Promenade au coeur du village.

[Chemin du Rond du Guet : chez Ambris et Aellfall]

Levé pas trop tôt ce matin là rien de spéciale, juste un peu plus fatiguée que d'habitude avec un peu de mal a quitté le lit douillet et chaud. S'étire doucement sous les draps a la manière d'un chat puis les remontent jusque sous le nez en sentant la fraicheur de la nuit lui lécher la peau...s'en suit d'une chaire de poule qui a décider de campé là. Aller hop c'est l'heure debout...pour se donner du courage regarde la lueur du jour qui pointe le bout de son nez derrière les rideaux, regard furtif en direction de ses vêtements...non trop loin...trop froid...pas envie là...long soupire...quand faut y aller, faut y aller...prend une grande inspiration et s'assoie dans le lit, un frisson...maudit froid quand tu me tiens tu me lâche pas...Pose un pied puis le second par terre et se lève avec peine, file vite prendre de quoi se couvrir ne voit rien qui convienne puis fait demi tour pour faire face au lit prend la couverture et s'enroule dedans...aller hop de l'eau...bien chaude. Rien que de penser a la suite le sourire commence a faire lumière sur son visage et c'est presque en courant qu'elle se rend dans la cuisine. Elle cherche puis voit le chaudrons déjà tout prêt dans l'antre de la cheminé allumé...il y a pensé...délicat et prévenant...Le sourire aux lèvres elle prend un seau puis le plonge dans la marmite pour prendre de l'eau chaude puis remonte a l'étage rapidement et s'enferme dans le salle de bain. Après s'être préparé, elle redescend puis direction la cuisine, prend un verre de lait et un fruit rien de plus, rien ne passe...finalement reste devant a bouder son petit déjeuné et ne touche ni à l'un, ni à l'autre. Range tout et sort après s'être assurée de n'avoir rien oublier.

[Au coeur du village]

Voilà en route pour le village, saluant ceux qu'elle croise brièvement en passant...la mairie encore et toujours...vais finir par y logé...d'un pas vif, elle arrive devant la mairie, elle monte les petites marche et ouvre la porte avant de s'y engouffré. Personne comme bien souvent a cet heure, elle se dirige jusqu'à son bureau et ouvre la fenêtre. Il fait pas chaud mais se sent pas très bien, de l'air voilà ce qu'il lui faut, même si elle vient de dehors. Elle s'installe derrière son bureau et sort tout ce dont elle a besoin pour faire les rapports...préparé mon départ et ne rien oublié pour celui qui prendra la suite...Assise là depuis bientôt deux heures, se sent nauséeuse et décide qu'il est temps de sortir...ça recommence...la tête lui tourne encore faim mais rien ne lui fait envie, voilà une semaine maintenant...encore manger un truc qui faut pas...longue inspiration avant de se lever avec précaution, la tête tourne un peu moins. Elle se sert un verre d'eau et le bois lentement en regardant dehors. Là des gens discutent elle les observe sans le vouloir ses pensées sont ailleurs avec lui toujours,dans le futur loin...très loin. Elle revient dans le présent respire un bon coup va pour poser le verre sur la table la loupe et lâche le verre...merdouille! Bien le moment tiens!...se baisse et le ramasse...heureusement pas de casse cette fois...elle le pose sur la table...ça recommence j'en ai marre cette fois...elle a faim regarde une petite boite contenant des fruits mais toujours nauséeuse ne touchera a rien et fini par tout ranger. Elle fait les cents pas se sentant toujours nerveuse et nauséeuse puis ouvre la porte écoute le silence et sort de son bureau...un petit tour s'impose...Aellfall sort de la mairie et prend la direction de la taverne municipal passant devant certains lieux qui semblent fermé pour longtemps, comme le dispensaire ou les bains public.
Elle sourit un peu en pensant à ces personnes qui ont oeuvrer pour ces endroits, faire en sorte que les gens s'y sentent bien, se rendre utile pour les autres sans même se préoccupé de soi ni se posé de questions...quel dommage, du gâchis encore une fois...ça revient... se sent énervé sans même le vouloir, fait demi-tour et retourne finalement a la mairie...je me connais le premier qui dit un truc qui faut pas et hop j'envoie promener et après ça va se plaindre encore...long soupire et retour dans son bureau, elle s'installe et prend de quoi écrire...il a raison je vais lui demander si elle peut me recevoir...peut pas rester comme ça...elle fait doucement trempé la plume dans l'encrier et écrit quelques mots puis le trou, ne sait pas quoi demander en faite. Elle regarde le parchemins dubitative ne sachant même pas si elle pourra la voir avant leurs départs...léger sourire rien que d'y penser...bon aller faut le faire on verra bien après tout qui sait peut être qu'elle acceptera sinon tant pis j'attendrais...Mais rien ne vient aucun mots, peur de déranger, peur des réponses aux questions aussi...le sourire s'efface pour laisser place a une grimace...

Chère ****,

j'aurais besoin de vos services, si toute fois vous exercez toujours.
Il se trouve que je...

Aellfall se lève regardant le parchemin d'un oeil accusateur et se met a tourné autour du bureau sans le quitter des yeux...ma pauvre fille voilà que tu ne sais quoi dire...elle fini par retourner s'assoir et fini par changer de parchemin et enfin de poser les quelques mots sans grande conviction, elle se souvient de la visite du médecin a la garnison en tant que Capitaine mais aussi du geste fait pour des personne dans le besoin sans même se faire connaître, elle avait passer un bout de temps a écrire puis fini par trouver quoi mettre.

Bonjour,

Il se trouve que je suis pas très bien. Je ne sais si cela vient des mes divers activités mais il me faut voir un médecin avant mon départ du village, je ne souhaite pas prendre la route si je suis malade. Je vous sais très occupé mais je ne vois pas d'autres personnes de confiance.
Je me tiens bien entendu a votre disposition pour ce faire.

Cordialement
Aellfall

Voilà qui est mieux , respectueux mais sans plus...elle déteste ça, déjà a la garnison fallait courir après elle pour obtenir le certificat, alors juste pour ces maux..Elle plie le tout, pose un peu de cire pour fermé puis se lève et sort cette fois pour trouvé une bonne âme et porté le plis chez sont destinataire. Elle le mit dans sa besace, il n'y avais point urgence non plus puis recommença le tour du village mais cette fois de meilleur humeur. Elle fila en direction des échoppes les maux s'étant calmé pour l'heure elle pouvait enfin se promener tranquillement sans se poser de questions. Et sans même s'en rendre compte, sans doute attirée par l'odeur, elle se retrouva chez un boulanger a acheter du pain encore tout chaud. Elle déambula dans les ruelles du village pensant au passé et aux personnes qui ont fait du village ce qu'il était il y a encore peu...avant l'arrivée de la peste des ses pustules et de son odeur qui aurait fait fuir toute personne censée et seine d'esprit. Les irréductible étaient tout de même rester essayant d'y remédier mais rien ne fait, elle est là jamais loin a guetter le moindre arrivant se jetant dessus le reniflant pour voir si il vivra sous son aile ou si il repartira malade...voir même mort...Assise près de la petite fontaine Aellfall regarda les badauds passer en mangeant la petite miche de pain.

Cela fait déjà quelques jours que le petit bout d'homme est arrivé à Montbrisson et il ne sait pas encore s'il doit continuer son chemin ou espérer pouvoir s'installer en ville.
Le froid commençant tout juste à arriver, la faim qui le tiraille mais surtout le fait de se sentir constamment salle font de lui un enfant de la rue.
Orphelin depuis toujours ou presque, c'est sur les routes qu'il vit le jour pour la première fois et c'est sur les routes qu'il se retrouve encore.
Contraint de voler pour subvenir à ses besoins, dormant là où il le peut tout en évitant les troupes de soldats qui veillent au grain et qui font tout pour que les orphelins dans son genre finissent entre de bonnes mains.
Et pourtant il sait que dans un orphelinat il sera nourrit et logé mais rien n'y fait, le sentiment de liberté a prit possession de tout son être.

Mais accompagné par la liberté, le fait d'être seul est également bien présent, Murlock n'est pas à un âge où il est capable de se débrouiller seul.
Il vit au jour le jour, priant Dieu pour que celui ci l'aide à passer l'hiver qui s'annonce car chaque hiver qui vient est une étape pour lui.
Affronter le froid et la faim mais surtout, essayer de rester au chaud car il n'est pas aisé pour lui de passer quelques instants en taverne ou même de se payer une nuit à l'auberge.
C'est ainsi qu'il vit, tel un aventurier, encore bien jeune et pourtant, il en a vu beaucoup depuis le jour où sa mère a quittée ce monde.
Elle n'avait pas assez priée Dieu pour que celui ci lui accorde de passer un hiver et le froid l'a emportée lors de l'un de leur voyage.

Il se souviendra toujours de la vision du corps de sa mère sans vie, couché dans son lit, la peau froide et un visage sans expression.
Chaque soir avant de s'endormir il pense à ceci, toujours les même images qui reviennent dans sa tête et pourtant, c'est bien la seule chose contre laquelle il ne peut pas lutter...

Aujourd'hui encore, le voilà qu'il se balade dans la ville de Montbrisson, trois jours qu'il est arrivé et déjà, le voici en possession de souliers volés sur le marché.
Quand il en a les moyens, il préfère s'offrir à manger plutôt que des vêtements qu'il dérobe en général mais ceci est bien risqué surtout pour un jeune garçon comme lui.
Il marche, les mains le long de son corps, une petite besace qu'il porte en bandoulière et le regard qui s'attarde sur quelques échoppes avoisinantes.
Le visage sale et la peau sèche à cause du froid, il ne sait pas encore où il va s'attarder pour mendier un peu, il n'a plus qu'à espérer que les habitants de cette ville soient gentils avec lui.

C'est finalement sur une petite place, devant une bâtisse délabrée par le temps qu'il prit place, assis sur le sol, voilà à quoi il allait passer sa journée.
Attendre, regarder les passants qui ne lui jettent même pas un petit regard, rien du tout, c'est toujours la même chose et il est habitué depuis le temps...

Aellfall a écrit:Perdue dans ses pensées, la jeune femme ne fit pas vraiment attention au temps qui défile. Elle regardait sans voir les villageois passer devant elle puis son regard se porta sur un jeune homme pas très bien vêtu et surtout sale...elle sourit doucement en le voyant pensant qu'elle préférait tout de même sa jolie prison doré.

Elle se sentait mieux, plus calme et reposé. Aellfall se leva et ramassa sa besace...allez il est temps de retourné voir ce qui se passe de beau...ou de pas beau...Elle reprit la direction de la mairie après s'être rafraichit le visage avec l'eau de la fontaine si froide l'eau est-elle qu'elle revigore un peu. Elle prit la direction de la mairie et s'arrêta a hauteur du jeune homme assis sur la petite place devant le dispensaire. Sans même sans rendre compte elle l'observa de nouveau avant de faire quelques pas hésitant puis fit demi tour et alla le voir.

Elle s'assit a ses côtés sans rien lui demander...Bonjour jeune homme, belle journée n'est-ce pas ? Peut être un peu fraiche je trouve. Elle regarda les autres passer devant eux sans mots dire et même pour certains tournant la tête pour les ignoré, ce qui la fit sourire doucement...Ils ne mordent pas, sont gentils mais sont méfiant vous savez,si ça vous dit de venir vous mettre aux chaud et de manger correctement en échange d'un petit service bien entendu. Elle ne voulait pas le froissé ni même lui donner l'impression d'en avoir pitié...il semblait plus fort qu'il ne le paraissait sous ses vêtements sales et ses yeux respirait la malice sauf qu'a son âge ça devait être difficile de survivre seul...il ne faisait aucun doute dans l'esprit de la jeune femme qu'il le soit et qu'il soit très jeune plus qu'il n'y paraît. Elle sortit les petits biscuits de sa besace, en prit un pour elle puis donna le second au jeune homme...Servez-vous sont tout frais de ce matin, faut que je retourne en chercher j'ai presque tout manger en plus du pain, puis je vais a la Municipaverne pour un repas chaud, alors si vous m'aidez un peu je vous offre un repas consistant...elle lui sourit et se releva regardant toujours droit devant elle.

Murlock a écrit:Dans toutes les villes par lesquelles le petit bout d'homme est passé, il fut contraint de faire face à la méfiance des habitants. Mais ceux ci sont-ils vraiment méfiant, c'est la question qu'il se pose tout le temps ou presque.
La conclusion qu'il en a finalement tiré est que tous ces passants qui se portent plutôt bien préfèrent garder leur argent au lieu d'en donner un peu à un orphelin qui en plus de cela est pauvre.
Avec le temps, il s'est fait à cette idée de devoir mendier pour avoir un peu d'argent et voler sur les marchés pour pouvoir se nourrir mais il y est contraint.
Mais ça, personne ne saura le comprendre, le vol reste le vol et ce geste peut être gravement punit dans certaines villes, il en a été témoin à de multiples reprises déjà.
Certains pensent que les orphelins dans son genre devraient travailler pour gagner leur vie mais qui accepterai d'aider un enfant dans son genre à la mine triste et aux vêtements troués à divers endroits, c'est impossible.

Et pourtant, il y a des jours où la chance semble lui sourire, ce n'est que le simple fait du hasard mais quand une chance se présente à lui, il sait la prendre.
Ce fut une femme aux allures de noble, ce n'en est peut-être pas une et pourtant, elle était fortement bien vêtue ce qui était loin d'être son cas.
Il la vit tout d'abord lui passer sous le nez alors qu'il n'hésitait pas à la fixer comme il regardait tous les autres passants mais à la différence de ceux ci, elle s'arrêta en chemin pour finalement faire demi-tour.
Il en fut presque certain que c'était pour lui, ses yeux continuèrent de la fixer, oubliant presque la fatigue qu'il semblait accumuler depuis quelques jours déjà.
Mais là, grand étonnement quand celle ci vint s'asseoir à même le sol, juste à coté de lui, c'est bien la première fois que ceci lui arrive et en pleine ville en plus de cela.

La femme se mit à lui parler du beau temps, il y en a vraiment qui ne se rendent pas compte du malheur des autres mais il n'y pouvait pas grand chose.
Et les seuls mots qui vinrent le sortir de ses pensées furent « manger correctement » et « chaud », sans doute les deux seules choses dont il aurait vraiment besoin.
Il imagine déjà un bon repas et tout ce qui s'en suit mais il est déjà conscient qu'une tâche l'attend en échange de ceci et il n'a même pas le temps de lui répondre que la femme en question sortit des gâteaux avant de lui en tendre un.
Petit regard droit dans les yeux de cette gentille inconnue avant d'oser enfin prendre l'un de ces quelques gâteaux dont il sentait encore la chaleur du four de ceux ci. Et en guise de remerciement, un regard des plus doux suivit d'un sourire assez timide mais il n'attendit pas plus longtemps avant de croquer à pleines dents dans ce qui bientôt vint remplir une partie de son estomac.

Enfin elle se redresse, patientant quelques courtes secondes avant de faire de même, terminant le gâteau en bien peu de temps, il lui demanda enfin.

« Je dois faire quoi ?! »

Comme s'il était habitué à ce qu'on lui demande des services, ce n'est pas faux mais la plupart du temps, il part en courant après avoir reçu un repas chaud et de temps à autre un bain offert par le tenancier d'une auberge...

--Valentin_pernouin a écrit:

Valentin avait quitté le château de bonne heure ce matin, il devait faire quelque course au marché et assister à la messe dominicale. Il profitait de ces moments pour se tenir au courant des dernières nouvelles du village. Les élections municipales avaient commencé et pourtant nulle affiche avec le programme des candidats n'avait été placardées. Cela ne faciliterait pas le choix entre les deux protagonistes.
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Valentin Pernouin

Au service de la famille de Ludgarès.
Nounou à Guigui

--Valentin_pernouin a écrit:

Il avait bien fait de descendre à la ville, il avait pu assister au discours d'un des candidats a l'élection du maire, cela l'aidera certainement pour faire son choix.
Il prit ensuite la direction du marché, il avait une envie de manger des bonnes pansettes a la sauce moutarde, il se mit donc a la recherche de son futur repas. Arrivé devants les étals, il fut frappé par les prix pratiqués.

De la viande à 25 écus ! du maïs à 5 écus ! des légumes à 15 écus !

Adieu pansettes, adieu festin, a ce prix la, Valentin n’était pas prêt de manger. Etait ce l'effet de la guerre qui faisait grimper les prix de cette façon ou bien un acte malvaillant ?

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Valentin Pernouin

Au service de la famille de Ludgarès.
Nounou à Guigui

Aellfall a écrit:Aellfall pencha un peu la tête et le regarda se levé a son tour, elle sourit en l'écoutant puis lui fit face en le regardant droit dans les yeux.

Bien j'ai besoin d'une petite aide, je ne sait pas si vous restez longtemps mais a chaque jours de travail vous donnerais le gîte et le couvert et si je suis contente vous, il y aura même un supplément.

Le regardant toujours elle réfléchissait, vu la corpulence du jeune homme fallait pas non plus trop en demander.

J'ai besoin d'aide pour l'entretient de la taverne,le bois m'a été apporter il y a quelque temps et je dois ranger les buches correctement dans l'abri et ensuite en rentrer pour la cuisine et aussi en monter dans les chambres pour chauffer quand les jours serons encore plus froid. Elle le regarde cette fois en lui souriant. Vous prendrez le temps qu'il vous convient pour le faire.

Elle commença a avancer et ajouta...bien entendu vous ferez ça demain, dans un premier temps je pense qu'un repas et un lit chaud vous donnera quelques forces pour la tache.

Abinleu a écrit:Une épaisse couche de crème flottait à la surface du lait bouilli.
Les tartines beurrées et tartinées de confiture de baies sauvages des bois étaient disposées dans une assiette.
Deux bols posés sur la table, le feu qui crépitait dans la cheminée, Abinleu n'attendait plus que le lever de son amie pour prendre son petit déjeuner.

Des pas dans l'escalier, une voix familière qui les accompagne.

Abinleu!!Abinleu!!
On déjeune??

A l'oreille, au son de sa voix, il sait que la forme est revenue!
" Elle a faim, c'est que ça va mieux ", pense-t-il, soulagé.

Pascale déboule de l'escalier et fait irruption dans la cuisine, la mine resplendissante.

- Bonjour Pascale!
- Tu as bien dormi?
- Assieds-toi, le petit-déjeuner est prêt!

Pascale. a écrit:Entrée rapide dans la cuisine, l oeil attiré immédiatement par les bols et les tartines, la jeune femme sourit et va faire une bise à Abinleu :

Bonjour, bonjour!
J ai fort bien dormi! et j ai une de ces faim!!

Elle s' attable, prend une tartine qu elle mord avec plaisir.

Humm ché fameux!

Elle l engloutit en deux temps trois mouvements, laissant une trace de confiture au coin des lèvres.

Je peux en reprendre une autre??
Cette confiture est délicieuse!!
Avec un bol de lait..

Un petit regard taquin vers Abinleu, Pascale prend une deuxième tartine.

Abinleu a écrit:- bien sûr, je les ai faites pour toi!
- C'est un plaisir de te voir manger de si bon appétit!

Abinleu en mange une et reprend, après s'être essuyé la bouche du revers de la manche.

- Et pour le grand bal de samedi, tu as une petite idée du déguisement que tu vas te faire?
- Moi, j'ai ma petite idée, mais ce sera la surprise!
- Et je peux te dire que l'on va avoir du mal à me reconnaître!, lance-t-il en lui clignant de l'oeil.

Il termine son bol de lait, sourit à son amie.

- Allez hop, au travail!
- Nous allons avoir besoin de bras pour préparer la salle!

Mellysandre a écrit:Melly était arrivée a Montbrison,petite ville aux allures calmes.
Elle avait voyagé a ses cotés ,heureuse comme jamais de cette rencontre qui était en train de devenir.....de l'amour;car oui,Mélly était amoureuse et ne voyait plus que lui,jour et nuit son coeur battait pour son prince,si beau,si gentil et pour qui elle ferait tout
je te suivrais au bout du monde mon amour,tu fais de moi une femme heureuse et enfin,prés de toi je me sent revivre,je n'osais pas te le dire mais maintenant,au risque de te voir t'éloigné,et bien je te l'avoue....
Melly regarda Gurvann,son coeur battait plus que de raison,elle posa ses mains sur la taille de son prince et lui dit:
je t'aime Gurvann,ma vie et mon coeur son entre tes mains....
Puis,amoureusement Melly le regarda en attendant qu'il lui réponde,avec la peur que son aveu ne l'éloigne de son amour,mais Melly se sentait libéré d'avoir ouvert son coeur.....

Gurvann a écrit:Gurvan accompagné de Melly voulais, se présenté, et quel ne fut ça surprise lorsque Melly pris la parole, elle qui était si réservé, timide , mais si adorable, et faut dire les choses tels quelles sont, avec un regard qui.... enfin bon.
Gurvan écouta melly

[rp]e te suivrais au bout du monde mon amour,tu fais de moi une femme heureuse et enfin,prés de toi je me sent revivre,je n'osais pas te le dire mais maintenant,au risque de te voir t'éloigné,et bien je te l'avoue....[/rp]
Gurvan heureux d entendre ces confidences, lui répondit timidement.
Melly, je n osait te l avouer mais sans toi je ne pourrais continué, tu es ma vie, ma route, mon bonheur....Sans réfléchir Gurvan ouvrit ses bras et accueillis ça princesse si désiré Melly je t aime et nous allons suivre notre chemin et s aimait aussi fort que l univers et enfini je t aime. Gurvan pris la main de Melly et s en allèrent flannée tout deux dans les ruelles