concentré sur sa distraction du moment n'y prêta pas attention. Aellfall resta assise puis le froid la gagnant elle se remit debout, son regard fut attiré par un petit groupe de canards glissant tranquillement sur l'eau. Elle se frotta un peu les bras...bon aller faut pas se laisser abattre et reprendre le dessus...toujours nerveuse, la tête qui tourne, elle eu un léger sursaut en sentant la cape mise sur ses épaules.

Alors Dame on veut être malade ?! Je suppose que vous voulez que votre époux s'occupe de vous je me trompe ?

Vite apaisée en reconnaissant son odeur, puis voix de son propriétaire. Elle se retourna pour lui faire face plongeant son regard dans le sien.
Elle s'enveloppa dans la cape n'émettant aucune résistance pour la porter.


Oui c'est vrai Messire, j'aimerais que mon époux s'occupe de moi et qu'il me soigne. Lui seul étant capable de faire disparaître tout mes maux.

Elle ne le quitta pas des yeux aimant par dessous tout ce regard...son regard, celui dans lequel elle aimait a se noyer. C'est avec douceur qu'elle lui rendit son baiser, regrettant déjà ses lèvres.

Toi aussi tu est venu ici pour oublier un peu tes soucis ?

Oui en quelques sortes, je suis fatigué je crois...puis j'avais besoin de prendre l'air.

Elle le suivit dans l'herbe et s'installa tout contre lui, elle voulais lui dire mais préféra se taire pour le moment...profitant d'être seule avec lui. La jeune femme se blottit dans les bras d'Ambris fermant les yeux juste un instant, se sentant bien, en sécurité et oubliant ses maux...mais trop fort sa nervosité était toujours là enfermé a l'intérieur elle inspira un bon coup puis ouvrit les yeux la tête lui tourne un peu moins.

J'arrive a rien aujourd'hui tout m'agace. Je m'énerve pour un rien...enfin bref ça passera sans doute comme c'est venu.

Aellfall se disant replia ses jambes sur elle même et leva les yeux vers lui.
Elle lui sourit et lui caressa son visage d'un revers de la main puis enfouie sa tête dans le creux de son cou, pour y cacher son visage.

Jehan_du_genevois à écrit :

Me voilà depuis quelques jours à Montbrisson .
Le village était assez calme et cela me plaisais ,c'est ce que j'étais venue chercher le calme loin de Bourg et des tensions .
Mon retour en mon village n'avait pas été des plus facile .
Bourg avait changé ,des tensions étaient nées entre les maires ,des habitants ,des amis avaient quitté le village et encore bien des choses mais que je gardais pour moi ,plus blessantes et comme à mon habitude j'avais fuis malgré le désaccord du Duc ,mon frère .

Montbrisson ,un village que j'avais aimé et apprécié lors de mon voyage dans le BA ,Des gens fort sympathiques et chaleureux ,c'est ainsi que j'étais revenue pour me ressourcer .
J'aimais trouver le calme autour du lac .

Ce matin la rosée recouvrait l'herbe et les quelques fleurs résistantes en ce début d'automne.
Ce paysage flamboyant autour du lac me ravissais .
La forêt au loin s'était parée de ses plus belles couleurs allant du vert au rouge passant par un doré lumineux sous les premiers rayon de l'astre .

J'avais sortit Opis ma jument lipizzan qui manquait cruellement d'exercice depuis nostre arrivée ,une balade autour du lac ne pouvait que lui faire et du bien et à moi mesme aussi .
Trouver un endroit ou se poser pour écrire un peu car c'était là mon échappatoire .
Un petit carnet ou mes pensées les plus folles ou sombres se retrouvaient .L'écriture avait toujours été une passion pour moi dès mon plus jeune âge .

Après avoir trotté un moment Opis me fit comprendre qu'un galop serait le bienvenu ,ma jument était toujours aussi fougueuse qu'au début de son dressage ,un sacrés tempérament d'ailleurs mon frère le Duc ne pouvait s'empêcher de me taquiner en me disant que l'on était semblable toutes les deux .

C'est au galop que je la lançais pour faire le tour du lac et rejoindre la rive opposée proche de la forêt pour nous arrêter un moment .
Je laissais aller Opis ,les cheveux au vent ,le visage fouetté doucement par une petite brise nous rejoignîmes la rive rapidement,

Là j'arrêtais ma monture et je la laissais libre pendant que je m'installais sur un petit rocher surplombant le lac ,sortant velins et encre pour écrire .


J'aime quand l'aube la révèle, écharpée de brumes,

Estampe éthérée dans un léger lavis d'aquarelle,

Ses cimes mouvantes, moutonnant comme l'écume,

Au-dessous de voiles pâles sertissant le bleu du ciel.



J'aime quand le soleil, de sa chaleur, embrase ses couleurs,

Délivrant, de l'écrin vaporeux, ses nuances de jade.

Milles teintes chatoyantes, changeant à toute heure,

Ondulant sous le vent, comme vagues au large des rades.



Et que dire des saisons qui la parent de subtils atours ?

Tantôt l'hermine de l'hiver, tantôt le vert tendre du printemps,

Tantôt l'émeraude profond de l'été, chaud comme le velours,

Et la toile fauve de l'automne qui l'entache d'or et de sang.



Baisant le flanc des monts, dans la plaine s'étend sa parure.

Aussi loin que porte le regard, le monde se couvre de son manteau.

Majestueux et féerique royaume, couronné de hautes ramures,

Pays du chêne et de l'orme, contrée du frêne et du bouleau.



J'aime ses sous-bois frissonnants, dont les trouées vespérales,

Laissent cascader sur les fougères, des ruissellements d'argent,

Dessinant sur des sentes incertaines, des rosaces de cathédrale,

Quand la pénombre du soir éveille l'Effraie vêtue de blanc.


Car c'est ainsi que mes yeux rêveurs la préfèrent,

Alanguie sous une voûte d'étoiles, des rais de lune comme passements.

Elle m'apparaît alors, ornée de ces plus sombres mystères,

Qui transforment une forêt en Brocéliande, une futaie en enchantement.




Je posais doucement ma plume laissant mon regard s'évader sur l'eau du lac .

Ambris à écrit :

Ambris sentit Aellfall plus nerveuse que d'habitude, quelque chose l'énervait, mais ne voulu pas en dire plus, Ambris n'insista pas non plus, il se contenta de la serrer contre lui et de lui déposer un doux baisers sur le front, il frotta doucement la cape pour essayer de la réchauffée un peu plus, puis vînt près de son oreille et commença a murmurer doucement a son oreille tout en continuant a la câliner

Cherie ne te fais pas tant de soucis … Dans quelques jours nous ne serons plus que des souvenirs pour le village, nous n'aurons de contact avec quasiment plus personnes ici, nous allons enfin vivre qu'on voudra, sans les obligations et les responsabilités, plus que nous … Rien que nous.

Ambris regarda au loin et vit un cheval galoper monter par son destrier, et se dit qu'ils avaient de la chance de pouvoir faire librement ce qu'ils voulaient, un instant seulement ils les enviaient, il sentit une légère brise arriver sur eux, elle ne sentait pas vraiment bon ou mauvais, elle sentait juste le début de l'automne, et le début d'une nouvelle histoire, Ambris regarda Aellfall et sourit tendrement en la voyant les yeux fermés, cette histoire il ne voulait l'écrire qu'avec elle et personne d'autre

Il regarda l'horizon, une dernière fois, ce paysage qu'il avait tant vu, dans d'autre circonstance il aurait trouvé ce paysage magnifique, mais aujourd'hui cela ne lui faisait plus rien, il tourna sa tête vers Aellfall lui sourit


Ça te dirais une petite balade en forêt, je vais te montrer un endroit ou j'aime aller quand je vais pas bien ou besoin de réfléchir, nous verrons bien si tu te sent mieux là bas

Ambris se leva doucement et attendit qu'Aellfall mettent ses bas et ses bottes et se lève, il lui prit la main et entrecroisèrent leurs doigts et avancèrent vers l'orée de la foret, au bout de cinq minutes on ne les vit déjà plus ...

Aellfall à écrit :

Aellfall se laissa bercer par Ambris écoutant et buvant toutes ses paroles, il avait raison plus que quelques jours et ce serait fini...fini la jolie prison dorée...fini d'entendre geindre...fini tout ça les obligations...elle avait toujours été libre de tout et se sentait comme dans une geôle cela y ressemblait hormis le faite qu'elle puisse dormir dans un lit douillet et manger correctement. La liberté de bouger d'aller dans d'autres villages ou simplement se promener sur les routes...tout ça lui manquait terriblement puis le coeur n'y était plus. Elle avait envie de partir, de vivre sa vie en toute tranquillité avec sa famille.
Ambris qui faisait battre son coeur depuis longtemps l'aidait a tenir, a ne pas se laisser aller lui donnant la force de continuer. Nombre de fois elle voulu prendre la fuite laissant tout en plan sans se retourner mais il était là, la soutenant, la réconfortant et l'aidant dans tout ce qu'elle faisait. Elle ouvrit les yeux et le regarda lui souriant un peu, il était ce qui lui est arrivé de mieux, un ami d'abord puis son compagnon celui avec qui elle veut se réveiller chaque matin a ses côtés, celui avec qui elle veut tout partager, son bonheur...leurs bonheur. Rester a ses côtés pour toujours.

Rassurée, apaisée, elle poussa un soupire de soulagement. Elle se sentait toujours nerveuse, mais allait mieux ses maux s'estompaient et la tête lui tournait plus. Elle savait très bien ce que c'était mais ne voulait pas l'embêté pour le moment, elle voulait juste profité de l'instant présent avec lui.


Oui je veux bien, une promenade me fera du bien. Puis comme ça je saurais où me rendre quand tu disparais...

Elle enfila ses bas, ses bottes puis ramassa sa ceinture qu'elle garda a la main, se leva et se dirigea vers Ambris. Elle lui sourit et c'est main dans la main qu'ils s'enfoncèrent dans la forêt.

Ambris à écrit :

[ Dans la forêt près du Lac ]

Le lac s'éloignaient a chacun de leurs pas, main dans la main il s'enfoncèrent un peu plus dans cette forêt qu'Ambris appréciait toujours autant depuis toutes ces années, c'était peut être le seul endroit qui n'avait pas changer d'un pouce depuis ce jour où il était entré la première fois, le seul endroit qui avait était épargner par cette vague nauséabonde qui touchait le village, une vague où l'hypocrisie et le mensonge dominaient sur la sincérité et la véritable amitié, un endroit où le temps s'arrêtait, tout était si paisible, Ambris regarda Aellfall avec un sourire qui en disait long, heureux d'enfin montrer son coin a quelqu'un, il garda le silence et préféra garder le secret pour le moment, elle le verra le temps voulu, le décrire aurait été de gâcher la magie du lieu .

On est bientôt arrivés ma chérie, derrière le gros chêne on sera plus très loin

L'on pouvait entendre que le son de leurs pas sur les feuilles mortes qui recouvraient déjà une bonne partie du sol, quelques oiseaux chantaient encore, mais beaucoup partaient pour des pays plus chaud, seul les plus téméraire restaient, c'était un peu comme à Montbrisson ... L'automne a peine débuté que l'hiver semblait déjà ne plus être très loin, c'était du moins l'opinion d'Ambris, peut être était-ce dût à son moral qui déclinait un peu plus chaque jour passé dans la vielle citée, où alors cela ne venait pas de lui mais du village tout entier qui se perdait dans l'oublie au fil du temps, le beau village qu'il était jadis avait pris un sérieux coup de vieux.

Il passèrent le gros chêne et s'enfoncèrent un peu plus, les petits boulots avaient laisser place aux gros chênes massifs, la lumière du soleil se faisait de moins en moins intense, les grandes branches formaient un toit au dessus d'eux, le chant des oiseaux s'étaient arrêter, si on ne connaissait pas on aurait pût penser que cette endroit était parfais pour un repère à sorcières comme dans les contes pour enfants, les arbres se resserraient créant ainsi un mur de verdure gigantesque, il avait toujours penser que cela avait été fait exprès pour dissuader les gens a s'aventurer un peu plus loin, ce qui bien entendu était faux, il regarda Aellfall et sourit en la voyant un peu inquiète.

On est enfin arriver, c'est juste derrière . Il lui sourit et lui ouvrit le passage, il poussa quelques branches, puis d'un coup il n'y eut plus rien à écarter, ils étaient arriver au lieux garder secret par Ambris pendant des années, il le dévoilait aujourd'hui à la personne qui comptait dans sa vie comme jamais, la femme qui l'avait fait changer a jamais, ce petit bout de femme qui avait cette lueur dans les yeux... La même que la sienne …

Ce lieu n'avait rien a voir avec une forêt finalement, le soleil était revenu éclairer leurs visages Ambris plissa les yeux éblouit, un vent léger vînt leur caresser le visage, il était chaud, il faisait du bien, c'était une clairière qui finissait en pente, l'herbe arrivait a mi-mollet, les pâquerettes et les violette étaient encore là, rien ne changeait ici c'est ce qu'aimait Ambris ici, le paysage était dégagé, en face d'eux c'était les grands volcans d'Auvergne, quelques fermes en contre bas où l'on pouvait apercevoir les paysans travailler dessus, ils purent voir la route qui menait vers l'ouest, si ils la continuaient loin elle menait vers l'océan, il regarda Aellfall et lui prit les mains et la regarda dans les yeux

Voilà, ça n'a rien d'extraordinaire en soit, mais j'ai l'impression d'être a l'abri des regards ici, je suis seul pour réfléchir, loin de Montbrisson avec son marché bruyant et de ses rumeurs, ici j'ai juste le chant des oiseaux et les volcans pour compagnie.

Ambris tourna doucement sa tête vers les volcans qui semblait continuer jusqu'au bout du monde, Ambris respira profondément, paisiblement, toujours avec ce vent agréables qui leur caressait les visages, il retourna vers Aellfall et lui remit une mèche de cheveux correctement puis lui sourit.

Aellfall à écrit :

La jeune femme suivit Ambris dans la forêt sans discuté, curieuse d'abord de voir l'endroit où il disparaissait de temps à autre et dont il revenait serein...calme et presque détendu, puis ensuite d'aller plus loin dans ce lieu où ses parents lui interdisait d'entrée seule quand elle était qu'une petite fille insouciante et curieuse de tout...souvent accompagnée par son grand frère elle avait cure de leurs recommandations et s'y était perdu une fois, son frère l'avait retrouvé accroupie au pied d'un grand arbre tremblante et apeurée...Aellfall sourit un peu a ce souvenir un des rares dont elle se souvenait avec son frère encore près d'eux. Il partis peu après loin de chez eux pour faire sa vie comme il le disait si bien.

Elle resserre ses doigts, se rapprochant d'Ambris. Il commence a faire sombre légèrement inquiète et toujours cette tension en elle, parcourus de frissons sans doute du a sa robe mouillée ou simplement a la peur d'aller encore plus loin de se perdre ici une fois de plus...stupide pensées il connait l'endroit et elle n'est pas seule. C'est en silence qu'elle observa chaque recoins trouvant que tout se ressemble l'odeur ne change pas, douce, humide, celle de la mousse et des champignons qui par endroit forment un petit tapis sur la terre.

Toujours a regarder de partout attiré par divers ombres où bruissements d'animaux, elle ralentis un peu le pas tout se resserre autour d'eux...étrange sensation, un autre monde, un endroit mystérieux qui donne pas envie de foulé de peur de déranger et de voir d'un coup quelque chose sortir et les emporter. Elle tremble un peu cette fois et se sent vraiment pas chez elle, l'impression que tout va les engloutir, il le sentit, la rassura, elle lui sourit un peu mais reste quand même inquiète de la suite et se demandant jusqu'où il l'emmenait. Elle avait envie de lui parler mais rien ne sortait, trop préoccupé par la découverte des lieux et toujours peur d'être entendu par on ne sait quoi...enfin arriver...Elle lui sourit et le suivit passant devant lui quand il fait place pour elle. Un peu de clarté a peine visible sous l'épaisseur des buissons et branches, elle avança et du fermé les yeux un instant puis les ouvrit doucement le temps de s'habituer. Elle observa sans rien dire.

C'était tout simplement magnifique. Elle resta stupéfaite puis sourit tendrement a Ambris, elle prit une profonde inspiration puis regarda encore une fois le paysage qui s'offrait a eux.

C'est magnifique...regarde...elle lui montra les volcans...je les ai déjà vu mais pas comme ça...
Elle avait l'air d'une enfant a qui on faisait découvrir le monde, elle se tourna vers Ambris et plongea son regard dans le sien lui souriant et l'écoutant.

Voilà, ça n'a rien d'extraordinaire en soit, mais j'ai l'impression d'être a l'abri des regards ici, je suis seul pour réfléchir, loin de Montbrisson avec son marché bruyant et de ses rumeurs, ici j'ai juste le chant des oiseaux et les volcans pour compagnie.

Hum...tu as là un bien jolie trésor...je comprend qu'a chaque fois tu revenais...paisible. C'est beau, très beau, et calme...

Elle l'observa, lui si secret...partageant tout avec elle...il change, elle aussi...différente envie de tout partager et de pouvoir parler sans retenue, envie de se confondre avec celui qu'elle aime. Ils ne font qu'un, bien souvent se comprennent, se ressentent. Elle se mit sur la pointe des pieds et déposa un doux baiser sur les lèvres d'Ambris se blotissant dans ses bras. Elle se retourna un peu regardant toujours autour d'eux, là en cette instant elle eu envie de courir comme les enfants le font dans les champs, de crier, d'évacué ce qu'elle avait au fond d'elle. Il faisait bon, le calme du lieu allait avec la douceur du vent.

Jehane_du_genevois à écrit :

Un petit aller-retour Montbrisson Polignac .

J'étais partit l'aube se levait à peine. La brume s'accrochait encore aux reliefs du BA .Tout était plongée dans un profond silence que seul quelques oiseaux troublaient de temps à autre .
Voyager seule ne me dérangeais guère .
Juste un petit voyage vers Polignac pour aller chercher un ami .

Le paysage automnal était un ravissement mesme si il faisait un peu frais .J'avais prit bonne cape chaude habituée aux basses températures de Savoie .

Arrivée sans encombres à Polignac je cherchais la personne que je venais chercher .Un ami que je connaissais depuis peu mais avec qui je prenais plaisir à converser .Enfin moi je parlais sans cesse lui écoutait .
On ne se refait pas on est bavard ou pas !

Deux opposés nous étions mais pour le moment aucun désaccord ce qui rendait facile la conversation .
Je déambulait dans Polignac quand je trouvait l'auberge ou il était descendu afin de prendre repos .Mise au point pour le retour à Montbrisson ,deux voyageurs de plus nous repartions à quatre.

Le retour fut comme l'aller ,sans aucun soucis sur les chemins .Pour une fois je fis silence trop absorbée à tendre l'oreille à l'affut du moindre bruit suspect .Méfiance sur les chemins ,rester en alerte au cas ou quelques mécréants passaient par là .
Cela devait estre les seuls moment rares ou je me taisais .

Les remparts de Montbrisson en vue ,nostre destination finale .
Chevauchée fatigante car peu de repos prit mais agréable .Dans le village je pris la direction du lac afin de faire marcher un peu ma jument avant de regagner l'auberge ou je logeais .Je ne vis pas si le groupe me suivit ou pas .Tout était encore calme à cette heure matinal seuls quelques pêcheurs sur le lac .

Tanisha à écrit :

En ce beau jour d'Automne, Tan eut envie de prendre l'air... Elle a postulé à maintes offres d'emploi, sans succès...

Ben dis donc, y a des emplois dans la ville, mais aussi beaucoup de postulants!

Elle a donc besoin de se changer els idées, en attendant que la réponse de sa dernière postulation... Ses pas la mèen vers le lac... Lac qu'ils avaient aperçu avec Ilen quand ils étaient arrivés vers la ville... Elle découvrit l'agitation de ce lac, les pêcheurs avec ou sans barques... Cela lui rappela le lac de Joinville et ses promenades avec Zand autour...

Elle fit le tour du lac... regardant si elle ne verrait pas quelques animaux qui fuiraient devant elle... Entre les oiseaux, les écureuils de la forêt avoisinante... Les grenouilles dans le lac... Elle adorait la nature et tout ce qu'elle avait. Elle se posa sur l'herbe fraiche et resta là à regarder le centre du lac... perdue dans ses pensées.

Dany06 à écrit :

Une nouvelle fois de passage à MB mais pour descendre vers le sud, vers la mer, Dany prit vite le chemin du lac, elle ressentait le besoin d’eau fraîche et se rappelait le petit coin tranquille qu’elle avait trouvé quelques jours plutôt.
Elle avait laissé son compagnon de voyage devant les remparts et au trot, était arrivée au bord du lac.
Après avoir caressé la tête de son cheval Cirus, le laissant paître tranquillement, elle avança sur la berge espérant retrouver ce lieu où elle avait pu se baigner et laver son linge tranquillement.
Elle eut un petit sourire quand elle reconnut le buisson et le contournant, prit dans sa besace une serviette qu’elle posa près de l'eau, se déshabilla et avança dans l’eau.
Quelques barques partaient au loin, le soleil commençait à chauffer mais on sentait l’automne, ses rayons étaient moins chauds.
Elle s’attendait à la fraîcheur de l’eau et se lança d’un coup dedans.
Elle nagea vivement en ayant une pensée pour son ami de Muret Zed, qui lui avait appris à nager à Toulouse et sortit bien vite s’enroulant dans la serviette.
Elle lava sa chemise et ses sous vêtements et les étala au soleil puis s’assit, le serviette serrée contre elle. L’été c’était fini, ses longs cheveux mouillés lui donnaient la chair de poule.
Elle sortit un livre de sa besace et se mit à lire avant d’aller en taverne, son compagnon devrait y être.....à faire le joli cœur.

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Message  ventadour Jeu 15 Mar - 8:18

Filayster a écrit:Filayster avait rarement du temps à consacrer pour flâner dans le village, il voulait à tous prix s'occuper de son champs, faire son travail à la mine, faire des petits travaux à droite à gauche, ... Tout ça dans le but de récolter un maximum d'argent. Non pas qu'il était spécialement avide d'argent, mais il aimait pouvoir s'offrir ce qu'il voulait s'offrir, comme par exemple de nouveaux vêtements, les anciens ayant presque disparus dû à l'usure. Pour avoir tous cela, Filayster travaillait dur.
Mais quand il avait entendu que le village possédait un magnifique lac, il ne put s’empêcher de passer y faire un tour. Arrivé au pied de l'étendue bleue, il ne put s'empêcher de la contempler.
Ca faisait longtemps qu'il n'avait plus vu de l'eau, depuis qu'il s'était échoué sur les côtes de Marseille et qu'il avait du fuir en pénétrant dans le continent pour éviter la police Française.

Tout cette eau lui donnait une impression de nostalgie, il avait envie de ressentir ce tangage, cette odeur salée, le bruit des voiles qui frottent contre le vent.

- Ahhhh ...

Filayster s'assit au bord de l'eau, plongeant ses mains dedans pour essayer de capturer quelques brèves effluves qui, il le sait, s'échapperont de toute façon de ses mains.
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